Désobéir Aux Lois

économique, présente des lois dans la société, et fais penser à l’homme qu’il n’est pas complètement libre. La question posée étant « Serions-nous plus libres sans Etat ? », on peut se demander si l’Etat s’oppose à la liberté ? La dissertation s’attachera à montrer si l’Etat est garant de la liberté, avant de voir s’il l’empêche, et nous conclurons par les conditions pour qu’il le garantisse. L’Etat gouverne le pays, et pour répondre au mieux à son rôle, établit des lois pour le bien social.

(délimité par des frontières) - Les gens vivant entre les frontières du pays ne sont pas tous identiques. (Ne parle pas la même langue ou ne partage pas tous la même culture) - Un système gouvernemental qui est dans la possibilité de faire respecter ses lois par l'armée, la police ou les tribunaux. - Se faire reconnaître par les différents États et par les organisations internationales. Ex: ONU, FMI, Banque Mondiale. Un État est un territoire qui a une position géographique fixe, donc qui est limité

pouvoir sont plus forts eux-mêmes. « Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté » guidé par la raison qui n’est pas celle du plus fort, c'est-à-dire que s’ils obéissent à des lois iniques, ce n’est donc pas parce qu’ils sont soumis à la force, c’est parce qu’ils confèrent au pouvoir politiques et aux lois qu’il institue, la légitimité qui est rendu aux citoyens. En nommant le subterfuge, Rousseau révèle que la force de la force ne relève pas d’une donnée physique mais d’un processus moral

société ne sont pas nécessairement acceptables comme règles morales pour la conscience individuelle. Sophocle a mis en scènes dans son Antigone la revendication de la conscience qui se réclame des « lois non écrites, inébranlables, des dieux » qui « ne datent ni d'aujourd'hui ni d'hier », pour récuser les lois de l’État comme arbitraires et tyranniques. L'obligation d'agir selon la raison est devenue depuis une des données fondamentales de la philosophie morale, même si l'on se demande parfois ce qu'est

Suffit-t-il d'obéir aux lois pour être juste ? La justice possède une place prépondérante au sein de notre société car, inculqué dès le plus jeune âge, elle permet de maintenir une égalité entre les Hommes. La "loi" est un consensus social auquel on ne peut se soustraire, établit dans le but d'instaurer une équité valable pour tous. Selon Kant, "L'impératif catégorique seul, à une valeur de loi pratique". C'est-à-dire que seul un ordre peut parvenir à l'exécution d'une loi. Quant à lui, "être

l’autorité établi et de ses lois ?n’est-il pas contraint d’y obéir quoi qu’il arrive ? Cependant, cette obéissance a l’état est-elle toujours une obligation ?n’y a-t-il pas aussi des circonstances particulieres, dans les quels l’obéissance n’est alors plus considérée comme une obligation, mais comme un choix délibéré de la part de l’individu. Développement L’état se définie comme l’entité composée d’un territoire délimité d’une population donnée et régie par un corps de lois, c’est-à-dire des règles

permettant d’évoluer dans un même cadre : c’est un contrat nécessaire, déterminant notre état social. S’affirmer citoyens, c’est signer ce contrat. Premier paradoxe : il suffit d’être né quelque part pour devoir obéir à des lois singulières. Chacun doit reconnaître les lois du lieu dans lequel il se trouve, s’y soumettre comme on prend un train en marche... Vu sous cet angle, le contrat est léonin. Nul n’est censé ignorer la loi. Ce principe gouverne tous les systèmes juridiques. Admettre que quelqu’un

LA SOCIETE : Platon, CRITON : l’autorité des lois est fondée sur une convention tacite L’autorité des lois découle d’un libre engagement du citoyen : Exemple de Socrate condamné à mort. Criton lui propose de s’enfuir mais Socrate ne veut pas. Si les lois sont la vérité, le fait de s’enfuir serait leur désobéir et donc commettre une injustice. Lois : engendrent, élèvent, éduquent les citoyens dans une cité précise. Les lois ne sont pas un obstacle à la liberté, un homme peut les déjouer, mais dans

choix d’accepter sa sentence puisqu’il s’agit d’un choix de raison. Il ne veut pas seulement le persuader en l’éblouissant par son sens de la rhétorique mais il tient à ce qu’il saisisse le sens de sa réflexion : le devoir, le nécessaire respect des lois. Ses arguments sont les suivants : • L’obligation de prendre en considération l’opinion du plus grand nombre qui est à même de nous faire périr… (réputation compromise, enfants non élevés) • La prévalence de vivre bien (sous entendu en accord

page 102, Antigone répond à Créon en affirmant que Polynice n’était pas un moins que rien : « Mais l’autre était son frère, et non pas son esclave. » Antigone élève la relation familiale en étant comme une valeur plus importante que les lois civiles, car désobéir à la loi lui permet d’affirmer l’amour pour son frère, son sang. Dans le film, Antigone va essayer de ressembler à son frère en se rasant les cheveux et en se tatouant les bras afin de prendre sa place en prison. Ce passage permet de prouver