Flexicurité

dont l'objectif est de rendre le chômage supportable avec la volonté de ne pas accroître la demande de travail. La politique active est une politique qui vise à prévenir toute situation de sous-emploi en agissant en amont du phénomène. 7- Flexicurité : Concilier flexibilité et sécurité l’objectif majeur est de réduire le dualisme du marché du travail. Cette loi a facilité le recours aux contrats de travail temporaires par les entreprises, à attribuer les mêmes droits aux travailleurs en matière

prudent sur les restrictions portées aux licenciements économiques. De nos jours la tendance serait plutôt à faciliter la création de nouveaux emplois et à aider les salariés en mobilité comme l’ont fait certains pays scandinaves dans le cadre de la flexicurité L'affirmation des contrats à durée déterminée [modifier]Article détaillé : contrat à durée déterminée. Le recours au contrat de travail à durée déterminée s’est affirmé dans les années soixante-dix en même temps que les règles de licenciement

individus et facilite le recrutement des chômeurs. Nous pouvons voire dans le document 4, que le Danemark en 2008 a dépensé 2.43% du PIB pour les politiques de l’emploi et 1 point de % de plus en 2010. En effet le Danemark est connu en matière de flexicurité et inspire beaucoup de politique d’emploi. Pour conclure nous pouvons dire que les politiques pour l’emploi sont diverses et opposés. Elles ne sont pas d’accord sur l’origine du chômage, mais aussi sur les mesures à prendre. Nous pouvons dire

danois ? 1- Quelles sont les principales caractéristiques du « modèle » danois ? D’une certaine façon, « le modèle » danois allie la flexibilité du marché du travail anglo-saxon et un niveau élevé de protection sociale, d’où l’expression de « flexicurité », mélange de flexibilité du travail et de sécurité sociale. En effet, si la réglementation de l’emploi y est faible, c’est-à-dire s’il est facile d’embaucher ou de licencier une personne, la protection sociale attachée aux chômeurs y est forte

pour les entreprises (flexibilité) à des indemnités longues et importantes pour les salariés licenciés (sécurité). D'origine récente, ce néologisme n'a encore de figé ni l'orthographe ni la prononciation en français. Les différentes variantes (flexicurité, flexécurité, flexsécurité, flex-sécurité, flexisécurité, flexi-sécurité) connaissent des fortunes diverses. En anglais par contre, le mot-valise flexicurity ne semble pas avoir de concurrent sérieux. Marché du travail : En économie, le marché

moins avant d’embaucher, car celle-ci leurs garanti une assez forte rentabilité c’est-à-dire le rapport entre le profit et la valeur du capital humain mis en œuvre pour l’obtenir. Au Danemark par exemple a été mis en œuvre, une politique de « fléxicurité » alliant flexibilité du travail et sécurité des revenus et des parcours professionnels. Enfin la flexibilité du travail et notamment la flexibilité des rémunérations permet aux entreprises de ne pas délocaliser c’est-à-dire de ne pas fermer une

apporte peu, le chômage augmente et la croissance diminue, baisse des salaires des employés peu qualifiés ● au Danemark et au Royaume-Uni : lien entre flexibilité et le faible taux de chômage n'est pas avéré (doc3) ● au Danemark : le système de « flexicurité » qui associe flexibilité et protection de l'emploi, sécurité sociale et formation met en doute l'efficacité de la flexibilité (petit pays peu peuplé où les salariés sont élevés et le chômage est faible. ● un faible taux de chômage n'est pas toujours

flexi-sécurité : La notion de la flexi-sécurité s'appelle aussi flexicurité est apparu le 27 juin 2007 lorsque les Etats membres ont élaborés « des stratégies politiques globales qui couvrent les 4 composantes de la flexicurité ». En France, c'est l'art 12 de l'ANI du 11 janvier 2008, et l'art 6 de la LMMT qui a mis en place la flexicurité avec le contrat de projet appelé aussi contrat à objet déterminé. Les 4 composantes de la flexicurité sont : * La mobilité professionnelle voire géographique

l’investissement, lé dévouement de ces salariés de passage ne saurait être égal à des travailleurs permanant pour des raisons psychologiques évidentes. Pour répondre à ces effets pervers, on montre en exemple le modèle danois de « flexisécurité » ou « flexicurité ». Ce dernier associe une politique de protection sociale généreuse et une offre de formation abondante et gratuite. Entre deux « missions », le salarié est ainsi assuré de bénéficier à 90% de ses revenus du travail en attendant de retrouver un

voir des salariés adopter des comportements attentistes en période de récession, et mercenaires quand l’économie se porte mieux : à leur tour, ils mettent en concurrence les entreprises les unes avec les autres, sans état d’âme ni scrupule. La « flexicurité » q La montée des comportements individualistes q L’accroissement du niveau de formation La flexibilité fonctionnelle chère au toyotisme (voir définition page 34) nécessite un accroissement du niveau de qualification de la main-d’œuvre. En