Démocratisation Massification Scolarité

son futur métier. • Voie choisie par ou pour quelqu'un, en particulier dans le cadre des études. B) Contexte historique : • Fonctionnement et objectifs de l’orientation essentiellement issus du Décret du 12 février 1973. • Années 80 : Démocratisation-> Massification-> Arrivée d’un nouveau public-> Echec scolaire qui pose la question de l’orientation. Emergence de la notion d’éducation à l’orientation • 1985 : Jean-Pierre CHEVENNEMENT, ministre de l’Education Nationale, lance le mot d’ordre de « 80%

unique devait permettre aux classes sociales défavorisées d’accéder à la scolarité au même niveau que les classes sociales favorisées. Cependant, les inégalités sociales ont évoluées et mettent en évidence l’apparition de nouvelle figure d’injustice provoquant des inégalités scolaires. La massification de l'enseignement s'est effectivement réalisée mais on peut douter que ce mouvement fut accompagné d'une réelle démocratisation, « légalité d'accès […] ne suffit pas. » En effet, les inégalités sociales

émerger les expériences du groupe mais aussi de les pousser à produire une analyse sur leurs expériences. De plus, des entretiens individuels ont aussi été conduits. La première partie de l’ouvrage montre qu’à partir des mutations de l’école (massification) mais aussi des mutations de la société (chômage, inadéquation emplois / diplômes), on ne peut plus considérer l’école comme une institution. Autrement dit, elle ne peut plus remplir ses trois fonctions principales, à savoir : « une fonction de

ses fins, obtenant une relative laïcité de l’institution scolaire en garantissant la neutralité idéologique et religieuse des enseignants du secteur publique dans le cadre de leur fonction. Les lois Ferry du 23 mars 1882, permettront de rendre la scolarité obligatoire pour tous les enfants de 6 à 13 ans (puis jusqu’à 14 ans le 9 août 1936, et enfin 16 ans le 6 janvier 1959). Enfin, la loi Camille Sée de 1880 oeuvra pour l’égalité entre filles et garçons, en exigeant la création de lycées publiques

il reprend entre autre la notion d’élitisme (plus social que scolaire), principe central de fonctionnement de la sélection scolaire à l’époque de Durkheim, mais aussi les préoccupations d’égalité engendrés par la massification scolaire des années 70. Les limites de la démocratisation du système scolaire sont épinglées. Elle est perçue comme une « élimination différé » des élèves d’origine défavorisée. L’homogénéité est affaiblie par la création de filières de relégation. Une hiérarchisation des

Tocqueville par l’égalisation des conditions, par l’égalité sociale qui supplante l’héritage héréditaire et biologique. Ainsi, à ce titre l’école semble apparaître comme un instrument concret de réalisation de cet idéal démocratique, notamment depuis la massification de l’accès à l’enseignement secondaire et universitaire. Cependant, il existe des différences de parcours scolaires, des différences de savoirs entre les individus, alors il est légitime de se demander si l’école par le biais de la culture

devenir des mères fécondes en enfants vigoureux, elles sont donc aussi soumises à un entraînement physique rigoureux. c) L'apport des sophistes -450 à -400 av JC Les sophistes ont la capacité de faire passer du vraisemblable pour du vrai. La démocratisation des villes grecques au 5ème siècle av JC comme à Athènes conduit de nombreux citoyens à souhaiter pour leurs enfants cette éducation qui jusqu'alors ne s'adressait qu'aux nobles. Le citoyen grec est quelqu'un qui est capable de gouverner et d'être

lui-même le produit de différents facteurs... De fait, les chances de parvenir en sixième à l'heure ou en avance sont deux fois plus liées à ce niveau initial qu'à l'origine sociale ou au niveau d'études des parents. Ce lien apparaît dès le début de la scolarité élémentaire mais il s'intensifie au fur et à mesure de son avancement... De toutes les caractéristiques de l'élève prises en compte, c'est ce niveau à l'entrée au CP qui pèse le plus fortement sur les chances de parvenir sans redoublement en sixième

études supérieure. Il parait évident que nous ne pourrons pas traiter toute l’étendu de cette scolarité étant donné qu’il nous faudrait beaucoup plus qu’un exposé pour pouvoir traiter un tel sujet : on se focalisera donc uniquement sur les études supérieures. Bref rappel sur la démocratisation de l’enseignement supérieur : La massification et l’allongement de la scolarité se mesure avec la démocratisation des diplômes. Si l’on prend pour exemple une génération née dans les années 1800 : 90 % n’a

(doc1) De plus, des démarches de discrimination positive visant à favoriser les classes défavorisé, sont mises en place. (ex : système de bourse). Tout le monde peut désormais accédés à l'école et aux études supérieurs. Dans les années 50, la démocratisation scolaire permet l'accès à une école gratuite et laïque, favorisant ainsi l'intégration scolaire. De plus l'école est devenu obligatoire jusqu'à l'age de 16. L'école n'est donc plus un choix mais une obligation. L'école permet une intégration