Démocratisation Massification Scolarité

» « L’élève est celle ou celui qui dans un établissement est membre d’une classe » Classe : elle se généralise dans les dernières décennies du XIXème siècle Dimension à la fois spatiale (lieu…) et temporelle Qq chiffres sur feuille du plan La massification va obliger les gouvernements à se pencher sur la prise en compte de la diversité Evolution dans l’organisation et l’encadrement de la diversité : Un niveau macroscopique → Puis au niveau de la classe → à un niveau microscopique Axes de traitement

inégalités dès le plus jeune âge en fonction de l’origine sociale 6 C) Les inégalités de réussite scolaire sont le résultat de stratégies familiales différentes 6 II) L’école, un agent réducteur des inégalités sociales. 8 A) CONSTAT : Une démocratisation qualitative et quantitative des études 8 1) Au niveau quantitatif 8 2) Au niveau qualitatif 9 B) Une égalité des chances mise en avant 10 C) La discrimination positive 11 Conclusion 13 Introduction Il est vrai

à l'adolescence ) • Il se réalise dans la famille (voire auprès des tuteurs légaux) de l'enfant • La prime inculcation des règles est encadrée par des normes (ce qui renvoie à un système plus général ) • Exemple : le rôle des parents dans la scolarité des enfants, sachant que l'école est obligatoire en France jusqu'à 16 ans, depuis 1959. La socialisation secondaire Émile Durkheim ( 1858 – 1917 ) institue un paradigme dans l'Éducation et sociologie L'accent est mis sur l'éducation morale dont

décident de réduire l’écart entre le haut et le bas du classement, ce qui permet de former de bien meilleurs élèves et donc une élite plus forte avec peu d’élève très faible (exemple: Finlande, Canada…). PISA nous montre donc que les efforts de démocratisation permettent d’obtenir des effets positifs, notamment une réduction des inégalités sociales dans les pays qui le permettent. Selon les auteurs, les pays qui mettent en place une justice sociale élevée, sont aussi ceux qui ont une efficacité importante

crée sa propre culture (André Chervel, La culture scolaire, 1988) afin de transmettre aux futurs adultes de la société ce qui est admis comme légitime. Le phénomène s’accroît même dans la seconde moitié du XXe siècle dès lors qu’une volonté de démocratisation de l’enseignement secondaire est à l’œuvre. L’Ecole et les disciplines qui la constituent doivent ainsi sélectionner au sein de la pluralité des cultures (culture de masse, culture physique, culture techniques, etc.) inhérentes aux mondes sociaux

augmenté durant cette période du fait de l'arrivée sur le marché du travail des baby boomers et des femmes. - Taux d'activité des femmes Le taux d'activité des femmes est passé de 26,1% en 1960 à 76 ,6% en 2000. Elles ont bénéficié d'une démocratisation de l'enseignement et de la montée des emplois du tertiaire, elles souhaitent être indépendantes financièrement mais c'est aussi la nécessité d'un second salaire qui les amène à travailler. - La montée du chômage et des inégalités Le chômage

l'équipe.  Sur ces bases, et en prenant en compte l'ensemble des éléments d'ordre éducatif, médical et social, le conseil de classe examine le déroulement de la scolarité de chaque élève afin de mieux le guider dans son travail et ses choix d'études. Le conseil de classe se prononce sur les conditions dans lesquelles se poursuit la scolarité de l'élève. Haut Droit à l'information et à la communicationPour l'exercice de leur mandat dans les différentes instances, lesreprésentants des parents d'élèves  sont

minimum de connaissance en leur enseignant le calcul, la lecture, l'écriture et ainsi d'accorder à tous la possibilité de faire ce que bon lui semblait (ce qui en générale se résumait a obtenir le meilleur travail possible quel qu'il soit). La démocratisation de l'accès à l'école a donc permis et permet toujours aux enfants des milieux les plus défavorisés de pouvoir obtenir un bagage culturel auquel il n'aurait sûrement pas pu accéder sans qu'elle soit ouverte à tous. Ainsi même ceux dont les parents

jeunes sont désenchantés et considèrent que les diplômes n’ont plus vraiment de valeur car ne sont plus adaptés à l’insertion socio-économique. La seconde concerne la nature des relations entre les jeunes et ceux qui les prennent en charge dans leur scolarité : en 1982, les élèves portent un jugement favorable sur leur établissement, mais ensuite, le climat se dégrade avec l’apparition de violences et le sentiment d’insécurité qui en découle. Les lycéens rejètent une école standardisée qui les ignore

fréquentation de la maternelle ne réduit pas ces écarts sociaux ; ils s’accroissent au contraire légèrement, ce qui suggère que certains enfants "profitent" plus que d’autres des pédagogies à l’œuvre à ce niveau d’enseignement. Ensuite, au fil de la scolarité, les apprentissages scolaires revêtent un caractère cumulatif : ce qu’on a acquis l’année antérieure constitue le meilleur prédicateur des acquis manifestés en fin d’année. Comme ces acquis antérieurs ne sont pas sans rapport avec les caractéristiques