Finalisme

notamment, il n'y a pas de vie dans la matière, mais uniquement des êtres vivants. Sa pensée aboutira à la théorie d'un <animal-machine> et sera étendue à l'homme par Julien Offray de La Mettrie. Cette conception déterministe du vivant s'oppose au finalisme de la pensée d'Aristote : le vivant n'a pas de but, sa trajectoire n'est déterminée que par l'action d'un rouage sur un autre. Il nous faut donc, pour définir le vivant, se demander s'il peut être uniquement assimilé à une machine, si la vie se

soutient simplement la thèse d’une diversification adaptative. C’est donc la diversité de la vie qui l’intéresse prioritairement (« les variétés sont des espèces naissantes ») et c’est pourquoi chez lui le projet classificatoire n’obéit à aucun finalisme, à aucun souci de convergence qui réduirait la richesse du vivant. Mais il ne s’agit pas pour autant d’une théorie de la vie irrationnelle et sauvage. Les vivants obéissent bien à une organisation parce qu’ils participent d’une même souche. Darwin

ensuite, nous verrons pourquoi il peut être mis dans un catégorie à part, et pourquoi l'espèce humaine a elle même du mal à se réduire au statut de simple être vivant. Les trois doctrines philosophique distinctes : le vitalisme, le mécanisme et le finalisme, qui définissent chacune à leur manière le vivant, laissent place, dans leur explications, à l'homme. Effectivement, le vitalisme explique que le vivant ne se réduit pas à quelque chose de purement matériel, et qu'il y a un principe vital présent

150. 2 Adam Smith, Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776. David Bouchet 9 / 9 coeur ou du cerveau, est le plus important ? Chacun est indispensable et a son propre role a jouer. Lfenjeu est la question du finalisme. La biologie a du mal a se debarrasser de la cause finale parce qufil est difficile de penser ne pas etre la finalite de lfontogenese. Pour Kupiec et Sonigo, nous sommes le resultat dfun processus dont nous ne sommes pas a priori le but. Pour

but de comprendre comment l’enfant agit sur son environnement. Stades 1er stade: intelligence sensori motrice de 0/2 ans. 2ème stade: intelligence pré opératoire de 2/6/7 ans. (animisme: conçoit les choses, les objets comme le vivant, finalisme: ne croit que ce qu’il voit, syncrétisme: tout est sur le mêle plan). Il n’a pas acquis la conversation. 3ème stade: intelligence opératoire 11/12 ans: opération concrète et formelle, rentre en primaire, représentation spatiale et numérique, accès

soi-même. Pour la mise en place de cette nouvelle éthique, il convient donc de s’écarter de l’obscurantisme des Sciences qui n’a ni éthique, ni morale mais qui ne soutient qu’une exploitation et une vision matérialiste en refusant d’admettre le finalisme de la nature et donc son respect. Enfin, après avoir constaté ce besoin de changement total de notre relation avec la nature et donc de notre éthique, Hans Jonas interroge son lecteur sur ce qu’il faut faire et comment il faut réagir face à ce constat

dissimule. » (Bourdieu (Pierre) et Passeron (Jean-Claude), « L’examen d’une illusion. », Revue Française de Sociologie, IX, N° spécial, 1968, pp.227-253) F… Comme Faits divers FAIT(S) DIVERS FAMILLE FEMMES FÉMINISME (et État social) FINALISMES FINKIELKRAUT FOI PRATIQUE (Croyance) FAIT(S) DIVERS « Faits qui font diversion. » (Sur la télévision, Liber-Raisons d'Agir,1996, p.16) FAMILLE « Cette réalité dite privée d'origine publique. » (Raisons pratiques, Seuil, 1994, p.144)

disait que dans les sociétés archaïque on avait une organisation par sexe, la société régulait la façon de prendre une femme, la société faisait cela pour assurer la subsistance de la tribu, mais en la régulant. Selon Durkheim, « le finalisme est évacué ». Le finalisme est la conception qui consiste à dire que l’homme identifie en toute conscience un but à atteindre. Pourquoi divise-t-on le travail dans nos sociétés si on en croit Adam Smith ? C’est la logique de la main invisible : on pense d’abord

instants et toutes les sensations. Cela permet de constituer un soi autonome dans la subversion. Toutefois il ne faut savoir maitriser ses désirs et ne pas être subjugués par eux. Un antidote contre le fanatisme de Spinoza Le mal vient du finalisme, c’est-à-dire lorsqu’on voit les choses dans leurs finalité supposée. De ce principe on peut dire que tout dans la nature est fait pour l’Homme. Dans ce cas il faut arrêter de voir les choses en leur finalité mais considérer que les causes efficientes

défendue en particulier par Descartes, selon laquelle les êtres vivants ne sont rien d'autre que des machines. L'explication du vivant est alors réduite aux propriétés physico-chimiques de la matière, sans appel au concept de vie. S'oppose au finalisme et au vitalisme. mensonge Fait de substituer intentionnellement à ce qu'on sait être la vérité un discours destiné àtromper autrui.   morale La morale est l'ensemble des devoirs qui s'imposent à l'être humain, en tant qu'êtreraisonnable