Empirisme Abstrait

question de nombres ou de grandeurs idéales comme dans les mathématiques. Notre pensée est tournée vers des phénomènes physiques, ou des attitudes humaines, qui ne sont pas du même ordre que nos idées. Il faut donc que notre esprit sorte de son monde abstrait et soit en contact avec une réalité extérieure. C’est la connaissance empirique du galet et de celle du soleil qui nous fait déclarer que la chute du premier ne peut éteindre le second car il y a une disproportion écrasante. C’est elle également

comme l’application aux biens économiques de la théorie générale du plaisir. Jevons précise qu’il ne conçoit pas l’utilité comme une qualité intrinsèque aux marchandises à la manière des économistes classiques. Chez lui, l’utilité est une «qualité abstraite», liée à la relation entre l’individu qui exprime des besoins et un bien, dont la consommation est susceptible de lui procurer du plaisir. Jevons envisage deux dimensions quantitatives de l’utilité : d’une part, l’intensité de l’utilité ou le degré

Chapitre 2 : Le bonheur Introduction I- Le Souverain Bien - Aristote, texte 12 page 114 II- L’idéal de l’imagination - Kant, texte 35 page 319 III- Différents concepts du bonheur Conclusion Introduction Bon Heur Mal  Heur L’heur, c’est d’abord la chance ou la fortune. Se sont deux configurations qui se rattachent à quelque chose où il y aurait une forme de passivité. C’est quelque chose que l’on attend et que l’on veut atteindre (attendre/atteindre). La lanterne

Travaux dirigés de Droit Pénal et Sciences criminelles. SEANCE 1 : Méthodologie. 3 execices : LE COMMENTAIRE DE PHRASE, DE SHCEMA ou LA DISSERTATION → La phrase d'accroche : Elle a 2 objets, elle délimite un domaine et elle doit crée une envie chez le lecteur. → La définition des termes : Par exemple pour les sciences criminelles normatives, on fait d'abord la définition de sciences, puis celles de sciences criminelles et celle de science criminelles normatives. La définition

 Le sujet de notre réflexion est le bonheur. Après avoir étudier et compris cette notion de bonheur à travers la thèse du philosophe Blaise Pascal, qui nous dit que la recherche du bonheur est universelle. Et qu'ainsi elle est faite d'une satisfaction complète sans limitation de durée, nécessairement inscrite dans la nature humaine. Le désir d'être heureux serait donc le moteur secret des actions des hommes. C'est donc grâce à cette doctrine, que nous lecteurs, nous comprenons que le bonheur étant

FICHE DE LECTURE : Marie-France, Grinschpoun, Construire un projet de recherche en sciences humaines et sociales – Une procédure de mise en lien, Paris, Enrick Edition, 78 pages. Mots clés : Méthodologie, outils d’investigation, analyse, variables. Genre de l’ouvrage : Ouvrage de synthèse méthodologique. Thème de l’ouvrage : L’auteur donne une explication générale et une méthodologie pour la réalisation d’un travail de recherche en sciences humaines et sociale. Elle définit les termes

La pensée humaine se définit comme étant rationnel et répondant à la logique de la raison.Mais si la raison est incontestablement limitée par ses lois et la réalité , la pensée semble douée dunepossibilité infinie. Dans son uvre « Enquête sur lentendement humain » , David Hume se penche surlorigine de nos pensées et le lien entre pensée et expérience sensible en tant que perceptions. Nouspourrions ainsi nous interroger sur la capacité soi-disantillimitée de lesprit humain. Ya-t-il une

La science et l’hypothèse Henri POINCARÉ 1902 éd° Flammarion (1968) coll. Champs sciences 33 Axiomes et intuition Ces [conventions déguisées] se rencontrent surtout dans les mathématiques et dans les sciences qui y touchent. C’est justement de là que ces sciences tirent leur rigueur ; ces conventions sont l’œuvre de la libre activité de notre esprit, qui, dans ce domaine, ne connaît pas d’obstacle. Là, notre esprit peut affirmer parce qu’il décrète ; mais entendons-nous : ces décrets

"Il n'y a pas d'homme si jeune et si inexpérimenté qu'il n'ait formé, par observation, quantité de maximes générales correctes sur les affaires humaines et la conduite de la vie ; mais on doit avouer que, lorsqu'il en viendra à les mettre en pratique, il sera extrêmement exposé à l'erreur jusqu'au moment où le temps et une expérience plus poussée étendront ces maximes et lui enseigneront aussi à les utiliser et à les appliquer correctement. Dans toute situation et dans tout évènement, il y a de

« On a dit souvent qu'une hypothèse scientifique qui ne peut se heurter à aucune contradiction n'est pas loin d'être une hypothèse inutile. De même, une expérience qui ne rectifie aucune erreur, qui est platement vraie, sans débat, à quoi sert-elle ? Une expérience scientifique est alors une expérience qui contredit l'expérience commune. D'ailleurs, l'expérience immédiate et usuelle garde toujours une sorte de caractère tautologique , elle se développe dans le règne des mots et des définitions ;