Écrouelles

Selon le dico de l'academie, Dieu est le maître des rois, le roi n'a que dieu au dessus de lui. Le roi de france est un roi thaumaturge***, il à un pouvoir de guérison sacrée. On fait défilé devant lui des centaines de malades pour qu'il soigne les écrouelles(maladie comme tuberculose). Le roi à un pouvoir sacrée, il est sacré. IL y a un part de religion chrétienne, et aussi une croyance populaire. Louis XVI remplace la formule d'HenriIV, il dit le roi de touche, dieu de guerisse. Il affaiblit son pv

touché des écrouelles = pouvoir thaumaturgique du roi : capacité à faire des miracles, exercer des guérisons, il soigne  un mal par des écrouelles (c’est ce qui caractérise les témoins de la foi). Le roi témoigne de sa proximité avec la sainteté agissante dans le monde, l’améliore, continuité avec l’image du roi pasteur de son peuple (protège des vices, console…). Le roi protège, soigne, console, apporte paix et bonheur. C’est une cérémonie capitale, le roi effectue le miracle des écrouelles (Noël, pentecôte

la seule de ses maitresses à avoir une influence sur lui. III)Un prince humaniste. 1)La fois du Roi François 1er est très croyant. Il est persuader d’avoir des pouvoir divins tel que la guérison. Il pense pouvoir guérir la maladie des écrouelles. Il les touche et est persuader que sa permet leur guérison. (bien que très peu soit réellement guérie, et se qu’ils le sont son surement de mystificateur). Le problème du protestantisme. Inventé par Luther, il proteste contre les abus de l’église

sa légitimité. De par le sacre, le Roi est doté de différentes forces, différents pouvoirs. Au sortir de la messe cérémoniale par exemple, il est dit « thaumaturge » : il touche le front de sujets atteints de certaines maladies (notamment les écrouelles), en prononçant la formule : « le Roi te touche, Dieu te guérit. » Le sacre élève le Roi au dessus du reste des laïcs. Il devient un personnage sacré et inviolable, approchant même de l’ordre sacerdotal, c'est-à-dire du statut des prêtres.

Etienne Mengin Lecreulx 1°1 Commentaire de texte - les Lettres Persanes, Montesquieu « Y a-t-il un livre où l’on ait traité le gouvernement et la religion avec moins de ménagement ? » écrivait Voltaire à Monsieur de Cideville en 1733. Par cette question rhétorique Voltaire explique parfaitement l’objectif du philosophe politique des Lumières et savant Montesquieu lorsqu’il écrit son roman épistolaire (c’est-à-dire un roman écrit sous la forme d’une correspondance fictive entre

roi est titulaire d’un sacerdoce qui n’est réservé qu’aux hommes. Les femmes ne peuvent pas être sacrées et ne peuvent donc pas en conséquences participer aux choses divines qui sont le propre du roi ( lecture de l’évangile de Noël, toucher les écrouelles …) on cherche à tout prix à prouver que les femmes sont inaptes à gouverner, pour cela on regarde dans les écritures saintes, notamment dans l’évangile de St Matthieu où l’on trouve la phrase : « regardez les lys des champs, ils ne filent ni ne

bénédiction de l’évêque. Quelques jours après, il suit la procession des Rameaux, une palme à la main et son collier de l’ordre du Saint-Esprit sur les épaules. Henri IV lave les pieds de treize pauvres au palais épiscopal, touche les malades des écrouelles sur le parvis de la cathédrale suivant la tradition royale. Enfin il pose la première pierre du couvent des Capucins, toujours à Angers. Pendant ce temps le duc de Mercœur envoie sa femme, Marie de Luxembourg, en compagnie de ses représentants

va être Pépin le Bref, ce sacrement va au fil des règnes gagner en prestige et surtout permettre au roi d’acquérir une réelle légitimité. Pouvoirs thaumaturgiques, auquel le roi va recevoir lors de sont sacre le pouvoir de guérir les sujets des écrouelles, va d’autant plus légitimer le rôle du roi. La sacre s’accompagne également de tout un cérémonial, l’archevêque va ainsi remettre les regalia au nouveau roi (sceptre, et le symbole du monde sur lequel va s’étendre sont pouvoir et sa justice). Le

stupides en leur donnant du « pain et des jeux ». Ces absolutistes iront même jusqu’à dire qu’ils ont le pouvoir de guérir certaines maladies ; par exemple Hugues Capet, le premier Roi de France, prétendait avoir le pouvoir de guérir la maladie des écrouelles. La dernière raison est sans doute la plus importante, car elle nous dévoile le ressort et le secret de la domination, « le soutien et fondement de toute tyrannie ». Le tyran est soutenu par quelques hommes fidèles qui lui soumettent tout le pays

manipulation puisque le tyran ne fait que rendre au peuple une partie de ce qu'il lui a confisqué. L'usurpation d'un titre pour se voir accordé davantage de confiance. Le recours au mystère et à la religiosité du pouvoir (exemple: la guérison des écrouelles sous les rois de France). Les courtisans, complices de la tyrannie, qui ont à leurs ordres des organisations pyramidales (moyen de domination le plus efficace selon La Boétie). On remarque que la toute-puissance du tyran ne relève finalement que