Finalisme

libération à l'égard d'un maître ou d'une hiérarchie, alors qu'en réalité elle n'est que la forme ultime d'un esclavage. La raison de la liberté profondément humaine réside dans son contraire, celle qui naît de la lucidité de notre condition, que tout finalisme ne vaut rien devant cette vérité intolérable : «Il n'y a pas de lendemain22». La seule liberté est de décider d'accepter de vivre dans un tel univers tendu par des contradictions et des ruptures, univers dépossédé de valeurs. Il ne s'agit pas, une

mais qui prévalent à la longue, parce qu'elles résultent de la nature des choses en ce qu'elle a de permanent et d'essentiel. » Commentaire : C, dans ce texte, cherche donc une position moyenne entre le strict déterminisme historique ou le finalisme intégral, et l’histoire qui s’englue dans des récits anecdotiques relatifs à la vie privée et au caractère des « grands hommes ». Pour C, l’histoire en tant que tel obéit à des facteurs globaux, les faits socioéconomiques notamment. Cela étant, il

irrationnelles qui relèvent d’un manque de raisonnement. Pour Thomas d’Aquin et Aristote la contingence du monde suppose un être nécessaire. On retrouve aussi l’argument théologique de Thomas d’Aquin et la scolastique qui affirme que l’ordre et le finalisme présents dans la nature requièrent un ordonnateur (l’existence d’une Cause Suprême) et une intelligence. Gödel, pour sa part, nous a donné un Théorème qui démontre que, tout système relève nécessairement d'au moins un élément sur lequel il va

Bernard). De plus, ils sont animés (Aristote), ont une « force formatrice » (Kant) et suivraient un « principe vital » qui consiste à résister à la mort (Bichat). Mais le mécanisme défend la vision de l'animal-machine (Descartes) et rejette tout finalisme et tout vitalisme. La biologie contemporaine a adopté le mécanisme, mais sous une nouvelle forme, à partir de la génétique (notions de programme puis de code). La bioéthique reconnait toutefois un certain caractère sacré du vivant, et limite les

aller plus loin : La démocratisation ne se fait pas en un jour : il s’agit d’une évolution progressive, le plus souvent sur plusieurs années. Cette période de réformes est appelée « transition démocratique ». L’expression pour défaut son finalisme (déterminisme), gommant son incertitude et sa réversibilité (exemple : « les lendemains qui déchantent des printemps arabes » de 2011).Ces transitions ont dégagé des points communs, avec d’abord une phase d’incertitude (ou préparatoire), puis

produire "l'anti-livre non totalisé"[20]. L'autoportraitiste vise à travers l'écriture fragmentaire un « voyage hors de tout destin », ce qui rend nécessaire une ascèse paroxystique qui tend à évacuer le sens le renvoyant au vide et à la trace. « Le finalisme et la prévisibilité sont dès lors complètement déplacés "hors champ" »[21]Arbitre incontesté des blandices du minimalisme textuel et de la déliaison, Barthes se plaît à réitérer, à intervalles réduits, les aubes et les déclins du texte. Ces sont

par rapport à l’homme comme il le montrera plus loin. Ce qui est un défaut pour Aristote n’est pas tant la quantité des moyens de défense que l’impossibilité de les faire varier. Certes, le plus souvent l’animal n’en a peut-être pas besoin car le finalisme d’Aristote (exposé lignes 6 et 7) ne peut s’opposer à l’idée que ces moyens de défense ont été choisis au mieux pour répondre aux conditions de vie de l’animal. Ainsi l’ours polaire a-t-il une fourrure épaisse, ce qui tombe bien car il vit dans des

est sage s'il parvient à comprendre les raisons de Spinoza. Pourtant, il ne saurait s'agir ici d'une libre conversion en vue de l'accession à un bien jugé désirable : l'idée d'une telle conversion implique en effet une liberté de décision et un finalisme que le nécessitarisme spinoziste exclut également. Or ce nécessitarisme semble dès lors engendrer l'indifférence que par ailleurs il récuse. Car non seulement la question « à quoi bon être sage ? » est ici dépourvue de sens, mais la liberté du sage

médecin interprète les symptômes pour remonter a l’origine de la maladie. 3 composantes de l’interprétation : l’objet interpréter, l’interprète (rend compréhensible) et l’interprétation. L’homme interprète tout ce qui a du sens retour au finalisme et a l‘anthropocentrisme . Phénomènes naturels il y voit des signes alors que c’est des évenements naturel. ( critique de la superstition). Pour un superstitieux le monde est fait de signe et la nature a un sens caché donné par Dieu. Croyance au

vivants = la cellule C’est au 18ème siècle  naissance de la biologie. 20ème siècle : code génétique ADN LE GENE 2) La découverte de l’évolutionnisme (Les espèces ont une histoire) Ex : le cou de la girafe 2 hypothèses :  Le finalisme : de Lamarck Ce n’est pas par hasard que la girafe a un long cou, c’est parce qu’elle en a besoin pour manger les feuilles des arbres.  Le hasard de la SELECTION NATURELLE (les espèces ne survivent que si elles sont adaptées aux conditions naturelles