Environnement Institutionnel Automobile

. III - LA COORDINATION DES POLITIQUES SECTORIELLES........................... ...... A - Transports et Télécommunications.................................... ..................... ........ B - Agriculture, Sécurité Alimentaire et Environnement ........................................... C - Le Commerce, l’Industrie et le Tourisme................................................. ......... D - Education, Formation Professionnelle, Recherche, Culture et Travail............ ...

le déficit en recherche ; il peut encourager les firmes à investir en augmentant le rendement privé, à travers des subventions, des avantages fiscaux ou autres ; il peut tenter de limiter les imperfections des marchés en modifiant le contexte institutionnel dans lequel les agents opèrent (politique de concurrence, législation des brevets). Source : D. GUELLEC, Economie de l’innovation, Collection Repères, La Découverte, 2009. Document n°4: Un pôle de compétitivité rassemble sur un territoire

* * * Introduction À l’heure actuelle le secteur des transports est responsable du tiers des émissions de dioxyde de carbone (CO2). Un plan national a été établi avec pour ambition de développer à grande échelle les véhicules automobiles électriques, qui incluent les véhicules tout électrique et les véhicules hybrides rechargeables. La question du dernier km pour un centre urbain comme Toulouse a de quoi intéresser de plus en plus d’entreprises cependant exigences des municipalités en

ouverture et sa stratégie de libéralisation des échanges dans le cadre du plan d’ajustement structurel au début des années 80. Par ailleurs, d’autres réformes (2000) intégrant les secteurs traditionnels aux nouveaux secteurs (électronique, aéronautique, automobile) contribuant au positionnement du Maroc en termes d’échanges commerciaux. En 2009, la stratégie « Maroc Export Plus » est mise en place pour la promotion des exportations. Cette stratégie vise à doubler les exportations en 2015 et à les tripler

spécifique : 1) La communication commerciale (ou com marketing) 2) La communication institutionnelle (ou corporate) 3) La communication sociale 4) La communication interne La communication commerciale La communication commerciale représente l'essentiel des investissements publicitaires des entreprises : . la part restante est investie en communication « non marchande » (par ex. com. institutionnelle, com. interne, com. sociale…) . la communication commerciale est l’un des 4 éléments du

redevable après avoir causé un dommage. ASSURANCES DE BIENS : couvrent les dommage subis par les biens. ASSURANCE HABITATION : principaux sinistres susceptible de frapper le logement, son contenu et ceux résultant de la responsabilité. ASSURANCE AUTOMOBILE : permet de s'assurer contre 3 principaux risques : celui d'engager sa responsabilité en causant un préjudice a autrui, celui d'endommager son véhicule et celui de subir un dommage corporel personnel. ASSURANCE RETRAITE : ASSURANCES EN COUVERTURE

Maroc (GIM) et l’élection du premier président marocain Mohamed Ammor. Depuis le 16 mai 2012, c’est Miriem Bensalah Chaqroun qui préside la CGEM. La CGEM compte 31 Fédérations sectorielles couvrant l’ensemble de l’activité économique (secteur automobile,bancaire,Energie,...). Missions : Le Pôle des Relations Internationales a pour mission principale de constituer un espace de rencontre des opérateurs économiques marocains avec leurs homologues étrangers en vue de : Défendre les intérêts

------------------------------------------------- SOMMAIRE Introduction I) Général Motors, la pupille de la nation a. Activité, fonctionnement, chiffres clés b. Historique de Général Motors c. Stratégie, politique et environnement II) Une forte interdépendance entre Général Motors et L’Etat d. Les enjeux de Général Motors pour L’Etat e. Les aides financières f. Une restructuration nécessaire Conclusion Introduction General Motors est une

intervenant dans toutes les branches d'assurances et dans de très nombreux pays. C'est aux États-Unis (A.I.G.) et au Japon que l'on trouve les plus grandes sociétés d'assurances, qui interviennent, en sus des assurances traditionnelles – automobile, incendie, responsabilité civile, dans les branches accidents du travail et santé, branches d'assurances réservées dans d'autres pays, comme la France, à des organismes publics (Sécurité sociale). La France a connu à la fin de 1996, avec la fusion

d'un ou plusieurs avantages spécifiques est nécessaire mais pas suffisant pour réussir son internationalisation. La firme doit encore veiller à la transférabilité (internationale) de cet avantage : la possibilité de le reproduire dans un environnement institutionnel, culturel, politique, ...différent. L'enjeu : un avantage effectif mais non transférable devrait conduire la firme rationnelle à abandonner le mode intégratif : lui préférer le mode commercial ou la cession de licence (contre royalties)