Électronégativité

signifie que la capture nécessite que l’on fournisse de l’énergie car l’anion A-(g) est moins stable que l’atome A(g). A retenir : - Efix = - AE = -Efix en eV ou en J - AE > 0 => anion davantage stable - AE < 0 => anion moins stable 26 VII- ELECTRONEGATIVITE L’électronégativité d’un élément permet de caractériser la capacité d’un élément à attirer les électrons lors de la formation d’une liaison avec un autre élément. Dans l’échelle de Mulliken, l’électronégativité d’un élément vaut la somme de l’énergie

proviennent du même atome Liaison covalente polarisée 0,5 ≤ ΔEN ≤ 1,7 : les deux atomes sont différents et l’un attire préférentiellement les électrons de la paire. Liaison métallique : électrons mis en commun entre un grand nombre d’atomes Electronégativité (EN) : intensité de la force d’attraction qu’exerce un atome sur des électrons contenus dans une liaison d’une molécule Energie de liaison ou énergie de dissociation de liaison : énergie nécessaire pour briser les liaisons covalentes entre

distingue la liaison simple et la liaison multiple (double = ou triple ≡ ). III.3 Liaison ionique : III.3.1 Définition : La liaison ionique résulte de l’attraction électrostatique entre ions de charges opposées. Ainsi, deux atomes ayant des électronégativités très différentes peuvent former une liaison ionique par le transfert (échange) d’électrons de l’ion peu électronégatif vers l’ion le plus électronégatif. Exemple : la liaison ionique se forme généralement entre les métaux alcalins et alcalino-

sur un alcool (7 points) L’équation chimique de la synthèse du chloroéthane par réaction de l’acide chlorhydrique (solution aqueuse de formule H3O+ + Cl–) sur l’éthanol CH3-CH2-OH est : Données CH3 − CH2 − OH + CI− → CH3 − CH2 − CI  + OH− Électronégativités : C : 2,5 ; H : 2,2 ; O : 3,4. ᕡ De quel type de réaction s’agit-il ? (1 point) ᕢ Y a-t-il modification de chaîne ou modification de groupe caractéristique ? (1 point) Dans certaines conditions opératoires, le mécanisme réactionnel est constitué

basée sur la délocalisation des électrons dans le cas d’une électronégativité faible), les liaisons ioniques et les liaisons covalentes. Elles sont à l’origine des arrangements des cations et anions dans la céramique et influent grandement sur la structure. Le caractère ionique ou covalent de la céramique dépend principalement de la différence d’électronégativité des éléments constitutifs de la céramique. Si on a une grand électronégativité, la céramique a un caractère ionique et inversement. On aura

Point de fusion 1 538 °C 1 Point d’ébullition 2 861 °C 1 Énergie de fusion 13,8 kJ·mol-1 Énergie de vaporisation 349,6 kJ·mol-1 Volume molaire 7,09×10−6 m3·mol-1 Pression de vapeur 7,05 Pa Vitesse du son 4 910 m·s-1 à 20 °C Divers Électronégativité(Pauling) 1,83 Chaleur massique 440 J·kg-1·K-1 Conductivité électrique 9,93×106 S·m-1 Conductivité thermique 80,2 W·m-1·K-1 Solubilité sol. dans H2SO4dilué4, HCl 5 Énergies d’ionisation6 1re : 7,9024 eV 2e : 16,1877 eV 3e : 30,652 eV

LIPCOM-LGX Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes 1er cycle –PCEM1 – Physiologie – Physiologie neuromusculaire M1AB Année Universitaire 2008 - 2009 Le potentiel de repos est maintenu grâce - Protéines intracellulaires non diffusibles : - Electronégativité - Equilibre de Donnan Mécanismes du potentiel de repos L. Intra Cell. K+ K+ Diffusion du K+ Pompes Na+/K+ - Canaux de fuite Na+/ K+ (80 %) - Perméabilité K+> Na+ (x 50 à 100) - Flux sortant K+> Flux entrant Na+ - Pompes Na+/ K+ (20 %)

covalentes). Définition : Charge hypothétique ou imaginaire (ou charge réelle dans le cas des ions) qu’aurait l’atome si, pour chaque liaison, le doublet d’électrons de la liaison était entièrement donné à l’atome le plus électronégatif. Électronégativité : Tendance d’un atome à attirer vers lui les électrons d’une liaison chimique. Exemples : *Voir les Règles d’attribution des nombres d’oxydation dans le « Cahier de nomenclature » pp. 69-72. *Voir les variations périodiques des nombres

suivant leur nature, ont différentes possibilités lors de l'établissement des liaisons chimiques, pour satisfaire au principe de l'octet. Ces possibilités sont liées essentiellement à leurs configurations électroniques périphériques et à leurs électronégativités relatives : χ (échelle de Pauling). Plus un atome est électronégatif, plus il aura tendance à attirer des électrons. Suivant la différence d’électronégativité Δχ entre les atomes concernés, on aura : - Pour Δχ = 0 une liaison covalente pure

�L’électronégativité�augmente�le�long�d’une�période� du�tableau�périodique. � c)� �Comme�ces�éléments�sont�très�stables�chimique- ment�(couche�périphérique�saturée�d'électrons),�la� notion�d'électronégativité�n'est�pas�définie. � d)� Le�béryllium�(Be) Page 45 � e)� Solution numérique : Électronégativité du bore (B) = É (B) É (C) ≈ 2, 5 É (Be) ≈ 1, 5 É (B) ≈ É (Be) + É (C) − É (Be) 2 2, 5 − 1, 5 2 = 1, 5 + = 2Kaléidoscope, 4e secondaire ST-STE Chapitre 1 - Corrigé� Reproduction�autorisée�©�TC�Média�Livres�Inc. 6 Solution graphique : La�va