Exemples Actuels De La Théorie De Joan Woodward

D’ THEORIES DES ORGANISATIONS IPD-AC / Elearning Rédigé par : Pr SAME KOLLE (Maître de Conférences) Consultant à l’IPD-AC Institut Panafricain pour le Développement- Afrique Centrale SOMMAIRE INTRODUCTION PARTIE 1 : LES THEORIES CLASSIQUES DES ORGANISATIONS.......................................................................................... 4 CHAPITRE 1 : L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL ET LA RATIONALISATION DES PROCEDURES ............... 4 1 TAYLOR ET L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE

interviennent et par conséquent, on peut connaître à l'avance les résultats de la décision. Ce sont en général des décisions liées à l'exploitation de court terme. Exemple : prévoir une tournée de livraison. - Décision aléatoire : L'organisation peut connaître les différentes éventualités et associer une probabilité à chacune. Exemple : nombre de caisses à ouvrir dans un hypermarché pour limiter le temps d'attente des clients en fonction des heures et des jours. - Décision incertaine : l'organisation

processus : un processus est un ensemble d’activités reliées entre elles par des flux physiques, des flux financiers et des flux informationnels dont la combinaison permet de produire un bien ou un service défini et destiné à satisfaire un client. Exemple : le processus développement du produit : toutes les actions du concept au prototype ; le processus vente qui irait de la prospection jusqu’à la prise de commande. L’organisation par processus est une organisation transversale qui est définie par

à des tendances culturelles opposées par l'accent qui est mis, selon le cas, sur l'intérêt individuel ou sur l'intérêt collectif. Hofstede et Trompenaars ont mis ces tendances en lumière dans leur grille culturelle respective. Selon Hofstede, par exemple, les cultures individualistes ont tendance à privilégier un système de récompenses individuelles, tandis que les cultures collectivistes mettent l'accent sur le travail d'équipe. Le CO devrait nous aider à être plus conscients de l'effet des différences

interviennent et par conséquent, on peut connaître à l'avance les résultats de la décision. Ce sont en général des décisions liées à l'exploitation de court terme. Exemple : prévoir une tournée de livraison. - Décision aléatoire : L'organisation peut connaître les différentes éventualités et associer une probabilité à chacune. Exemple : nombre de caisses à ouvrir dans un hypermarché pour limiter le temps d'attente des clients en fonction des heures et des jours. - Décision incertaine : l'organisation

profit suit cette demande, les ressources seront donc utilisés au mieux pour satisfaire les besoins des consommateurs, il n’y a pas de productions inutiles. o La satisfaction des besoins des consommateurs au moindre coût. Ex : télécommunications. • Théorie de la « main invisible » Chaque individu qui œuvre pour son propre intérêt œuvre pour l’intérêt général. 2) Un lieu d’innovation • Différence entre invention et innovation  Invention : découverte technique sans forcement d’application  Innovation

INTRODUCTION GENERALE C’est vers la fin des années soixante, que le mot management est devenu un concept clé aux Etats-Unis . Il avait déjà été défini au début du siècle comme un art. L’art d’obtenir des gens que les choses soient faites , par exemple, ou tout simplement l’art du possible. Actuellement, le management « action ou art, ou manière de conduire une organisation de la diriger, de planifier son développement, de la contrôler, s’applique à tous les domaines d’activité de l’entreprise »

BENMOUSSA INTRODUCTION GENERALE C’est vers la fin des années soixante, que le mot management est devenu un concept clé aux Etats-Unis . Il avait déjà été défini au début du siècle comme un art. L’art d’obtenir des gens que les choses soient faites , par exemple, ou tout simplement l’art du possible. Actuellement, le management « action ou art, ou manière de conduire une organisation de la diriger, de planifier son développement, de la contrôler, s’applique à tous les domaines d’activité de l’entreprise »

attention, il faut savoir en reconnaître les avantages dans certains types d’emplois autant que les limitations dans d’autres domaines. 1.2. La chaîne hiérarchique Bien que ce concept ait aujourd’hui perdu beaucoup de son importance, les managers actuels ne sauraient ignorer ses implications. • Chaîne hiérarchique = Ligne d’autorité continue qui court des échelons les plus élevés de l’organisation aux échelons inférieurs, et qui clarifie les rapports de responsabilité des uns envers les autres.

l’organisation), De Boeck. F. Pichault et J. Nizet (1995), « Comprendre les organisations : Mintzberg à l’épreuve des faits », Gaëtan Morin éditeur. J. Rojot et A. Bergmann (1989), « Comportement et organisation », Vuibert Gestion. J. Rojot (2005), « Théorie des organisations », 2ème édition, Editions Eska. JR. Shermerhorn, JG. Hunt et RN. Osborn (2002, 2006), « Comportement humain et organisation », Erpi. GR.Terry et SG.Francklin (1985), « Les principes du management », Economica. Cours IAO/IFSE Maxime