Gouvernance Et Performance Des Banques

un groupe financier franco-belge (banque et assurance) dont les principales activités sont réparties dans 4 métiers : le financement de l'équipement collectif (financement du secteur public), les services financiers de proximité (banque de détail), la gestion d'actifs financiers (gestion d'actifs financiers), la gestion de la trésorerie et des marchés de capitaux. Ces activités sont principalement réparties dans les trois pays suivants : la Belgique (Dexia Banque Belgique), la France (Dexia Crédit

Démocratie, État de droit et bonne gouvernance en Afrique : le cas de l’Algérie Par Kouider BOUTALEB Faculté des sciences économiques et de gestion Université Abou Bekr Belkaid Tlemcen (Algérie) kouiderboutaleb@hotmail.com Introduction L’Afrique est mal partie affirmait, il y a quelques décennies déjà, le grand agronome français R.Dumond. L’histoire a donné raison à ce grand militant disparu du développement en Afrique. En effet, aujourd’hui, les échecs sont largement consommés dans la quasi-totalité

sans faille. 3 Master Spécialisé - Economie et Stratégies des Institutions Financières -- Septembre 2012 -- Micro finance en Côte d’Ivoire : Etat des lieux et perspectives d’évolution ABBREVIATIONS  ET  ACRONYMES   BCEAO : Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest CFEC : Coopérative Financière de la Communauté Chrétienne CICA : Caisse Ivoirienne d’épargne et de Crédit Agricole COOPEC : Coopérative d’Epargne et de Crédit CNM : Commission Nationale pour la Micro

MASTER :Gouvernance des entreprises1 e r thème :Les scandales financiers et larenaissance de la notion degouvernance des entreprisesScandales Financiers 1PLANIntroductionPremière partie : Surgissement des scandalesfinanciersLes causes des scandales financiersLes acteurs contribuant au surgissement des scandalesfinanciersDeuxième partie : Le cadre réglementaireLa loi « SOX »La loi sur la sécurité financièreN R ELe code marocain de bonnes pratiques de gouvernanced’entrepriseTroisième partie

...............................................................................  7  Principes généraux de bonnes pratiques de gouvernance d’entreprise  ............  11  Glossaire  ...........................................................................................................................................  41  Charte du membre de l’organe de gouvernance  ..........................................................  48  Tableau des abréviations  ..................................

Retour au sommaire La gouvernance des ONG et des IMF formelles BIM n° 66 – 18 avril 2000 Julien ROUYAT Ce bulletin d’information est consacré aux différentes pratiques de gouvernance selon le statut des IMF : institutions financières formelles ou ONG. Il pose la question de la gouvernance dans le débat sur l’institutionnalisation des IMF. Trois ouvrages récents traitent de la question : Guidelines for the effective governance of microfinance institutions MicroFinance Network, 1999 Current governance

Banque Africaine de développement Tunisie: Défis Économiques et Sociaux Post - Révolution © 2012 La Banque africaine de développement (BAD) e présent rapport a été préparé par Natsuko Obayashi, économiste-pays principal, Département régional Nord 1 (ORNA), Banque africaine de développement (au moment de la rédaction du rapport) en collaboration avec Emanuele Santi, Econamiste pays principal sous la supervision de Jacob Kolster, Directeur Département régional Nord 1 (ORNA). L La

tâches suivantes: 1tenir la caisse -2 réceptionner les marchandises – 3 guider les clients à trouver les livres recherchés – 4 servir la clientèle – 5 suivre les ventes pour se réapprovisionner – 6 rédiger les bons de commandes – 7 verser l'argent à la banque en fin de journée – 8 répondre aux clients – 9 répondre au tél – 10 embaucher 1 vendeur supplémentaire. Ses tâches peuvent être réparties entre deux services: Administratif: 1-2-5-6-7-9-10 Commercial:3-4-8 2

entre financement par capital-investissement et performance de l’entreprise, dans la mesure où ce dernier pourrait résulter, aussi bien des apports du capital-investissement, que de la capacité de celui-ci à ne retenir que des entreprises prometteuses. Cette relation implique la mise en place d’un mécanisme consistant à rendre compatibles, les intérêts, pas nécessairement convergents, des multiples parties prenantes. Donc, d’un système de gouvernance. Cet état des choses nous amène à formuler

Bonnes Pratiques de Gouvernance d’Entreprise : quel apport pour les entreprises marocaines Préparé par : ➢ BOUCHIAD Youssef ➢ AGHEZAF Ayoub Sous l’encadrement de : • M. Abdelkader CHARBA Année Universitaire : 2009/2010 INTRODUCTION 3 I. Présentation du Code Marocain de Bonnes Pratiques de Gouvernance d’Entreprise. 3 1. Composition de la commission nationale 4 2. Principes généraux de bonnes pratiques de gouvernance d’entreprise 6