Exposé Aristote

obstacle ? "  - autrui : a) définition générale : l’autre que moi ; b) dans une perspective moderne, c’est l’autre sujet/ conscience/ moi (Descartes) ; dans une perspective plus classique, avant Descartes, c’est l’autre homme, tout simplement (cf. Aristote). - n’est-il : remarquer la formulation négative de la question ; et qu’il s’agit de l’être d’autrui (interrogation ontologique) - obstacle : ce qui me gêne, m’empêche de faire quelque chose ; mais quoi ? tout ce que je veux, ou de m’accomplir ;

existant. Critique platonienne : Pour Aristote, l'art est Catharsis ( → la purge) L'art (surtout le théâtre) nous purge de nos passions. Il permet de vivre nos passions à fond par procuration. Nous les vivons le temps de la représentation. La représentation de nos passions permet d'en connaître l’issue et le mécanisme. Grâce à l'art on en connait le fonctionnement et c'est un remède. Pour lui, le philosophe et l'artiste sont alliés. Aristote et Platon ont un avis contraire. Platon

production peu nombreuse de Racine ; en 1688, celui-ci n’a composé que 9 tragédies et une comédie – Phèdre datant de 1677). En somme, ce que La Bruyère reproche à Corneille, c’est à la fois de n’avoir pas totalement respecté les règles édictées par Aristote, et du coup d’avoir produit une œuvre inégale, admirable par bien des aspects, mais qui par d’autres choque son goût à la fois moral et classique. Racine L’éloge de Racine, plus court, reprend exactement les mêmes termes, dans l’ordre. La Bruyère  traite

la philosophie ont eu tant de mal à ne pas faire du hasard leur ennemi pur et simple. Bien avant même le mot de Hegel proclamant à propos du hasard qu´en philosophie, en l´occurrence lorsque nous abordons l´histoire, « cela ne nous regarde pas », Aristote avait déjà rejeté le hasard de l´interrogation philosophique sur l´être en le désignant comme « tout proche du non-être ». Quant à l´approche scientifique du réel, elle s´est au fond construite sur la conviction cartésienne qu´une intelligence se

critères : - son emplacement (il est toujours situé avant un autre discours et s’oppose à l’épilogue), - et son caractère transitif (il dépend de cet autre discours qu’il introduit)= il forme une transition. Dans l’Antiquité , Aristote* définit le prologue tragique comme une sorte d’exposition dans une scène dialoguée ou dans un monologue. Il accorde une place importante à l’argumentum qui vise à introduire le contenu de la pièce . Aristophane*, considère que son rôle principal

propagandiste. Chargé de comprendre son mécanisme, cet art datant de l’Antiquité Grecque et Romaine s’est révélé être un excellent outil d’analyse utilisé par plusieurs théoriciens du XXème siècle qui ont poursuivi le travail d’Aristote. Avec cet exposé, il s’agira d’examiner les différents procédés du discours public et leurs effets réels ou supposés à travers l’analyse de Guillaume Soulez dans sa « notice » intitulée « Rhétorique, argumentation et communication ». Ce texte soulève des questions

libre.En effet, la condition humaine est un des sujets de littérature les plus fréquents que l’on puisse trouver dans des œuvres philosophiques. Les auteurs opposent souvent deux visions totalement différentes de cette condition. Ainsi, Pascal nous expose une partie de cette condition comme « faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près ». Il nous dit aussi que « l’homme n’est qu’un roseau, le plus faible des roseaux, mais c’est un roseau pensant

Aristote considérait le travail comme une activité par nature asservissante, n'étant pas une fin en elle-même mais le moyen de la subsistance. Activité vile qui déforme l'âme et le corps, elle est réservée aux esclaves qui s'abîment dans ce qu'ils font. Le travail, en effet, implique une spécialisation déshumanisante, car l'homme n'est pas fait pour un métier comme un marteau est fait pour planter un clou. Si la main est le symbole de l'homme, c'est précisément qu'elle n'est pas un outil, mais un

Pour tenter de savoir si on peut confondre le réel et le vrai, il faut dans un premier temps se demander ce qu'est la vérité, et selon les philosophes, la notion de vérité est souvent liée à celle du réel. En tentant de définir la vérité, Aristote a dit  «  il la vérité celui qui croit conjoint dans le discours ce qui est conjoint dans le monde », ainsi pour lui la vérité exige deux « conjonctions », l’une dans le langage et l’autre dans le monde. Par exemple si nous prenons la proposition

distingue d'eux. Mais justement, en quoi se distingue-t-il d'eux ? Si on parvient à différencier l'homme des animaux, il sera peut-être alors possible de dire quelle est son essence. (Définir, c'est en effet souvent distinguer : définir, c'est, avec Aristote, exposer le genre prochain et la différence spécifique.) Qu'est-ce qui distingue donc un homme d'un animal ? Si l'homme est aussi un animal, en quoi se distingue-t-il néanmoins des autres animaux ? C'est à cette question que peut répondre un extrait