Freud Et Sartre Liberte

relative à une culture particulière. Toutefois, la morale est souvent considérée comme un instinct ou une connaissance rationnelle innée et universelle. Finalement, il existe un lien très étroit entre la liberté et la morale : l'homme peut choisir entre le bien et le mal parce qu'il est libre. Sa liberté lui confère donc une responsabilité morale indéniable. I- Une morale sociale et relative A- Une morale liée au conformisme 1) Une morale d'obligation Pour commencer, on peut considérer la morale comme

La liberté, expérience à laquelle pense aspirer chaque être humain, nécessite une libération, apparaissant comme l’aboutissement d’un long chemin de prise de conscience et de connaissance du monde. En effet, l’accès à la liberté semble extrêmement difficile, non seulement parce que cette liberté implique une grande solitude , de manière à ce que l’Homme ne soit pas influencé dans ses choix, mais aussi parce que l’Homme aura tendance à persister dans son désir de confort et de facilité ; il doit donc

Objectif général: Appréhender les difficultés liées à la conquête de la liberté. Liberté, liberté, liberté ! Telle semble être la fin poursuivie par l’homme dans toutes ses entreprises. Cependant, aussi légitime que soit cette aspiration, elle ne manque pas de se heurter à des difficultés de tous ordres : politique, psychologiques, sociologiques, etc. or, comme semble le suggérer son étymologie libertas, la liberté se veut absence de contraintes dans l’agir ou le penser, alors elle risque d’être

L'INCONSCIENT NOTIONS CONNEXES : LA CONSCIENCE, LE DESIR, LA LIBERTE. En un premier sens, l'inconscient peut se définir de façon négative comme ce qui n'est pas conscient ou comme ce qui est non-conscient. Les mécanismes du corps, les fonctions biologiques, les mouvements habituels sont des processus inconscients ou non-conscients, c'est-à-dire dont nous n'avons pas conscience au moment où ils s'effectuent. On ajoutera à cela les intermittences de la conscience comme l'évanouissement

théoriques, un désir subconscient, une perception subliminale, une attitude ou un préjugé implicite, un apprentissage procédural, pourraient être désignés comme « inconscient ». Sigmund Freud Au travers de la correspondance entre Biswanger et Freud, on constate diverses influences philosophiques et épistémologiques6,7. Freud dit « l'inconscient est métapsychique et nous le prenons simplement pour réel »8,9. Histoire L'opposition entre phénomènes conscients et inconscients est déjà présente au xviiie

pour parvenir à la conscience (ou de réflexions qui vont au-delà de la conscience). Il peut être également composé des instincts ou des puissances de la vie, souvent liés à la nature corps de l’homme. Mais, et c’est là que se situe la découverte de Freud, l’inconscient peut-être conçu comme une entité psychique à part entière, ayant sa propre structure et son propre fonctionnement, et n’ayant donc pas moins « droit de cité » dans le système psychique que la conscience. L’inconscient dans la philosophie

J.P. Sartre Sartre est un philosophe existentialiste. Existentialisme = courant de pensée qui met au centre de ses préoccupations l’existence de l’être humain prise dans sa réalité et de sa singularité concrètes. Le point de départ des existentialistes est la subjectivité de l’individu engagé dans l’expérience vécue, l’être humain dans le monde. Pour les existentialistes chaque individu est unique et il se doit de faire des efforts pour parvenir à son authenticité. Être authentique= vivre en

qui va cacher le désir. Le déplacement : la pensée inconsciente apparaît dans un détail très banal. La contingence : le lieu de tous les possibles, dans lequel la liberté peut s’inscrire. Fait que les choses puissent être autrement qu'elles ne sont actuellement. La mauvaise foi : fuite face à la prise de conscience de sa propre liberté, car cela suscite l'angoisse devant un champ infini de possibles. I. CONSCIENCE ET INTERIORITE A. LA CONSCIENCE, UNE DONNEE IMMEDIATE Conscience = simple

Philosophie 1. Antinomie de la «glaise indéterminée»(Descartes) ou le «faisceau de tendances»(Hume) Glaise indéterminées = différents états mentaux. Faisceau de tendances= collection des états mentaux Sartre critique la psychologie empirique. Il reproche à cette psychologie : • Analyse du sujet en le décomposant en 1 pluralité de désirs irréductibles. Désir irréductible= tout ce qu’il y a autour de ce désir converge vers celui-ci • Universalité abstraite : Les désirs qu’elle attribue aux individus

que je souffre, mais il ne fait point connaitre ce que je suis, la mature de ma pensée, de ma volonté, de mes sentiments, de ma passion, de ma douleur ni des rapports que toutes ces choses ont entre elles. » Valeur de la théorie du Cogito Pour Sartre, le cogito est quelque chose d’essentiel (il se réfère toujours au Cogito), le Cogito donne selon lui de la valeur à l’humain. «Il ne peut pas y avoir de vérité autre au point de départ que celle-ci : je pense donc je suis, c’est là la vérité absolue