Gestion des incidents

. . . . . . . . . . . . . . . . . 71 BMC Configuration Management . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Change Management . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Foundation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 Incident Management . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 Problem Management . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 Requester Console . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 Service Level Management . . . . . . . . .

l'identification d'individus qui paraissent devoir appeler une vigilance particulière ainsi que la mise en place de mesures de sécurité spéciales pour prévenir les incidents les plus graves (évasions, violences, mouvements collectifs). Un premier fichier des détenus dangereux avait été institué, compte tenu de la multiplication des incidents graves en France, par une note du 12 juillet 1967 puis précisé par les circulaires du 14 août 1970 et du 07 novembre 1975. L'article D.276-1 du CPP prévoit depuis

enfant). Il est donc nécessaire de maintenir à jour l’ensemble des éléments. Cela évite les coûts inutiles du type NPAI (« N’habite pas à l’adresse indiquée ») ou la mauvaise image laissée en se trompant sur la date anniversaire des enfants… II. La gestion des risques liés à l’unité commerciale A. La distinction entre le risque et l’incident 1. Définition du risque Le risque peut se définir comme un danger dont on peut, jusqu’à un certain point, mesurer l’éventualité. Il peut donc être plus ou moins

forme permettant l'identification des personnes concernées pendant une durée n'excédant pas celle nécessaire à la réalisation des finalités pour lesquelles elles sont obtenues ou pour lesquelles elles sont traitées ultérieurement. Des mesures de gestion, techniques et opérationnelles, doivent être mises en œuvre par l’organisme afin de : • déclarer préalablement à la Commission de la protection de la vie privée tous les traitements nécessitant une telle déclaration ; • respecter les droits de la

mesurer la sécurité • Notion de scénario – Système électrique (modèle de comportement) – Situation avant perturbation (topologie, flux, …) – Perturbation • Mesures de la sévérité d’un scénario – Profondeur et étendue de la dégradation post-incident – Vitesse et durée de la dégradation • Mesures de la sécurité d’une situation – Probabilité des scénarios sévères – Sensibilité des sévérités par rapport aux incertitudes 1/18/01 ELEC-026 - 2000/2001 Exemple : sécurité statique • Profondeur

ORDRE DU JOUR L’amélioration continue du processus et de la gestion des risques se traite principalement au travers des revues du processus. Elles aborderont les points suivants : 1. Introduction (Suivi des actions d’amélioration décidées lors des revues précédentes) 2. Etat de la fiche descriptive du processus 3. Bilan de l'efficacité du processus : 1. Examen des résultats des indicateurs de performance et de pilotage du processus (mesure de l’atteinte des objectifs)

stratégique (risque de perte résultant d'une mauvaise décision stratégique) n'y sont pas inclus. Cette définition recouvre notamment les erreurs humaines, les fraudes et malveillances, les défaillances des systèmes d'information, les problèmes liés à la gestion du personnel, les litiges commerciaux, les accidents, incendies, inondations. Le Comité de Bâle a retenu une classification qui institue sept catégories d'évènements1 liés à ce risque : 1. Fraude interne : par exemple, informations inexactes

Delivery 3 1.1. Gestion des niveaux de service 3 1.1.1. Objectifs 3 1.1.2. Processus 3 1.1.3. Activités 3 1.1.4. Implémentation 5 1.1.5. Divers 5 1.2. Gestion financière 6 1.2.1. Objectifs 6 1.2.2. Processus 6 1.2.3. Activités 7 1.2.4. Implémentation 7 1.2.5. Divers 9 1.3. Gestion de la capacité 10 1.3.1. Objectifs 10 1.3.2. Processus 10 1.3.3. Activités 12 1.3.4. Implémentation 12 1.3.5. Divers 13 1.4. Gestion de la continuité

découlant de ces reporting • Collecte des données d’incidents (consécutifs à la réalisation des risques) • Intégration des obligations de l’approche standard • Mise en place d’une entité indépendante, en charge de la mise en place de la politique de gestion des risques opérationnels, des procédures et des contrôles • Utilisation de données externes à l’établissement pour la prise en compte des risques « extrêmes » • Calcul des fonds propres à mobiliser sur la base des données d’incidents collectées et

du Groupe Banques Populaires : Partie II : Présentation Agence MARTIL de Tétouan : 1- Fiche signalétique Agence 2- Organigramme Agence Partie III : Service Caisse & Gestion du GAB : 1- Éléments constitutifs et fondements de la caisse 2- Différentes opérations de la caisse 3- Gestion du Guichet Automatique Bancaire Partie IV : Portefeuille / Compensation : 1- PTF : Remises des chèques et des effets 2- Compensation : Chèques et LCN Partie V : Dossier