George Vedel Majoritaire

jusqu'à une droite assez extrémiste aussi   C'en est fini de la majorité monarchiste. La majorité est à présent républicaine.   Soumission de MM car espoir de revanche. Elément de son départ: élections sénatoriales. Les républicains vont devenir majoritaires même au Sénat. MM perd espoir et considère que sa présence n'a plus lieu d'être il démissionne donc le 30 Janvier. Le jour même l'AN se réunit pour élire un nouveau président.   => Jules Grévy (30 janvier 1879: premier président de la république

choix fait par la loi électorale et la constitution (en France que pour les présidentiels) exemple pour les législatives c’est uninominal (présidentiel, cantonal) différent des municipales et régionales c’est le scrutin de liste. Le scrutin majoritaire, proportionnel ou mixte. Le scrutin proportionnel on doit avoir la même propension de siège que de voix obtenue donc il est forcément de liste. Le mode a tendance à favoriser le développement des partis politiques c’est le multipartisme, l’inconvénient

comme Jean-Marie Denquin ou encore Dominique Chagnollaud préfèrent l’expression sciences politiques, pour caractériser des recherches empreintes davantage de connotation juridique dans l’esprit de la somme que le professeur de droit constitutionnel Georges Burdeau publia en 1966-1967 sous le titre Traité de sciences politiques en sept volumes. Certains par ailleurs, compliquent la filiation sociologie générale-sociologie politique, en affirmant soit comme Dominique Chagnollaud et Philippe Braud que

générale ne peut pas être unanime, c’est alors ce que choisi la majorité, parce qu’elle est majoritaire, elle a toujours raison et la minorité a toujours tort, donc si la minorité n’est pas d’accord avec la majorité, la minorité doit accepter la décision de la majorité mais elle doit aussi se taire, disparaitre, personne ne doit contester la majorité (c’est irréaliste). On en tire aujourd’hui le principe majoritaire, toutes les élections démocratiques sont réalisées à la majorité. Cette non contestation

désigner les pouvoirs du monarque en GB) est passée aux mains du 1er ministre. Maintenant, le roi n’a pratiquement plus aucun contrôle sur le choix du 1er ministre qui est désigné parmi la majorité. Ex : lorsque Thatcher a démissionné, le parti majoritaire avait déjà choisi son nouveau leader, la reine a été contrainte. Montesquieu ne sera pas le seul à subir l’influence anglaise, Jean Louis de Lolme en 1771 va encore plus loin en consacrant un ouvrage entier sur la Constitution de l’Angleterre. Ce

fédérations. 2. L’organisation de l’Etat fédéral. Pour caractériser cette forme d'Etat, on s'appuie sur un certains nombres de points communs aux différents états fédéraux. Ces points communs ont été dégagé par un grand spécialiste du DC du 20eme siècle: Georges Scelle. Il a formalisé les premiers principes. Il y en a 3. 1er principe: répartition des compétences entre niveau fédéral et niveau fédéré. Ce principe porte aussi le nom de superposition 2eme principe: autonomie des états fédérés vis à vis de l'état

nomothétique → le chercheur à la volonté de faire émerger des lois de l'observation, montrer des irrégularités. Exemples : Les lois de Duverger. Ce dernier observe qu'à tel mode de scrutin va correspondre un type de système politique. Au scrutin majoritaire à un tour, le type de système politique est le bipartisme. Ces lois sont cependant précaires, et l'ambition nomothétique n'est pas souvent remplie. C – Brève histoire et regard sur contenu de la science politique La sociologie politique

const A l'origine le droit constit était l'étude des constitutions, les institutions politiques et leur fonctionnement. L'objet des constitutions était comment gouverner était un état. Les premières définitions du droit constit : celle de Georges Burdeau qui définissait le droit constit comme l'ensemble des règles juridiques selon lesquelles s'établit, s'exerce, et se transmet le pouvoir politique. Cette définition a nécessairement évolué car l'objet des constitutions s'est lui-même élargit

élue. Deux mécanismes d’élections. le scrutin majoritaire la représentation proportionnelle. Laquelle est la meilleure ? la représentation proportionnelle : scrutin de liste (généralement), les groupements politiques présentent le nombre de candidats par rapport au nombre de sièges libres. On attribue dans le premier temps chaque partis le nombre de sièges proportionnellement au nombre de voix reçues. Il faudra arrondir. Le scrutin majoritaire : celui qui a obtenu le plus de voix l’emporte.

colonies (50 millions contre 48 millions de métropolitains) le choix du Président de la République. Mis en œuvre seulement en 1958, ce système a permis au général De Gaulle de remporter l’élection au 1er tour avec 78,5 % des 12 voix (face à Georges Marrane pour le PC et Albert Chatelet pour l’Union des forces démocratiques). Ainsi, il est acquis de façon irrévocable que l’élection présidentielle échappe au Parlement. Pour autant, elle n’échappe ni à la contestation politique, ni au « régime