Eliade

l’Origine des choses, avant la naissance du temps historique. Il diffère de la fable qui est une histoire qui aboutit à une morale. Le mythe n’est pas construit pour aller vers une morale à recevoir, il reste ouvert à toute interprétation. Mircéa Eliade en donne cette définition : « Le mythe raconte une histoire sacrée ; il relate un événement qui a eu lieu dans le temps primordial, le temps fabuleux des commencements. Autrement dit, le mythe raconte comment, grâce aux exploits des Êtres Surnaturels

pour son rôle dans la formation d'une culture de l'obéissance et dans le maintien de la domination coloniale et néocoloniale en Amérique latine. MIRCEA ELIADE :La théorie de Mircea Eliade sur la religion affirme que toutes les sociétés humaines entretiennent une relation particulière avec une idée, un objet ou un lieu considéré comme sacré. Pour Eliade, le sacré est le domaine de l'absolu, de l'ineffable, de l'inconnu et de l'inaccessible, qui se distingue du domaine profane du quotidien. ex. la religion

les figures mythiques. Pour Éliade, le mythe est histoire de l’origine du Temps, d’une création du réel par les dieux et Héros. Enfin, Malinowski distingue magie et religion, la première reposant sur des techniques d’action immédiate sur la nature, la seconde reposant sur des valeurs assurant la pérennité d’une organisation sociale. Œuvres Bergson, Les deux sources de la morale et de la religion ; Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse ; Éliade, Le Sacré et le Profane ; Feuerbach

qu’après avoir résolu une série de situations désespérément difficiles ; voire dangereuses ; c’est-à-dire après avoir subi les « tortures » et la « mort », suivies du réveil à une autre vie, qualitativement différente parce que régénérée », Mircea Eliade. « Captain Blood » A la base, c’est un roman de Sabatini qui est un maître des romans d’aventures italiens. Le film date des années 1930, soit entre les deux guerres. Il y a de l’amour. Les hommes ont prêté serments : « Le monde est contre nous

Pommier, 2004. Georges Dumézil, Mythes et Dieux des Indo-Européens, Champs Flammarion, 1992. Mircéa Eliade, Le mythe de l’éternel retour, Gallimard Folio essais, 1969. Mircéa Eliade, Techniques du Yoga, Gallimard Folio essais, 1975. Mircéa Eliade, La nostalgie des origines, Gallimard Folio essais, 1971. Mircéa Eliade, Histoire des idées et des croyances religieuses (3 vol), Payot, 1989. Mircéa Eliade, Le Chamanisme et les techniques archaïques de l'extase, Payot, 1978. Eymerich & Peña, Le manuel

77 , n’est fait que Que nous résumons, en raison de leur utilité ultérieure : 1. Conscience d’une réalité transcendante : le domaine du surnaturel perceptible comme miraculeux, le plus souvent portant les marques du sacré (Roger Caillois, Mircea Eliade) ; complexe définissant une caractéristique mentale universelle, liée (par Rudolf Otto) à une structure émotionnelle spécifique : le numineux ; 2. Le double, la mort et l’au-delà : soit l’immortalité de l’âme ; 3. L’altérité : véritable grille de

Elle s’incarne matériellement par un espace qui n’est jamais laissé au hasard : la mise en espace de la religion renseigne déjà sur le contenu de cette dernière. C’est une idée assez classique, bien montrée notamment par des auteurs comme Mircea Eliade dans l’ouvrage Le Sacré et le Profane. Le premier chapitre est intitulé « L’espace sacré ». On peut lire : « pour l’homme religieux cette non homogénéité spatiale se traduit par l’opposition entre l’espace sacré, et tout le reste, l’étendue informe

p.86. Ibid., p.86. 26 Ibid., p.87. BIBLIOGRAPHIE Bellemin-Noël, Jean, Gradiva au pied de la lettre, Paris, P.U.F., coll. « Le fil rouge », 1983. Bettelheim, Bruno, Psychanalyse des contes de fées, Paris, Pocket, coll. « Evolution », 1999. Eliade, Mircea, La nostalgie des origines, Paris, Gallimard, coll. « Folio Essais », 1991. Feray (P.-R), Paris, P.U.F., coll. « Que sais-je ? », n°398, 1992. Jauss, Hans Robert, Pour une esthétique de la réception, Paris, Gallimard, 1978. Lafforgue, Pierre

116 Dickens, 5 Disciple Godrakpa, 24, 54, 80, 81, 83 Dodsley, 26, 55, 95, 96, 124 Dôgen, 79 Domat, 40, 51 Don Peppers, 132 Donn, 9 Dru, 12, 13, 14, 75, 82 Duc du Maine, 42 Dufresny, 26 Dumem, 138 Dupuy, 123, 128 Duthuit, 84 Eckhart, 22 Einstein, 84 Eliade, 62 Elkabbach, 138 Épictète, 26, 47, 50, 54, 66, 68, 75, 77, 80, 86, 101, 118, 121 Épicure, 25, 72, 95, 112 Eschyle, 95, 129, 131 Faillant-Dumas, 123 Fen-Yang, 76 Flickstein, 66 Foch, 38, 100, 101, 135 Foscolo, 24 Fouks, 131 Frédéric II, 75, 103,

civilisations – avant d’envisager l’étude anthropomorphique du temps – est sans doute la séparation entre une vision linéaire du temps, prévalant en Occident, et une vision cyclique de l’ordre temporel, prévalant par exemple en Inde (cf. l’œuvre de Mircéa Eliade). Représentation spatiale[modifier] Le temps est souvent représenté de façon linéaire (frises chronologiques). Cependant, des représentations en spirales, voire en cercles (le temps est un éternel recommencement) peuvent être trouvées marquant ici