Faut Il Condamner Le Progres Technique Et Scientifique

diverses techniques médicales. La plus ancienne est l’insémination artificielle (la première aurait eu lieu en 1804 …), le donneur pouvant être le mari ou un tiers. La seconde technique principale est la FIVETE (Fécondation In Vitro Et Transfert d’Embryon) : la fécondation se fait dans l’éprouvette puis l’embryon est réimplanté dans l’utérus de la mère. Ainsi, en 1978 naît Louise Brown, premier bébé conçu par fivète au Royaume-Uni grâce aux travaux du biologiste Robert Edwards. Ainsi, les progrès considérables

il est nécessaire de trouver une solution à ce problème. C’est là qu’intervient l’agriculture intensive. Elle consiste à assurer la sécurité alimentaire en pratiquant de l’intensification agricole. Certes, cette technique a fait ses preuves dans un certain nombre de pays, mais il ne faut pas oublier qu’elle représente un grand nombre de risques environnementaux et sanitaires. Donc, est-ce vraiment le moyen le plus favorable? A présent on vie dans un monde dans lequel la transition démographique

question est de savoir si la technique peut se prévaloir d’un tel statut. Peut-elle, comme le veut Gorgias, être innocentée des usages qui en sont faits ? Est-elle un simple moyen et comme telle jouit-elle d’une neutralité de principe ou bien celle-ci n’est-elle qu’une apparence, bien vite dissipée par l’examen des faits ? Que signifie Gorgias lorsqu’il défend la neutralité de la technique et pourquoi cette thèse est-elle sophistique ? A) La neutralité de la technique : la thèse de Gorgias.

médicale assistée, les manipulations génétiques, le clonage thérapeutique, la recherche sur l’embryon posent des problèmes moraux inédits. Ecartelée entre principes et cas particuliers, la bioéthique tente de trancher sur des questions à la fois techniques et morales. I. Les fondements moraux de la bioéthique 1. Les principes fondamentaux Le risque biologique ou biorisque peut qualifier tous les dangers que des organismes vivants, allant des bactéries et virus aux prédateurs, font peser sur

rapport à une tradition devenue opprimante. Pour d’autres, plus pessimistes, elle engendrait un nouveau type de société caractérisé principalement par une morale égoïste et par une vie sociale atomisée. Mais qu’ils considèrent le phénomène comme un progrès ou comme le signe d’une décadence, tous les philosophes, qu’ils soient de bords aussi éloignés que Bentham, Coleridge, Tocqueville, Marx, Spencer ou Taine, s’accordaient pour reconnaître la réalité : ce n’était pas le groupe mais l’individu qu’engendrait

individuel et collectif. Un besoin économique est un désir de disposer des biens et des services capables de nous procurer une sensation agréable. - Le besoin physiologique ou besoin objectif est un besoin sans la satisfaction duquel l’individu est condamné à mourir. - le besoin subjectif en revanche, est un besoin ou chaque individu se retrouve de manière individuelle. Ce sont donc des besoins qui sont rendus nécessaire par chaque membre de la société On peut distinguer les besoins individuels des

première partie que les humanistes veulent une rupture avec le Moyen-âge et réclament un retour aux valeurs de l’antiquité. Puis nous observerons dans une deuxième partie leur nouvelle vision du monde, et enfin nous verrons les avancées et les progrès que l’humanisme a apportés. 1e Partie : L'Humanisme est un mouvement intellectuel qui naît en Italie au XIVe siècle et se diffuse en Europe au XVe siècle. Le terme signifie « instruit, cultivé » et désigne donc des intellectuels

société ou les hommes sont soumis à la loi. → culture, art et technique appartiennent à un monde proprement humain contrairement à la nature. Aristote: “art”= choses qui existent par d’autres causes que la nature “nature”= univers régi par des lois physiques. Elle peut être comprise grâce aux lois scientifiques Kant “ la nature, c’est l’existence des choses, en tant qu’elle est déterminée selon des lois universelles”. → approche scientifique et éthique. II - UTILISER LA NATURE → approche de nature= terrain

de la littérature et de l’art de l’antiquité classique. L’humanisme place l’homme et ses valeurs au-dessus de toute autre considérations et vise à l’épanouissement des qualités humaines, L’homme est le terme unique d’où il fait partie et auquel il faut tout ramener, dit Diderot ; pour retracer l’héritage humaniste du XVIIème à nos jours, nous parlerons de la vision de l’homme, de la vision du monde et de ses héritages culturels. Nous tenterons de répondre à la question : « Comment la période humaniste

Chapitre 2 : Progrès technique et évolution économique. Auteur : JOSEPH ALOÏS SCHUMPETER – (1883-1950) * Introduction J.A SCHUMPETER est un économiste hétérodoxe, c’est à dire inclassable. Il a été ministre des finances en Autriche sous un gouvernement marqué par la pensée de MARX mais il n’est pas marxiste pour autant. Toutefois il a une idée commune avec celui-ci, et pense qu’à terme pour d’autres raisons que MARX le capitalisme disparaîtra. 1- Présentation de l’auteur.