Freud Perfection

violence. Nous resterons sur une violence générale sans influence physique. 1) Théorie Freudienne Dans le 1er topique, en 1920, Freud suite à ces études portant sur les pulsions et le refoulement, il fait apparaître la notion de « Ca ». Le « Ca » est un concept, il ne connait ni normes (interdit ou exigence), ni réalité (temps ou espace). Il serait régi selon Freud par le simple principe du plaisir, d’une satisfaction immédiate. C’est un élément de notre inconscient qui se confronte au « Surmoi »

narrateur. « Le Horla est venu pour nous remplacer ». Successeur, descendant. PBK des ancêtres. Il n’est pas question d’engendrer (tare). Surhomme, apocalypse. Freud : « limites de sa puissance jusque dans sa propre maison ». Hôtes étrangers et forts. « Le moi n’est pas maître en sa propre maison ». Maupassant comme visionnaire par rapport à Freud ? La littérature fantastique renouvelle le genre. Stevenson, L’étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde. Nécessité de se détruire. | « Un jour je m’attendais

s’en sentira toujours responsable. Ce drame est-il à l’ori-gine de ses recherches insatiables pour amener plus de bonheur sur Terre? Il en est souvent ainsi chez les génies humanistes... A Vienne, dans les années 20, Reich a été l’élève favori de Freud, dont il finira par se distancer. Brillant psychanalyste, sociologue, médecin, chercheur, homme politique, inventeur, mari, père... Reich était tout cela, mais il était avant tout épris de liberté, pour lui comme pour les autres. Son œuvre, immense

en lien avec l'angoisse: les cauchemars, les terreurs nocturnes, les phobies diverses, les rituels obsessionnels. Ce sont des moyens par lesquels l'enfant apprend progressivement à manier et à maîtriser son angoisse. Données psychanalytiques Freud fournit des données pour « la compréhension de l'angoisse ». On peut considérer trois temps d'élaboration: Vers 1900: ( la naissance de la psychanalyse) L'angoisse est représentée comme une excitation se déchargeant de façon non spécifique, elle

lecteur aux cours des Beaux-Arts imaginant qu‘Adolf a réussi l‘examen. Le voilà décontenancé devant la nudité du modèle féminin. Il tombe à terre, se faisant remarquer de ses congénères… A l’époque, le futur spécialiste de la psychanalyse, Sigmund Freud, n’est guère connu sur la place de Vienne. Il le reçoit, accompagné du Docteur Bloch ayant soigné sa mère, décédée d’un cancer du sein. Le médecin viennois demande au jeune homme très récalcitrant : «Depuis quand, ne vous souvenez-vous plus de vos

-Résilience : Trait de caractère résultant de caractéristiques innées et acquises, et qui augmente les possibilités que l’individu s’adapte bien stress. Les grandes théories : Les théories psychanalytiques : a) Niveaux de conscience selon Freud : Les parties de l’esprit peuvent être comparées à un iceberg dans l’océan. La pointe de l’iceberg est l’équivalent de la pensée consciente, facile à examiner. Immédiatement sous la pensée consciente, on trouve le préconscient, dont il est également

La  socialisation     Le  renversement  sur  la  personne  propre   Le  retournement  en  son  contraire       Le  plus  heureux  de  ses  destins  est  la  socialisation  (Freud)       Les  2  pulsions  qui  nous  prennent  sans  cesse  :  Eros  et  thanatos  (référence  à  la   mythologie)  les  pulsions  de  vie  et  pulsion  de  mort.  

empêcher les maux de s’échapper sur la terre. Seule l’Espérance resta enfermée dans la boîte. Nombreux sont les mythes, comme celui de Pandore ou celui de la création avec Adam et Eve, qui illustrent un acte plus ou moins inconscient. En effet d’après Freud, tout homme est composé de cet inconscient, instance psychique, à laquelle il n’a pas accès, possédant un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres, et de nature à nous faire agir. Quant à la liberté, elle s’entend comme un libre arbitre

façon inconsciente. Mais les cliniciens du XIXe siècle tels que Freud mettent à jour une nouvelle forme de mémoire ; la mémoire dite refoulée. En 1896 Freud expose sa théorie selon laquelle les troubles de ses patientes seraient dûs à des violences d’ordre sexuel qu’elles auraient subi durant leur enfance et qu’elles auraient oublié à cause du traumatisme provoqué. Néanmoins ces souvenirs resurgiraient au cours de leurs thérapies. Freud se serait rétracté seulement dix-huit mois plus tard, il n’en

sortirait sans doute le patient de cet état, imposant des traitements d’une grande brutalité aux malades. Ici c’est la question du transfert et du contre-transfert qui semble inaperçue, et qui ne sera vraiment travaillée qu’avec les écrits de Freud. Les exemples de thérapeutiques « défensives » ne manquent pas dans toute l’histoire du traitement de la folie, et la plus radicale des prophylaxies s’est développée au cours du siècle dernier, avec la stérilisation des malades mentaux dans