Fenelon éducation Des Filles

des jeunes filles au lieu de l’entretien du logis, des enfants et du mari. Bien que considérer comme futiles et désuets, ces trois devoirs furent jusqu’au 17ème l’unique éducation qu’une femme pouvait recevoir. C’est à partir de là que des écrits comme le Traité de l’éducation des filles de Fénelon, la Princesse de Clèves de Mme De Lafayette ou encore Les Liaisons Dangereuses de Choderlos De Laclos s’intéressait à un autre type d’éducation à laquelle la femme aspirait. Une éducation qui la préparait

l’Education des filles » Fénelon combat les idées exprimées à travers la discussion sur l’éducation féminine au cours du XVIIe siècle. Afin de présenter l’opinion de la société ou plutôt de cette partie qui s’oppose à l’éducation des filles et qui se moque de leurs connaissances,  Fénelon se sert du pronom « on » : « pour les filles, dit-on, il ne faut pas qu’elles soient savantes… », « on ne manque pas de se servir de l’expérience… », « on se croit en droit d’abandonner aveuglément les filles… », etc.

Fénelon ; De l’éducation des filles INTRODUCTION Fénelon est un archevêque réputé à la fin du XVII ème siècle, époque du classicisme français. Chargé d’une mission éducatrice dans la famille ROYALE, il a publié des textes didactiques, roman ou essaie, souvent inspiré de sa foi religieuse. De l’éducation des filles, publié en 1687 est un essai dont le titre souligne que pour Fénelon l’éducation des filles leurs est spécifique. Cet extrait didactique montre la condition des femmes dans la société

LECTURE ANALYTIQUE: F énelon, Traité de l’éducation des filles Problématique générale: En quoi ce texte participe t-il à l'émancipation féminine au XVIIème? Introduction Entrée en matière: Au XVIème siècle, Montaigne, dans ses Essais, et plus particulièrement dans la partie intitulée "De l'institution des enfants", a démontré le bénéfice de l'étude, façonnant alors des enfants "meilleurs et plus sages". Au XVIIe siècle où se développe ce qu'on appelle l'art mondain, les femmes jouent un rôle

XIV », de Fénelon (1694) …........................................................................................................................................................... François Fénelon (1651-1715) : issu de la noblesse de province, il reçoit une éducation autant religieuse qu'humaniste, et obtient un doctorat en théologie. Précepteur, directeur de conscience, il est un pédagogue respecté par le Roi qui lui confie l'éducation de son petit-fils, le duc de Bourgogne. Fénelon devient

nécessaire instruction des filles. I. Fénelon fait plusieurs constats sur la place donnée à la femme dans la société (femmes inconsidérées) Fénelon dénonce les préjugés et les coutumes en généralisant son propos dès le début du texte: il utilise "on" pronom personnel indéfini marquant l'indétermination et la généralisation (l. 1, 3, 4, 5) = la pensée commune sur la femme + présent de vérité générale. A. Le statut de la femme au XVII: l'infériorité féminine B. Une éducation négligée/limitée/partielle

l’école pour les filles était beaucoup moins émancipatrice que celle des garçons qui ne l’était déjà pas beaucoup. Fénelon met en avant dans son livre intitulé Traité de l’éducation des filles que celles-ci ne devaient pas être instruites au risque de nourrir que leur curiosité. Elles ne doivent faire l’objet que d’instructions minimales alors que les Hommes peuvent se lancer dans des études plus poussées pour occuper des postes importants au sein de la société. Bien sûr, Fénelon ne pense pas ainsi

BERNIERES Rémi SANCHEZ Noémie TÉVITÉRÉ Vaitïaré Commentaire de texte : Le corpus de texte étudié a pour thème : la condition des femmes. En effet, à travers les écrits de Fénelon dans « De l’éducation des filles » paru en 1687, l’auteur exprime une vue primitive de la femme. Il est rejoint par Molière dans la célèbre pièce « L’école des femmes » produit en 1662, qui présente la femme comme un être frêle. Au contraire de Choderlos de Laclos qui, à travers « Les liaisons dangereuses » publié en

TEXTE : FENELON (1651 – 1715), DE L'EDUCATION DES FILLES (1687) CHAPITRE PREMIER. De l'importance de l'éducation des filles. Rien n'est plus négligé que l'éducation des filles. La coutume1 et le caprice2 des mères y décident souvent de tout: on suppose qu'on doit donner à ce sexe peu d'instruction. L'éducation des garçons passe pour une des principales affaires par rapport au bien public; et quoiqu'on n'y fasse guère moins de fautes que dans celle des filles, du moins on est persuadé

Fénelon Traité de l’éducation des filles (1687) Problématique : En quoi l’éducation des filles est-elle indispensable pour l’auteur ? Fénelon (François de SALIGNAC de LA MOTHE): Homme d’église et surtout précepteur du Duc de Bourgogne(le fils de Louis XIV), il est nommé directeur d’une école de jeunes filles protestantes converties au catholicisme. Cette expérience lui inspire son Traité de L’éducation des filles (jugé alors très moderne). Il combat dans son ouvrage les idées du XVIIème siècle