Ethnocentrisme Et Racisme

Origine du livre En 1952, l'Unesco publie une série de brochures consacrées au problème du racisme. Claude Lévi-Strauss écrit pour l'occasion Race et Histoire. Il critique la thèse racialiste de Joseph Arthur de Gobineau (1816-1882), selon laquelle il y aurait trois grandes races primitives (la noire, la blanche et la jaune), thèse qui fait de lui l'un des pères du racisme. D'après Gobineau ces races n'étaient pas inégales en valeur absolue mais avec des aptitudes particulières et ce serait le

est unique et spécifique, et donc les idées de supériorité vont disparaître. Les idées d’Ethnocentrisme vont peu à peu disparaître. Ethnocentrisme : Attitude qui consiste à observer et juger une société avec son propre système de valeur et critères de la société de laquelle on vient. Le regard est ainsi biaisé. Attention !! : Racisme ≠ Ethnocentrisme Il existe des races Tenir sa culture, ses propres Les races sont hiérarchisables critères sociaux comme référence et Les

Daeninckx utilise dans ce passage, le procédé de raisonnement déductif, il étale plusieurs faits, paroles et actions plus ou moins frustrantes et dérangeantes, pour aboutir à éveiller la conscience du lecteur ou même à lui faire peur vis-à-vis de ce racisme permanent. Dès le début de l’œuvre nous avons des éléments qui montrent le regard péjoratif que les Français portent sur l’autre, c'est à dire tout ce qu'il considère comme étant différent de lui-même. C’est ainsi que dès la

texte de son auteur. Précédant de peu Tristes tropiques (1955), qui le fit connaître du public, c’est un essai important quoique bref, dans lequel Lévi-Strauss pose clairement certains problèmes cruciaux que pose la diversité humaine : racisme ethnocentrisme, rapport entre culture et civilisation, etc. Malgré sa complexité, cet essai, magistralement écrit, est un ouvrage de moraliste moderne dont la lecture est passionnante. Nous avons choisi un premier extrait définissant la notion d’ethnocentrisme

les cultures primitives tendent à disparaître alors que les sociétés dites « développées » car elles ont une aptitude plus grande à civiliser l’homme. 5. Il est discutable de les hiérarchiser car en tant qu’Européens nous avons une vision ethnocentrisme et que chaque culture aurait besoin d’un critère spécifique à celle-ci pour être juger. 6. C’est l’ethnocentrisme et le préjugé que sa culture est là culture en rejetant celle des autres. Il prend l’exemple des Grecs et des Occidentaux qui

touché par le racisme, quels sont les autres discriminations dans la vie de tous les jours, et qui luttent contre le racisme ? Annoncé le plan : -Dans l’introduction, je présente le racisme. -Dans le I, je donne la définition du racisme. -Dans le II, je vais définir la discrimination raciale, je vais énoncer toutes les catégories de personnes discriminé et je vais dire les discriminations qui concernent la vie de tous les jours. -Dans le III, je vais expliquer qui lutte contre le racisme. -Dans

bien un tel esprit. Racisme ou préjugé racial ? La précision qu’apporte l’UNESCO dans les lignes suivantes nous édifie largement : le préjugé racial, historiquement lié aux inégalités de pouvoir, se renforçant en raison des différences économiques et sociales entre les individus et les groupes humains et visant encore aujourd’hui à justifier de telles inégalités est totalement injustifié.2 Il ne serait certainement pas superflu de préciser que les notions de racisme, ethnocentrisme, sociocentrisme et

comme celui qui touche le plus d’aide social. Ces stéréotypes prennent parfois naissance à partir des journaux, des articles de presse et de comment l’étranger est construit et comment son pays d’origine est représentée. Il y a parfois là un ethnocentrisme subtile. Jugeant ainsi l’autre comme « inférieur » à nous, nous avec la meilleure cuture (le migrant quand il arrive une des choses qui lui ait demandé voire s’impose à lui c’est de s’adapter à la culture du pays d’origine). Exemple : le soir

oeuvre au caractère pluridisciplinaire. En 1952, l'UNESCO (l'Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture) publie une série de brochures sur le thème du racisme. C'est à cette occasion que Lévi-Strauss écrit Race et Histoire. Cette action de l'UNESCO vise à lutter contre les préjugés du racisme et cet objectif est tout à fait rempli par la contribution de Lévi-Strauss. En effet celui-ci tente de démonter la thèse de Gobineau (datant du milieu du XIXè siècle mais toujours

signifie-t-il qu’il est entièrement impossible de juger objectivement de la valeur d’une culture ? S’il faut s’abstenir de juger c’est avant tout parce que tout jugement comporte un risque d’ethnocentrisme. N’est-il pas possible de dépasser cet ethnocentrisme pour juger objectivement une culture à partir de la compréhension qu’on en a ? A partir du rejet de l’ethnocentrisme et du refus méthodologique du jugement il devient primordial de tester une autre possibilité qui s’ouvre pour juger objectivement