Gordon Shapiro

la capitalisation du cash-flow libre durable au coût du capital ; il table sur une hypothèse de continuité de l'exploitation à terme et tient compte d’une croissance à l’infini en phase avec la croissance attendue à long terme (méthode dite de Gordon Shapiro). Le taux d'actualisation s'appliquant pour la capitalisation des cash-flows libres correspond au coût moyen pondéré du capital (« WACC »73) combinant le coût des fonds propres et de la dette après impôts. Afin d’obtenir la valeur de marché des

comme dans le cadre du modèle de Gordon-Shapiro, que la part du revenu versé aux actionnaires croit à un taux constant , alors : (5) Avec : Dividende versé par initialement l’entreprise : Taux de croissance anticipé du dividende : Taux de rentabilité exigé par l’actionnaire En multipliant les deux membres de l’équation (5) par l’équation (5) du résultat, on obtient : ⁄ , puis on soustrait Si on a : Par conséquent : [ ] D’où : Cette formule dite de Gordon-Shapiro lie le prix (valeur fondamentale)

sa valeur d’équilibre concurrentiel. Plusieurs théories, courants s’inscrivent dans la théorie du salaire d’efficience, ils permettent de justifier l’influence du salaire réel sur la productivité individuelle. Le modèle développé en 1984 par Shapiro, Stiglitz : le modèle de tire-au-flanc. Ce modèle se fonde sur un mécanisme d’incitation à l’effort. L’employeur ne peut pas contrôler parfaitement l’effort déployer par ces salariés, il y a donc un problème d’asymétrie d’information : problème d’aléa

données. P0=(Div1/1+ke)+(P1/1+ke) 55,36=(2/1+0.12)+(60/1+0.12) 2°) Le modèle généralisé d’évaluation par les dividendes. P0= Dj/(1+ke)j+Pn/(1+ke)n Négligeable quand n est grand Donc : P0= Dj/(1+ke)j 3°) Le modèle de Gordon-Shapiro Ils vont prendre en compte le fait que les entreprises essayent de verser des dividendes croissants. Du coup on va pouvoir relier tous les dividendes par rapport au dividende initial : D0 D1=D0(1+g) . . Dn=D0(1+g)n D0=j=1∞Dj1+kj P0=j=1∞D01+gj1-kej=D1ke-g

Le cas des entreprises en phase de démarrage. 40 Section II – Le problème de l’évaluation du coût des fonds propres. 41 a – Concernant le coût des dettes. 41 b– Concernant le coût des fonds propres. 41 c - Le modèle de Gordon Shapiro. 42 d - Le modèle d’équilibre des actifs financiers (MEDAF). 42 Section III – Maximiser la valeur à court terme peut nuire au long terme. 43 CONCLUSION PARTIELLE 44 II – ADAPTATION PAR L’EXPERT-COMPTABLE DU CONCEPT DE CREATION

taux de croissance des bénéfices est constant. Formule de Gordon et Shapiro, de 1956. On aura alors le prix d’une action : P0 = ΣtDt/(1+R)t = ΣtDt(1+g)t-1/(1+R)t = Σt D1/1+R x (1+g/1+R)t-1 On doit avoir un taux de croissance des dividendes < taux de croissance des intérêts pour que cette suite converge, et qu’elle ait un sens économique. Il faut transformer, et on trouve finalement que P0 ( D1/R-g Cette formule de Gordon Shapiro n’est pas valable pour les entreprises en forte croissance

par des difficultés de coordination entre les agents et des externalités macroéconomiques. II) La rigidité des prix : 1) Définition : Un prix rigide est un prix qui ne varie pas à chaque variation de la demande et/ou des coûts de production. Gordon, 1990, estime aux USA sur deux périodes (1873 – 1914 et 1954 – 1987) l’équation : t = . t-1 + .gt + .ut + zt, avec t le taux d’inflation, gt la variation de la demande, ut le taux d’utilisation des capacités de production, I) Principales caractéristiques

" Dk" pendant les "n" années de détention et de la valeur de revente "Vn" à la fin de la période de détention. n VE= ! [Dk /(1 + t)k] + [ Vn /(1 + t)n ] k =1 Cette méthode dite de FISCHER a été suivie d'une modélisation connue sous la méthode GORDON-SHAPIRO, qui se base sur trois hypothèses: - le dividende a une croissance constante à l'infini: g - la valeur terminale de la méthode de FISCHER est estimée pour une détention à l'infini, - le taux d'actualisation est très sensiblement supérieur au taux

biais, elles distribuent aux actionnaires une part importante du résultat et ne réinvestissent que le reliquat, puisque le taux de rentabilité interne est normal. Cette analyse peut se retrouver en se plaçant sous les hypothèses du modèle de Gordon-Shapiro qui détermine le cours de l’action à partir de la formule suivante : Cours = BPA / k-r (1-d), où «d » désigne le taux de distribution des dividendes, « k », la rentabilité exigée par les actionnaires et « r », la rentabilité des fonds propres

requérir) pour une action telle que Z (dont le bêta égal à 1,5) est : µZ = 4% + 1,5*6% = 13% Or la rentabilité effectivement espérée sur le placement Z est de 9% (5% de plus value en capital due à la croissance + 4% de dividende ; cf. modèle de Gordon-Shapiro). L’achat d’actions Z doit donc être déconseillé. ◄ - Une autre utilisation consiste à calculer la moyenne historique des rentabilités théoriques et à la comparer à la moyenne des rentabilités effectivement observées sur la même période, afin