Exposé Sur Socrate

apprentissage, et qu'elle n'est pas seulement une transmission d'un savoir constitué et achevé : le professeur de philosophie n'a pas pour but d'enseigner un tel savoir positif. • 1 Ainsi, avant même de penser au contenu que l'on souhaite exposer dans un enseignement de philosophie, il faut penser aux moyens par lesquels on apprend à penser : comment peut-on se rendre capable, ou rendre quelqu'un capable d'atteindre une véritable compréhension de la philosophie, et par où commencer ? Cela

siècle av. J.-C., présente l’enseignement de son maître Socrate sous forme de dialogues avec ses élèves et ses adversaires, selon la méthode de la « maïeutique » (ou accouchement) qui, par des questions appropriées, faisait naître les vérités qu’ils portaient en eux sans le savoir. Ce type de dialogue suppose deux interlocuteurs bien disposés, qui font avancer la conversation de manière à exposer dans son entier le domaine examiné. Chez Socrate, il ne s’agit pas de débattre, mais de pratiquer un dialogue

être, il ne faut l'oublier, les alliés des dirigeants. Les auxiliaires doivent donc seulement approuver ce qui leur est familier et se méfier de ce qui leur est nouveau, tel un chien. Les guerriers personnifient une des quatres vertus que Platon expose, celle du courage. En effet, le courage est le propre de la deuxième classe de sorte qu'il est suffisant qu'un groupe détienne cette vertu pour qu'elle soit courageuse dans sa totalité (429b). Le courage est la capacité à garder intact les opinions

Judéo Chrétienne. Dans la religion judéo-chrétienne, le mal est la réédition du péché originel. Litote : figure de rhétorique consistant à dire moins pour faire entendre plus (ex : Va, je ne te hais point.) Maïeutique : méthode dialectique dont Socrate usait pour « accoucher » les esprits, c’est-à-dire pour amener ses interlocuteurs à découvrir les vérités qu’ils portaient en eux sans le savoir B

millénaire av JC). Nous allons nous intéresser à l’Europe, en particulier à la Grande Grèce (actuelle Sicile et Italie du Sud) et l’Asie Mineure d’où sont issus les fondateurs de nos pensées : les présocratiques. Ce sont des penseurs qui ont vécus avant Socrate, même si certains d’entre eux comme les atomistes et les sophistes en sont les contemporains. Ces philosophes cherchent à penser par eux-mêmes, avec pour seules armes l'expérience et le raisonnement, sans se soumettre au pouvoir politique ou religieux

Exposé sur Lamartine Introduction Alphonse de Lamartine (de son vrai nom Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine) est né en 1790 (21 octobre) à Mâcon (en Bourgogne,France) et mort en 1869 (28 février) à Paris → à l'âge de 78 ans. C'est un poète,un prosateur (écrivain qui écrit en prose) et un homme politique français. Il vient d'une famille de petite noblesse attachée au roi et à la religion catholique. I) Les débuts littéraires Il est élevé par des femmes et par un prêtre romanesque, n’ayant

abordés sont repris d'un texte à l'autre, de manière non linéaire puisqu'il s'agit de pièces isolée, accolées chronologiquement. Krishnamurti y remet en question ce qu'il considère lui-même comme le « pilier de toutes nos civilisations »1: la pensée. Il expose en effet que de la recherche de la compréhension et de la résolution de problèmes par la pensée naît le conflit. Il soutient que la pensée est conditionnée, qu'elle est utile, mais qu'elle devrait être cantonnée à certains domaines. Cette prise de

du meilleur « torche-cul » qu’il ait trouvé. Il est impressionnant de réaliser que l’auteur y a décrit le « torche-cul » en vers, rendant une certaine forme de beauté à cette explication. On saurait cependant exposer un argument de Socrate, lors d’une discussion avec Calliclès4, ou Socrate prouve à Calliclès que certaines choses – ici des gestes obscènes ainsi que la vie des êtres obscènes – sont définitivement mauvaises et ne sont pas relatives au point de vue. Néanmoins, rien ne prouve que l’on

Ces convictions reposent sur la progression même du syllogisme, exposé par deux fois. A partir de deux constatations initiales, l'une générale (" le chat a quatre pattes "(p.32) ou " tous les chats sont mortels "(p.33)), l'autre distinctive (" Isidore et Fricot ont chacun quatre pattes "(p.34), " Socrate est mortel "(p.33)), ils parachèvent à un raisonnement vu comme sûr (" Donc Isidore et Fricot sont chats "(p.32), " Donc Socrate est un chat "(p.33)). Ces exemples soulignent la rigidité des argumentations


DEFINITION
:
LA
VERITE,
LA
REALITE,
LE
JUGEMENT
 2.
LES
OUTILS
:
LA
LOGIQUE,
CONDITION
DE
LA
VERITE
?
 3.
EVALUATION
:
LE
DESIR
DE
VERITE
 CONCLUSION
:
SCEPTICISME,
AGNOSTICISME,
DOGMATISME
 
 La
vérité.
14/10/10
 1
 
 INTRODUCTION
/
PROBLEMATIQUE
 
 Exposé
de
la
problématique
:
 Problème
de
la
définition
(Qu’est­ce
que
la
vérité
?)
 Problème
des
outils
(Les
sens
et
la
raison)
 Problème
de
la
valeur
(Que
vaut
la
vérité
?)
 Vérité,
erreur
et
mensonge
 Logique
et
morale
 
 
 1.
LA
VERITE,
LA
REALITE,
LE
JUGEMENT