Désobéissance Loi Légitime

incohérent…?... Ex : Peut-on obéir sans cesser d’être libre ? 2) la possibilité physique ou capacité : Avons-nous le pouvoir de…? En sommes-nous capables … ? Ex : Peut-on tout donner ? 3) la possibilité morale ou le droit : Est-ce permis ? Est-ce légitime ? En avons-nous le droit ? Est-ce justifiable ? Ex : Peut-on désobéir aux lois ? Pour chacun de ces sujets, délimitez à quelle sorte de possibilité vous devez réfléchir, sachant qu’un sujet peut porter sur plusieurs de ces possibilités. Eliminez

en fac) • « à bon droit » : de façon juste, légitime. Notons la polysémie des notions de droit et de justice : Au sens objectif, le droit c’est l’ensemble des lois instituées par les hommes pour régler de façon harmonieuse leurs rapports interindividuels et l’usage de leurs biens au sein d’une société ; on parle de « droit positif » Au sens subjectif, le droit est le pouvoir moral de revendiquer qq chose qui est permis par la loi (droit au travail, à la santé, à l’éducation) ; cette

les points de vue ne se valent pas, toutes les conceptions des droits de l’homme ne sont pas égales. Il y a une différence entre le positivisme juridique et le positivisme sociologique. Selon le positivisme sociologique, pour une règle soit légitime il faut qu’elle respecte la conscience collective en plus d’être prise par un organe collectif compétent. Le problème est que le texte sont très rapidement obsolètes et il est difficile de tous se mettre d’accord. Il y a souvent très peu de différences

conformerait volontairement ; Selon cette logique, elle devient l’outil de la fusion entre le collectif et l’individuel, médiation. SI j’obéis à la même loi que les autres, j’obéis à une loi supposée augmenter mes intérêts, car c’est par elle, par ces interdictions que j’obtiens de la liberté ; plus j’obéis à la loi plus je fais mon intérêt. La loi désigne l'ensemble des règles publiques qui organisent la vie sociale dans un État. Elle contient nos droits et nos devoirs dans de multiples domaines lorsqu'elle

s’abstiennent de commettre des injustes c’est parce qu’ils craignent d’être puni - Nous obéissons à nos devoirs parce qu’il fait y obéir. Cependant, la question pourquoi, nous incite à chercher les raisons légitimes, les motivations rationnelles de l’obéissance. Pour quelle raisons légitimes en mon âme et conscience je suis porté à obéir à mes devoirs. Est-ce que le vrai devoir n’a pas sa fin en lui-même. Le vrai devoir c’est celui que je choisi librement d’accomplir pour lui-même, parce que je

citoyens. Le but de tout Etat est le bien commun, ainsi, Rousseau définit dans Le contrat social que les hommes constituent le corps social et forment la volonté générale. Par ce contrat chacun s’engage envers tous à reconnaitre d’autre autorité que la loi qui émane de la volonté générale. C’est comme cela que les hommes obéissent à des lois qu’ils se sont eux-mêmes prescrivent, l’Etat est alors le garant de la liberté politique, de l’ordre, de la sécurité. Si jamais celui-ci venait à ne pas remplir ces

PHILONote :Commentaire :A quoi devons-nous obéir ? Emile Zola écrit, dans J’accuse … !  ; « Qui dit discipline dit obéissance. » La notion d’obéissance renvoi, en effet, assez souvent à celle d’ordre, de règle, de loi, elle suppose une hiérarchie entre celui qui demande ou ordonne l’obéissance, et celui qui obéis. Elle peut être définit de manière générale, comme le fait de faire ce qu’on nous a demandé ou ordonné. Mais qui est ce « on » qui fait appel à notre obéissance 

d’accord avec eux. C’est là où on doit prendre en considération la légitimité de la loi ou du gouvernement, ou de toute autorité en place, et la problématique du ‘‘bon’’, c'est-à-dire évaluer le bien-fondé de la règle à suivre et de la comparer avec ses propres principes et valeurs. L’histoire de Martin Luther King, que nous avons vue au dernier cours, appuie bien ce contre-argument. Prenons aussi pour exemple la loi sur le suicide assisté : article 241 du Code criminel du Canada : ‘‘Est coupable

étape, il analyse le seul changement possible d’une autorité violente en autorité légitime : « le consentement des peuples », ce qui lui permet d’introduire sa dernière idée. Pour qu’un pouvoir soit légitime il faut lui imposé les limites de la raison et de la mesure : « qui en rendent l’usage légitime, utile à la société, avantageux à la république » (l.22, 23), la soumission des princes comme des peuples à la loi divine (il n’est ici nullement question d’un délayage de l’autorité divine sur le

droit français accorde une place importante à la loi c’est un pays légaliste. En droit français il existe des raisons socio-culturelle à cet suprématie de la loi, elle est relativiser, la loi apparait quand même comme la source première dans d’autres pays. Pays dit de Commonwealth ( Angleterre, Etats-Unis, Australie) ils n’ont pas un système juridique qui est basé sur la loi mais basé sur la jurisprudence. Le juge fait la loi. Le doit c’est pas la loi mais le juge. Ce système différent s’explique par