Désobéissance Loi Légitime

La révolte est elle un droit ? La révolte est légitime à l’égard d’un ordre social qui repose sur la violence. Printemps Arabe, Révolution française, résistance française sous le régime nazis La révolte est illégitime lorsqu'elle n'est pas prise par le peuple. Coup d'état ; nazisme, Algérie sous de Gaule. La révolte ou rébellion est un sentiment d’indignation et de réprobation face à une situation. Elle est aussi, dans un sens plus précis, le refus actif d'obéir à une autorité. Elle

d’abord se définir par une absence totale de contraintes, de règles, de limites ; c’est une définition spontanée de la liberté et irréfléchie car on s’aperçoit rapidement que cette définition est naïve. Une telle conception renvoie à l’anarchie , à la loi du plus fort, à une apologie des passions et ne peut donc convenir à l’homme, vivant en société. La liberté civile, c’est la liberté du citoyen vivant en société et soumis à des lois. Ce sont les lois qui fixent les limites, les interdits et qui autorisent

Dissertation: La loi ignore presque le droit . <<victore hugo>>   http://philovive.fr/?2006/10/05/30-nul-nest-cense-ignorer-la-loi 1-Introduction : Je commencerais ce travail par des définitions simple, puisé sur internet du droit et de la loi afin d’en rappeler les contours.  Le travail que je vais tenter de détailler au mieux selon ma vison et ma compréhension de la citation ci-dessus relève

valent mes principes si la loi m’en donne d’autre ? La loi semble dans les deux cas apparaitre comme une limite de notre liberté. Remarque : C’est facile de s’imaginer que l’on serait plus libre sans société, en vivant nous même dans une société. Si la vie en société ne nous apporterait rien pourquoi on vivrait en société ? On accable la société de tous nos maux mais si on n’aurait rien à y gagner pourquoi vivrait-on en société ? Pas par peur de la loi. On pourrait dire la loi nous donne des droits,

création d’une Justice humaine L’injustice sociale La loi est paradoxalement injuste car il n’y a aucun juge impartiale. La seule solution est alors de la contourner. Les droits naturels revendiqués sont le droit de travailler, de vivre dignement, de manger, et enfin de mourir et d’être enterré. Ces droits n’existent qu’au travers de la désobéissance civile. D’où l’action violente devenue justifiée et légitime. Cette Justice s’oppose à la loi illégitime, et le héros devient justicier au nom d’une

de nous demander si, être juste, consiste t-il a obéir au droit naturel ou bien au droit positif ? Nous allons donc essayer de déterminer à quelles conditions la loi pourrait être dites juste. En principe, quand nous respectons les règles dictées par notre société, nous sommes considérés comme étant juste. Le juste, c'est ce que dit la loi (au sens juridique). Les règles sont forcement juste si, et seulement si, elles ont étaient décidés conformément à la procédure en vigueur dans la société. Le juste

l'obstination et la petitesse d'esprit d'un homme politique moyen : un quelconque président ou ministre, plus attaché à son siège qu'à la grandeur des sentiments. Et il est incroyablement têtu, se cramponnant au pouvoir qui lui permet de dicter sa loi, aveugle à toute humanité. Transposé dans les notions et les valeurs que notre histoire occidentale a développées1, le conflit est le plus souvent interprété comme mettant face-à-face le droit naturel, fondement de toute civilisation, et le droit positif

d'obéissance que là où la désobéissance est possible. Là où s'exerce une force ou une contrainte on ne peut parler d'obéissance. En effet, tous les corps sont soumis à la loi de la chute des corps. De même lorsque le gouverné est contraint par la force, il ne s'agit pas d'obéir mais de se soumettre à cette force. On ne parle pas alors d'obéissance mais de soumission. Quand une force l'emporte sur une autre, on subit la violence, on y cède, on n'y obéit pas. La désobéissance n'est alors pas envisageable

« rencontre manquée » du XXe siècle, celle de Lénine et Gandhi. À ceux qui opposent stérilement ces deux plus grands « théoriciens-praticiens révolutionnaires » du siècle passé, Balibar propose une articulation féconde entre dictature du prolétariat et désobéissance civile. Cette nouvelle hypothèse stratégique – une révolution combinant les mérites respectifs de la violence et la non-violence – enseignerait aux révolutionnaires d'aujourd'hui que leur lutte, pour être victorieuse, doit respecter un « principe

Sujets du Bac corrigés: Dissertation Faut il parfois désobéir aux lois? I - LES TERMES DU SUJET C'est le terme "loi" qui constitue ici le pivot de la réflexion puisqu'il faudra distinguer : la loi au sens scientifique qui relève du domaine de la nature et à laquelle on ne saurait désobéir puisqu'elle définit entre des phénomènes une relation universelle et constante qu'il n'est pas possible de transgresser. Les plus étonnantes prouesses de la technique utilisent les lois naturelles pour produire