Gaz parfait

conséquences) - Sur la vie sexuelle et amoureuse : perte de la libido (La tyrannie du corps idéal et Petites apparences et grandes conséquences) 3. Corps = marchandise - Il fait vendre (Publicité Dove) - Idéalisation du corps parfait (La tyrannie du corps idéal et Petites apparences et grandes conséquences) Cette dictature de l’apparence ne peut être totalement bannie ; l’exploitation du corps fait vendre donc tend qu’il y aura des choses à modifier ou améliorer sur le

ATTENTION! Il faut se méfier des signes… celui du binôme obtenu est le même que dans l’expression originale, tandis que celui du terme central du trinôme est l’inverse de l’original. = 2((x − 6)2 − 9) = 2(x − 6 + 3)(x − 6 − 3) = 2(x − 3)(x − 9) carré parfait = 2(x 2 − 12 x + 36 − 9) = 2(x 2 − 12 x + 36 − 36 + 27) = 2(x 2 − 12 x + ( 122 ) − ( 122 ) + 27) 2 = (3 x + 2)(x + 3) = x(3 x + 2) + 3(3 x + 2) = (3 x 2 + 2 x) + (9x + 6) 3x 2 + 11x + 6 = 3 x 2 + 2 x + 9x + 6 x 2 + 7 x + 10 = (x + 2)(x + 5) E XEMPLE

3FMBUJPO EF #FSOPVMMJ L’axe Oz est pris selon la verticale ascendante. ** ‰ %ZOBNJRVF EFT ýVJEFT QBSGBJUT ²DPVMFNFOU TUBUJPOOBJSF JODPNQSFTTJCMF FU JSSPUBUJPOOFM EVO ýVJEF IPNPHÒOF Fluide parfait : on néglige la viscosité et la tension superficielle. P v2 + +gz =C ; µ 2 ²RVBUJPO E&VMFS On considère un fluide parfait, dans le champ de pesanteur #» g considéré comme uniforme, étudié dans un référentiel R galiléen. Le principe fondamental appliqué à une particule de fluide conduit à l’équation d’Euler

| |Le gaz | |Plus marginal et bientôt concurrencé par les manchons Auer, le bec Albo-Carbon enrichit localement le gaz en carbone, pour améliorer son| |efficacité lumineuse. La flamme chauffe un réservoir rempli de naphtaline, laquelle s'évapore et se mélange au gaz. | |Dans les appartements, les appliques

simplificatrices, appuyées sur l’expérience. Les étapes les plus importantes de ces travaux théoriques et expérimentaux sont marquées, entre autres, par l’introduction des coefficients de similitude (E. Mach, 1889; O. Reynolds, 1883), des notions de fluide parfait et de couche limite (L. Prandtl, 1904) dans le cas des écoulements à des vitesses modérées. C’est également à la fin du XIXe siècle et au début du XXe que l’aérodynamique expérimentale a découvert les lois physiques, que les théoriciens ont eu à

------------------------------------------------- DM2- 2nde5- EXERCICE 1 : f est la fonction définie pour x≠3 par f(x)= et g la fonction définie sur IR par g(x)= -x²+4x-3. 1) Calculer les images de 3+ et de par f. 2) Calculer g(-2) et g(1-) EXERCICE 2 : Résoudre les problèmes suivants après les avoir mis en équation. 1) Je prends un nombre , je lui retranche 7 puis j’élève au carré le nombre obtenu , je trouve le carré du nombre de départ .Quel est ce nombre ?

Exercice 10 : Soient 4 entiers naturels consécutifs n, n+1, n+2, n+3 ; [pic]. 1°) a°) Démontrer que[pic]. b°) On pose [pic]. Exprimer en fonction de a le produit [pic]. c°) En déduire que p+1 est le carré d’un entier (on dit carré parfait). 2°) Déterminer n sachant que p=5040. Exercice 11 : Soit a, b, c trois nombres réels non nuls tels que[pic]. Calculer la somme [pic] Exercice 12 : Soit a, b, c trois nombres réels. 1°) Développer [pic] puis[pic]. 2°) Démontrer que si : [pic]

naturel n tel que p = 6n − 1 et q = 6n + 1. 3. Montrer que p ≡ 2[3]. 4. Montrer que p + 4 n'est pas un nombre premier. Nombres parfaits, nombres de Mersenne(1588-1648) Un nombre parfait est un entier naturel égal à la somme de tous ses diviseurs positifs autres que lui même. Si l'on note σ(N ) la somme des diviseurs positifs de l'entier naturel N , N est donc parfait si et seulement si σ(N ) = 2N . 1. Soit p un nombre premier, et N = pα . Ecrire tous les diviseurs de N , et montrer p1+α − 1 que

Etude théorique simplifiée de la Clepsydre d’après F. Geniet, LPTA-UM2 http://www.lpta.univ-montp2.fr/users/geniet/ 1. Clepsydre à bords droits On note S la section de la clepsydre et s la section de l’ajutage. Le paramètre décrivant l’écoulement est la hauteur de la colonne d’eau H ( t ) dont on veut décrire l’évolution au cours du temps. a. Relation de conservation de la masse (débit) Le débit volumétrique d’eau est donné par (1) : Q ( t ) = −S V ( t ) est la vitesse (moyenne1) de

les trois grandeurs « vitesse », « pression » et « altitude ». Le théorème de Bernoulli prend la forme suivante, dans le cas d’un fluide parfait : 1 .v ² + ρ .g.z = C 2. ρ ( en pression ! ) ets p+ La vitesse « v » représente alors aussi bien la vitesse moyenne, que la vitesse locale puisque la distinction ne s’impose pas pour un fluide parfait. Qu’en est-il pour un fluide réel ? Nous avons rappelé ci-dessus que le débit ( volumique ou massique ) est défini grâce à la vitesse