Facteur Firme Multinationale

territoire). Les DOM sont: La Guadeloupe, la Martinique, la Réunion, la Guyane. Les TOM sont: Polynésie française, la Nouvelle Calédonie, Mayotte et St. Pierre et Miquelon. Ces territoires (ou départements) sont considéré comme les filiales d'une firme multinationale que représente la France métropolitaine. Nous allons donc approfondir ce sujet en analysant deux documents. Le premier est l'extrait d'un article issu d'un site internet «www.cafe-geo.net» parlant d'une approche générale sur «la France d'Outre-mer»

entreprises non concurrentes - Les alliances entre entreprises concurrentes Les alliances entre entreprises non concurrentes * Les joints ventures de multinationalisation dans lesquelles s’établit un partenariat entre une firme locale et une multinationale; * Les partenariats verticaux dans lesquelles des entreprises à deux ou plusieurs stades de leur filière s’allient (AIRBUS); * Les accords intersectoriaux. Les alliances entre entreprises concurrentes * Alliances de

profit * Faire d’Electrolux la marque maitresse du groupe * Diversifier l’offre de produits et de service * Répondre aux besoins et aux attentes des consommateurs La stratégie par domaine d’activité : elle consiste à identifier les facteurs clés de succès sur un marché particulier. Elle passe par : * Le management de la performance à travers toute l’organisation (maitrise des coûts, restructuration…) * L’innovation et marketing dans les produits et les marques (besoins des consommateurs

et la baisse du coût des transports ont entraîné la mise en place d'une structure de production davantage internationalisée et une nouvelle situation de concurrence mondialisée a vu le jour. I. -Définitions Les définitions des entreprises multinationales sont nombreuses et non consensuelles. D'après « Andreff » les raisons de cette diversité sont principalement de deux ordres : l'origine des définitions et la nature des critères retenus. Tout d'abord les définitions émanent à la fois de dirigeants

un marché de concurrence pure et parfaite repose sur 5 hypothèses : une atomicité, une homogénéité, une libre-entrée et sortie, une transparence et une mobilité des facteurs. Dans le secteur de l’high-tech, il se pose tout d’abord le problème du monopole. En effet, sur ce nouveau marché règnent quelques grandes firmes multinationales comme Microsoft, Apple deux géants américains de l’informatique ainsi que Google, HP, Samsung, Sony… Cependant les offreurs ne sont pas en grands nombres, on peut alors

magasins (dont 21 franchisés indépendants du Groupe). Ceci représente un effectif de 76 000 salariés en 2003. L’expansion de la firme se poursuit à un rythme soutenu, et en 2004 , 15 nouveaux magasins ont (ou vont) ouvrir leurs portes En résumé , IKEA a acquis en quelques décennies toutes les caractéristiques d’une firme multinationale, En fait, l’émergence en 1943 de Ikea a effrayé les fabricants de meubles en place, qui formaient un cartel établi fixant des

problématique, nous étudierons tout d’abord les conditions de base du marché du jouet, puis nous verrons comment les cinq forces de Michael Porter peuvent s’appliquer à ce marché, pour enfin voir les trois différentes stratégies de domination qu’une firme peut adopter et leurs applications à ce marché spécifique. II/ Conditions de base du marché du jouet III/ Application des cinq forces de Porter En 1982, Michael Porter définit cinq forces qui permettent de déterminer l’intensité de la concurrence

Qu’est ce que la compétitivité : Lorsqu’il est question d’un pays, d’une entreprise nationale ou multinationale. La compétitivité est la capacité d’un pays à accroître durablement ses parts de marché, aussi bien sur le plan national qu’à l’étranger. Pour une entreprise en situation concurrentielle, on peut dire que la compétitivité est la capacité » de vendre durablement et avec profit ce qu’elle produit. Dans la construction et dans la défense de cette position compétitive, il y a des éléments

activités et des métiers de contenu en leur sein jusqu’à peser sur les « cultures de filière ». Il conviendra d’y convoquer à la fois les spécialistes de l’économie industrielle et ceux de l’organisation et du management des firmes, en particulier multinationales. La conjugaison de leurs apports ne sera pas de trop pour mieux apprécier la réalité de ces « synergies » si souvent invoquées pour justifier fusions et alliances mais parfois si décevantes, saisir les articulations entre logiques globales et spécificités

convient bien aux multinationales avant un découpage produit/marché mais il existe des risques de lourdeur dans la prise de décision et des conflits sont possibles entre les chefs de projet et les responsables fonctionnels. Les structures de l’entreprise - Page 2 sur 6 Economie d’entreprise - Chapitre 13 En réalité, il existe deux types de structure Structure formelle Structure informelle : résultant des liens et relations interpersonnelles affectives ou d’intérêt. 3 – Les facteurs d’évolution