Facteurs Succès Nike

marché mondial. L’objectif est de représenter 10 % du marché dans 10 ans. Le leader mondial SPEEDO est présent sur les 5 continents mais il ne représente « que » 12 à 14 % du marché mondial. De nombreuses marques se partagent le marché : • Tyr : 7 % et Nike 5 % => marché Américain surtout • Adidas : 7 % • Mizuno 7 % • Arena 5 % => surtout sur le marché européen • Seveylor : 5 % • Aquasphrere : 5 % Le plus gros marché de la natation est sur le continent Américain (surtout en Amérique du Nord), avec 280

natale, John Jacob Bausch, jeune opticien de formation, arrive aux USA et rencontre l'américain Henry Lomb. Ensemble ils fondent Bausch & Lomb (aujourd'hui leader mondial en ophtalmologie médicale et optique). Progrès et US Air Force, seront les deux facteurs qui feront la réussite de la marque encore en gestation à cette époque : Son premier modèle Aviator, destiné aux pilotes de l'armée des USA est créé en 1921. Seize ans plus tard, la marque Ray Ban est lancée sur le marché.
En 1953 sort le modèle

production des biens services est multipliée par 3 ; beaucoup de pays développés ont une croissance annuelle de 5 % (du jamais vu) et la croissance du commerce est encore supérieure à celle de la production. Cette forte croissance s’explique par plusieurs facteurs : le rôle du nouveau système monétaire mis en place à Brettons Woods, le GATT avec les négociations (rounds) qui font baisser les droits de douane. La demande est stimulée par les nécessités de la reconstruction et le plan Marshall a été bénéfique

domaine d’application : MDD, premier prix, packaging, merchandising. d) Le merchandising de séduction : Whole Food : attractivité visuelle sur les glaces. Quicksilver à New York : nouveau concept d’une boutique quicksilver. Nike Town : nouveaux magasins de Nike, c’est plus une vitrine de la marque. Pièces où l’on va retransmettre des match où les joueurs portent la marque. Swatch Soho Swaroski Tokyo  e) La collabortation industriel/distributeur : Les distributeurs ont des informations

prenons l’exemple des éco-produits dans le secteur du textile, le mode de distribution est assez différent. Actuellement, les éco-produits textiles sont très présents dans les magasins des grands groupes du textile. En effet, en 2008 Wal-Mart, C&A, Nike, H&M et Zara rentraient dans le top 5 des vendeurs de vêtements écologiques dans le monde. Pour la France, nous pouvons constater que pour ce marché Monoprix détient 55% de l’offre. Nous pouvons dire la même chose pou les éco-produits dans le domaine

salariés et des postes de travail 5 Division du travail 5 Formes d’organisation 5 Flexibilité 6 B) Conditions de travail des salariés 6 Facteurs de motivation 6 Contraintes physiques et psychosociales 7 Contrôle et évaluation 8 Formation 8 Rémunération 8 Inégalités 8 Dysfonctionnement 8 III/ Le social dans l’entreprise 9 A) Les relations au travail 9 Facteur humain et productivité 9 Relations formelles et informelles 9 B) Modes de management 10 Théorie X et Y de Mac Gregor 10 Réunion/Bilans

conçue que comme un instrument pour exercer la fonction primaire. En d'autres termes, la recherche de solutions aux problèmes quotidiens et très concrets de la gestion courante ne doit pas amener l'entreprise à oublier le respect de la condition de son succès à long terme (Figure 3). Figure 3: les priorités de l'entreprise 1 OBJECTIFS A LONG TERME maximisation des profits, accroissement des parts de marché... 2 FONCTION PRIMAIRE vendre des produits appréciés par le public 3 FONCTIONS

entrepreneur pour pouvoir affronter les évolutions de son environnement et les anticiper. Exemple : c’est l’adoption de cette posture de manager-entrepreneur par Louis Schweitzer à la fin des années 90 qui a permis à Renault de connaître un important succès sur le marché des voitures lowcost avec La Logan. II) Comment combiner les aspects entrepreneuriaux et managériaux La combinaison de ces deux aspects passe par la mise en place de dispositifs destinés à encourager l’esprit entrepreneurial

multinationales) semblent avoir fondé leur décision principalement sur la logique économique de réduction des coûts. Le terrain a montré enfin que la qualité des deux composantes contractuelle et relationnelle, paraît fort bien conditionner la performance et le succès d’une opération d’externalisation entre les deux partenaires. Mots clés : Externalisation, sous-traitance, « coeur de métier », théorie des coûts de transaction Externalisation 6 Aksissou –CSG INTRODUCTION GENERALE : Présentation du thème

Chapitre 1 : Définition, Origine et facteurs d’émergence : Section 1 : Concept et définition du Management Interculturel Avec la mondialisation croissante des activités économiques et la libre circulation des biens et services, des salariés et des capitaux, les dirigeants d’entreprises, sont de plus en plus confrontés aux exigences d’une gestion internationale, qui s’accompagne nécessairement d’un management interculturel. Qu’il s’agisse de négocier un contrat en Arabie Saoudite ou au Japon