Ethnocentrisme Des Lumieres

l’argumentation du XVIe siècle à nos jours : Réflexion sur la barbarie. Perspectives d’étude : Les genres argumentatifs et leur efficacité. Approches de notions : barbarie, humanité, mythe du « bon sauvage », civilisation, relativisme, ethnocentrisme. Histoire littéraire : les différents mouvements des textes. Problématique : Qu’est-ce que l’être humain, entre nature et culture ? Séquence 1 : groupement de textes : le sauvage. Lectures analytiques : Montaigne, Essais, I, 31

un break -l’incarcération vécue comme quelque chose de catastrophique -celle vécue de manière calculée car il y a peut être des enjeux éco politique -Et l’incarcération protectrice La question du jugement de valeur: une illustration par ethnocentrisme c’est un concept qui vient de l’ethnologie qui est apparue en même temps que ce terme au milieux du 20 eme siècle « la tendance plus ou moins consciente a privilégier les formes et les valeurs culturelles du groupe ethnique auquel on appartient

insister sur une qualité physique. On ne trouve pas non plus de verbe « avoir », les débats autour de l'avoir et de l'être partent de ceux qui les possèdent dans leur propre langue. L'analyse se base donc sur des catégories ethnocentrisées et cet ethnocentrisme est un révélateur, Benvéniste ne parlera pas de hiérarchie des langues. La dialectique est un dépassement des contraires, la philosophie chinoise utilise le « Ying » et le « Yang » mais peut également intégrer cette notion de dialectique propre

progressiste. Etat démocratique considéré comme résultat d'un progrès continu de l'Histoire politique, d'une évolution croissante de l'autonomisation politique vis a vis du religieux (=sécularisation). Norbert Elias pour analyse socio-historique. Ethnocentrisme : consiste à répudier purement et simplement les formes culturelles : morales, religieuses, sociales, esthétiques qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions. Barbare et civilisé : Antiquité confondait tout ce qui ne

rapidement le courant postmoderniste, auquel James Clifford peut être rattaché. Dans les sciences sociales, la période historique qualifiée de modernité débute selon les disciplines à partir du dix-septième siècle, sous l’impulsion des philosophes des Lumières pour finir au vingtième siècle, mais les critères de délimitation de la modernité sont variés. Il faut distinguer la modernité du modernisme. La modernité constitue un ensemble d’idées philosophiques, politiques et sociales, et à la fois éthique

qu’il faut trouver une morale qui plait à tout le monde et il propose la générosité (Mélange de laïcité et de charité). Puis il y a « l’Ethique » de Spinoza. v Au 18ème apparait les « Lumières ». Ils créent la morale de la liberté et de l’égalité. C’est une morale très uniforme qui a deux variantes. Les lumières Anglo-Saxonne (David Hume : morale fondé sur l’intérêt, utilitarisme) et Franco-allemande (Kant : Morale fondé sur le devoir : criticisme) Il y a deux principes : * L’impératif catégorique :

qu’il faut trouver une morale qui plait à tout le monde et il propose la générosité (Mélange de laïcité et de charité). Puis il y a « l’Ethique » de Spinoza. * Au 18ème apparait les « Lumières ». Ils créent la morale de la liberté et de l’égalité. C’est une morale très uniforme qui a deux variantes. Les lumières Anglo-Saxonne (David Hume : morale fondé sur l’intérêt, utilitarisme) et Franco-allemande (Kant : Morale fondé sur le devoir : criticisme) Il y a deux principes : * L’impératif

séculières ». Elle interroge parallèlement la pertinence du lien entre le christianisme et la sécularisation; Leo Strauss, par son analyse critique de la Modernité, se fait l'avocat du retour à la tradition de la philosophie politique pré-moderne et aux Lumières médiévales juives; L’autre dominante conteste le concept de sécularisation pour lui préférer celui de sécularité, ce dernier étant beaucoup plus adapté pour rendre compte de la légitimité propre aux temps modernes. Telle est la tâche philosophique

considérations historiques sont demeurées subordonnées. La chose change peut-être avec Rousseau qui, tout en reconnaissant prudemment le caractère fictif de l’état de nature, n’hésite pas à multiplier les comparaisons avec les sauvages. Au coeur des Lumières, alors que la science est totalement imprégnée de l’histoire naturelle naissante, poser l’origine de la société civile n’équivaut déjà plus à s’engager simplement dans une reconstruction des conditions rationnelles de celle-ci. Cela implique également

aussi une part d’« ange » en lui (voir ce mot). Anthropocentrisme : Conception qui consiste à mettre l’homme au centre du monde et qui conduit à penser que celui-ci est supérieur aux autres créatures vivantes. L’anthropocentrisme peut dériver en ethnocentrisme lorsqu’à cette époque, on tend à faire de la culture européenne chrétienne la seule culture de référence possible. À l’inverse, l’anthropocentrisme peut aussi déboucher sur un « humanisme » sous la forme d’une défense des « droits de l’Homme »