Équation aux dérivées partielles

le minimum, on dérive des λi et l’on pose ces dérivées partielles égales à zéro (condition d’un extrémum; cet extrémum est un minimum) École Polytechnique - GLQ3401 Krigeage - D. Marcotte 4 On obtient alors le système linéaire suivant comportant « n » équations à « n » inconnues (les « n » λi) ∑ λ j Cov[Zi , Z j] = Cov[Zv , Zi] j=1 n ∀ i = 1...n À l’optimum, la variance d’estimation s’écrit, tenant compte des équations précédentes: σ2 = Var[ Zv] - ∑ λi Cov[Zv , Zi

par des équations différentielles. Pour le problème de séparation aveugle de source, nous définissons la notion de séparabilité selon un modèle d’entrées fixé, puis proposons des méthodes de séparation basées sur des statistiques des signaux et de leurs dérivées. Pour le problème d’estimation aveugle de paramètres, nous définissons la notion d’identifiabilité en aveugle selon un modèle d’entrées fixé et présentons une méthode d’estimation exploitant également les résultats sur les dérivées de signaux

épreuves (partiels, épreuves finales) du DAEU préparées à l’Université de Picardie Jules Verne sont écrites. Les matières du DAEU Littéraire (DAEU A) sont nommées de A1 à A7. Les matières du DAEU Scientifique (DAEU B) sont nommées de B1 à B5. Évaluation, notation finale L’évaluation s’effectue à travers le contrôle continu (noté C) et l’épreuve finale (notée E). Le contrôle continu comprend deux partiels par matière préparée. La note C est la moyenne des notes obtenues aux 2 partiels. Ces derniers

..................................................................................... 31 Lois de conservation .................................................................................................................................. 31 Dérivée particulaire d’une intégrale de volume ....................................................................................... 31 Théorème de la divergence..........................................................................................

pH et sa mesure Le pH est lié à la concentration des ions oxonium H3 O+ par : pH = − log [H3 O+ ] les produits coexistent à des concentrations fixes, constantes. On utilise une double flèche (⇄) pour indiquer l’existence d’un équilibre dans une équation-bilan. La simple flèche (→) est une réaction totale, la flèche inverse (←) est une réaction totale, mais écrite dans l’autre sens. Solution d’acide chlorhydrique Dans une telle solution, on a vu en TP que : [H3 O+ ] = c, l’acide est dit fort car

ouvert . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1 Introduction au potentiel chimique du corps pur . . . 2.2 Premières conséquences . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Potentiel chimique et grandeurs molaires . . . . . . 2.4 Dérivées premières du potentiel chimique . . . . . . 2.5 Dérivées secondes du potentiel chimique . . . . . . 2.6 Relation de G IBBS -H ELMHOLTZ . . . . . . . . . . 3 Entropie molaire absolue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . i 1 1 1 2 3 4 6 10 10 10 11 13 15 15 15 16 16 17 18

euclidien la sphère unité de l’espace euclidien k k+1 , c’est-à-dire ∂ k+1 iii Liste des résultats 1.1 1.1 1.1 1.2 1.2 1.3 1.3 1.4 1.4 1.5 1.5 1.5 1.6 1.6 2.1 2.2 2.3 2.3 2.4 2.4 2.5 2.5 2.6 2.6 2.7 2.7 3.1 3.1 Prolongements d’un ordre partiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Théorème de Cantor-Bernstein . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Formule du crible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Théorème chinois pour les groupes abéliens

Rond, dit D’Alembert (1717-1783) C’est un mathématicien, philosophe et encyclopédiste français. Il est célèbre pour avoir dirigé l’Encyclopédie avec Diderot jusqu’en 1757 et pour ses recherches en mathématiques sur les équations différentielles et les dérivées partielles. Ses travaux de mathématiques le font accéder à 23 ans à l’Académie des Sciences. En 1743, il publie son célèbre Traité de Dynamique. Ami de Voltaire, co-directeur de l’Encyclopédie, il démissionne en 1759, se brouille

Modèle régional 6. Selon les autres critères : On peut combiner les critères ou ajouter d’autres. Par exemple selon le contenu du modèle (industriel, financier …) selon le « volume » (nombre des équations des variables) selon la nature des équations (identité, de définition, d’équilibre …) la forme des équations (linéaires ,non linéaire…) II- Modèles économétriques Ce point sera traité en définissant le modèle économétrique d’abord et en présentant ensuite la structure générale d’un modèle économétrique

. . . . . . . . 2.2 Relations de comparaison . . . . . . 2.3 Dérivabilité . . . . . . . . . . . . . . . 2.4 Développements limités . . . . . . . 2.5 Convexité . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.6 Intégration . . . . . . . . . . . . . . . . 2.7 Équations différentielles ordinaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .