Démocratisation Massification Scolarité

d. les limites des outils de mesure de la mobilité sociale B. Les déterminants de la mobilité sociale Comment expliquer la mobilité sociale, sa relative faiblesse mais aussi les trajets inattendus ? a. La démocratisation scolaire et ses limites doc 50 et 51 p 163 b. des différences de dotations en capitaux (Bourdieu) doc 52 à 54 p 164 c. Des différences de stratégies individuelles et familiales doc 55 et 56 p 165 doc 48 p 162

techniques. Ensuite, l’urgence est à la reconstruction, l’intervention de l’État passe par la nationalisation de grandes entreprises telles que les banques, l’automobile, les assurances, et EDF. Les grandes entreprises vont avoir un rôle de démocratisation de la consommation lié à une recherche et développement pour créer de nouveaux produits. Effectivement, les conséquences de la guerre ont entrainé un transfert des technologies militaires vers les technologies civiles. Puis la création de nouveaux

aux enseignants. Les tensions entre ces normes dominantes et d’autres normes provoquent des réactions et des comportements violents. L’organisation de l’institution scolaire et les modifications successives sont également pointées du doigt2. La massification de l’école introduit un paradoxe en combinant à la fois des valeurs démocratiques et un dispositif méritocratique3. Les réseaux et plus encore les filières (enseignement ordinaire vs spécial, enseignement normal, technique, professionnel ou apprentissage)

politique appuyé par une majorité parlementaire. Plan Langevin Wallon 1946 « L’enseignement doit donc offrir à tous d’égales possibilités de développement, ouvrir à tous l’accès à la culture. L’introduction de la justice à l’école par la démocratisation de l’enseignement mettra chacun à la place que lui assignent ses aptitudes. » Gratuité jusqu’à 18 ans Accès à une culture commune car avant il y avait une culture de l’école primaire relevant d’un bon citoyen avec la morale, le ciment national

Les enfants de milieux populaires s’imputent de plus souvent la responsabilité de leur échec. Eux aussi oublis ce que leur échec doit au faible héritage parental. Pourtant, les enfants des milieux populaires sont sur-sélectionnés : pour eux, la scolarité, surtout secondaire s’apparente à un parcours d’obstacle qui les obliges à faire preuve de qualités psychologiques, intellectuelles, et sociales supérieures à celles de leurs camardes des milieux cultivés. C’est une véritable violence

le désengagement de l'Etat dans le domaine de l'investissement éducatif, la dégradation des infrastructures scolaires et la désuétude de leurs équipements qui contrastent avec l'accroissement continu des demandes d'éducation ont conduit à une massification progressive de l'enseignement qui se traduit par : - des effectifs de plus en plus élevés (117 élèves/classe dans certains établissements secondaires d'Abidjan plusieurs centaines d'étudiants dans les amphithéâtres des universités de Cocody

La question scolaire est importante à cette époque-là: le système scolaire est en train de s'unifier. On met en place le collège unique. Ce qui produit l'échec scolaire est la distance à la culture légitime. Dans la première partie de la scolarité de l'enfant, c'est la maîtrise de la culture écrite qui joue un rôle majeur. Ce capital culturel prend de l'importance sous l'effet conugué des capitaux possédés par la mère et le père. Quand il y a une grande différence de capital culturel entre

laïcité La nouvelle nature du privé Choisir son école ou fuir la promiscuité 3 - L’école d’aujourd’hui : réalités et phantasmes 3 - 1 - Explosion des savoirs enseignés et « Baisse de niveau » 3 - 2 – La question de la démocratisation du système Les apparences de la démocratisation La réalité de Reproduction des élites 3 - 3 - L’ambiguïté de l’enseignement prioritaire : retards scolaires et violences Les ZEP : une politique de « gauche de gouvernement » Les ZEP : un bilan encore peu convaincant 3

conséquent devait être mis en œuvre, tant par le ministère de l'Education que par celui de la Culture. En la matière, les compétences des collectivités territoriales étaient de même également accrues de manière volontariste. L'exigence d'une démocratisation de l'accès aux arts et à la culture est demeurée le plus grand dénominateur commun de toutes les orientations données. Cependant, les courants de pensée dans l'éducation ou les intérêts des secteurs professionnels en présence restaient fréquemment

..................... 50 4. Des inégalités persistantes face à l’éducation, plus fortes que chez nos partenaires de l’OCDE .......................... 52 5. Massification et démocratisation des universités : quels résultats ? ................................................................................. 56 5.1. Quel type de démocratisation ? .................................................. 56 5.2. La sélection par l’échec : le DEUG ........................................... 58 5.3. Le piège