Force Faiblesses Monoprix

Un retour ferme vers des préoccupations ultra-individualistes a alors émergé dans les années 80. Le consommateur de cette époque se caractérise donc par le narcissisme, le pouvoir et l’excès. Les valeurs de l’époque passent par la beauté et la force. On appelle cet homme le « power man. » Viennent alors les années 90 où une période de doute s’installe. Il s’agit du début de la crise identitaire des hommes : homosexualité, androgynie et métrosexualité révèlent que l’homme assume son côté féminin

compromis entre ce qu’elle veut faire et ce qu’elle peut faire. Ce qu’elle peut faire étant contraint par ses capacités et l’environnement Ensuite viens une phase de diagnostiques externe (opportunités/menaces de l’environnement) et interne (force/ faiblesse dues au capacité d’entreprise) Remarque : un événement externe peut être une opportunité pour certaine entreprise et une menace pour d’autre. Puis il convient de comparer les objectifs et les prévisions. Les prévisions résultent des diagnostique

concurrence accrue * Niveau d’innovation élevé donc taux de lancement de nouveaux produits élevé * Présence d’une multitude de produits (env 200 produits) Pouvoir de négociation des clients (3) * Axe est leader donc sa position de force pour négocier est forte : il est important pour les GMS de l’avoir dans ses rayons. * Existence de produits qui ont le même but (réduire l’odeur corporelle) plusieurs produits de substitution Pouvoir de négociation des fournisseurs (4)

Ozann, 2001 ; Shaw et Newholm, 2002 ; Shepherd, 2002 ; Zavestoski, 2002 ; Cherrier, 2008), le refus de certains dispositifs persuasifs comme la publicité (Rumbo, 2002 ; Dubuisson-Quellier et Barrier, 2007), ou encore la tentative d’influence par la force de vente (Kirmani et Campbell 2004). Plus difficiles à repérer, ces formes de résistance peuvent se manifester par diverses actions (les achats responsables, les gestes écologistes, le détournement publicitaire, le rejet d’un système de vente, les

production et de consommation de masse, pour lesquelles il fallait une distribution de masse. Aujourd’hui, les projections concernant le futur de la distribution sont davantage tournées vers l’idée d’individualisation de l’offre : c’est un peu un retour en force du commerce, symbolisé par ce désir des grands distributeurs d’être à nouveau consi1. Moati Ph. (2001), L’avenir de la grande distribution, Odile Jacob, Paris. 50672_ManDist_p001p004_MM Page 2 Jeudi, 24. août 2006 4:59 16 2 MANAGEMENT DE LA DISTRIBUTION

réputation de l’établissement thermal et de ses sources * Présence d’un contrôle de qualité de l’eau à toutes les étapes de production. * Marge brute confortable (entre 22% et 23%). | ------------------------------------------------- FAIBLESSES * Forte concurrence des puissants groupes : Nestlé Walters, Danone, Castel Neptune * Marque très peu connue à l’échelle nationale * Difficulté au niveau de la différenciation et très peu d’ouvertures dans de nouveaux marchés * Les bouteilles

décisions stratégiques et opérationnelles qui concernent : La fixation des prix de ventes des produits et des services nouveaux La modification des prix des produits et services existants Les modulations tarifaires prévues et autorisées pour la force de vente - Les objectifs de la politique de prix se fixent principalement en termes de : Niveau des ventes : atteindre ou préserver une part de marché en volume ou en valeur, atteindre ou préserver un coefficient d’occupation du marché, maximiser

camarades ; je préfère les filles qui ne sont pas communistes, je ne sais pas pourquoi, mais les camarades, même quand elles sont jolies, elles ne me font pas bander ; c’est vrai, je trouve plus de plaisir avec une laborantine ou une caissière de Monoprix qu’avec une nana du parti ; et puis elles sont libres, elles ne se font pas prier pour sucer et avaler ; elles adorent ; j’ai une régulière, Martine, et deux ou trois occasionnelles, elles sont sympas, pas compliquées, directes, libres et joyeuses

stratégies des industriels de l'alimentaire INTRODUCTION Au cours des dix dernières années, la croissance de la part de marché des produits à marques de distributeurs (MDD) a connu une accélération. Les MDD occupent aujourd'hui une position de force sur le marché de nombre de catégories de produits alimentaires. Cette progression des MDD, qui intervient sur des marchés en faible croissance, pèse sur les résultats des industriels promoteurs de leurs propres marques. La question se pose de savoir

production et de consommation de masse, pour lesquelles il fallait une distribution de masse. Aujourd’hui, les projections concernant le futur de la distribution sont davantage tournées vers l’idée d’individualisation de l’offre : c’est un peu un retour en force du commerce, symbolisé par ce désir des grands distributeurs d’être à nouveau consi1. Moati Ph. (2001), L’avenir de la grande distribution, Odile Jacob, Paris. © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. 2 MANAGEMENT DE LA DISTRIBUTION