Gagnant-gagnant

et même nécessaires. Une idée révolutionnaire à l'époque. Elle analyse leur traitement et préconise une méthode: l'intégration, façon de sortir par le haut d'une situation conflictuelle, qui sera reprise plus tard sous l'appellation "win-win" (gagnant-gagnant). Mary Parker Follett (1868-1933) Née dans une famille Quaker des environs de Boston, Mary P. Follett fait de solides études à Radcliffe et à Newhamn, annexes féminines respectives de Harvard et de Cambridge (les deux universités, l'américaine

définissons comme une démarche dynamique de | |coopération entre des partenaires qui suivent les phases d’un processus rationnel de résolution de problèmes ou de conflits en | |vue d’atteindre des résultats leur procurant un bénéfice mutuel (« gagnant-gagnant »). | | | |Cette définition fait ressortir les deux ingrédients fondamentaux

problème Identification des différends Résolution mutuelle des conflits Ne pas toujours être sur la défensive Compréhension des points de vue Résultats de la négociation : * Gagnant-gagnant : les deux parties atteignent leurs objectifs et sont satisfaits des résultats. * Gagnant-perdant : l ’une des parties atteint ses objectifs aux dépens de l ’autre * Perdant-perdant : les deux parties sont mécontentes des conditions de l ’entente La théorie des jeux : Cette

tirer ? Pour se faire nous allons-nous intéresser dans une première partie sur le cadre dans lequel s’insère cet éventuel accord de libre échange entre le Maroc et le Canada. Pour ensuite s’attarder sur les éventuels retombées d’un accord « gagnant-gagnant » et « équilibré ». 1- Le cadre dans lequel s’insère l’éventuel accord de libre échange entre le Maroc et le canada : a. Les différents accords commerciaux des deux pays dans l’aire de l’évolution du commerce mondial : Tout d’abord il

est correctement renseigné, qu’il sait que ce qu’on lui propose répond parfaitement à ses besoin, il sera plus simple pour nous de faire peu ou quasi pas de compromis. Le but de cette stratégie est bien entendu caractérisée par un but dit « gagnant – gagnant »

entreprises-salariés était basée sur un mode gagnant-perdant : les salariés obtenaient des avantages quand le marché de l'emploi leur était favorable, puis les entreprises en profitaient à leur tour quand le marché se dégradait. Depuis une dizaine d'années, nous sommes passés dans un rapport donnant-donnant, où chacun défend son pré carré. Avec le papy-boom et la maturité croissante des interlocuteurs, nous nous dirigeons cette fois vers un mode gagnant-gagnant, c'est-à-dire une négociation raisonnable

entrants, ses rendez-vous, les tous courriers envoyés par les clients, ... Pensez à mettre en avant les bénéfices concrets et pratiques pour les utilisateurs. Pour réussir, la relation avec le client doit se faire dans une logique gagnant-gagnant : profitable pour chacune des parties. Quelques erreurs à éviter : o Imposer le logiciel de CRM dans son entreprise sans communication, ni concertation, ni pédagogie. o Utiliser tout son budget pour l'achat de la solution

négociation anglo-saxon d’approche frontale et directe est à proscrire avec les chinois. Ils pratiquent plutôt l’art du compromis pour respecter l’harmonie du groupe, et la ruse. * Adopter un style de négociation intégrative (gagnant-gagnant) et non distributive (gagnant-perdant). « Je ne trouverai jamais mon intérêt là où tu ne trouves pas le tien » dicton chinois. L’harmonie et le consensus priment. * Donner la face à vos interlocuteurs et ne surtout ne pas leur faire perdre la face. En

peut dire que la relation client-banquier est une relation sacrée c'est à dire le banquier représente pour le client un coffre de secrets. D’un autre coté, la relation que les banques cherchent à entretenir avec leurs clients est une relation gagnant-gagnant qui va apporter une satisfaction réciproque, c'est-à-dire on cherche au premier lieu la satisfaction et la fidélisation des clients mais tout en prenant en considération la disponibilité financière et la marge du profit que l’agence doit avoir

type de support, de plus le contexte était favorable pour ce type de communication. Enfin la cliente, à l’aide de mes arguments, a bien compris l’enjeu d’une communication sur son magasin durant cette période de forte activité. Une stratégie gagnant-gagnant a été mise en place.