Gouvernance Pernod Ricard

M2 Gouvernance des Entreprises Familiales et Patrimoniales Cycle 2009-2010 EVALUATION DE L’ENTREPRISE FAMILIALE BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE • Caby J., Hirigoyen G. (sous la direction de), (2002), La gestion des entreprises familiales, Economica,Paris. • Thauvron A., (2007), Evaluation d’Entreprise, Economica, Paris. • Hughes Jr., (2004), Family Whealth, Keeping it in the family, Bloomberg Press, New-York. INTRODUCTION Le contexte d’évaluation de l’entreprise familiale : • transmission

d’intérêt, le recentrage des groupes, les excellentes performances des fonds de LBO réalisées jusqu’à présent et l’afflux de liquidités. D’autre part, il existe un autre facteur qui est sans doute la clé de la réussite des LBO, il s’agit de la gouvernance d’entreprise. En effet, contrairement à ce qui est sous entendu, le mécanisme du LBO permet de dégager de la rentabilité non pas, par des montages qui jouent sur le levier fiscal mais par la mise en place d’une nouvelle forme de gouvernement d’entreprise

ressources en capital. Or les marchés n’acceptent que les entreprises se soumettant à un certain nombre de règles : de transparence, de gestion, de visibilité de la politique et de la stratégie. Ils servent donc également d’aiguillon à la bonne gouvernance des entreprises. La seule création de valeur acceptable aux yeux du marché est donc la création de valeur pour les actionnaires. II. La création de valeur pour l’analyste financier Il s’agit du différentiel entre le retour sur capital investi

Ratings à dégrader les notes des compagnies aériennes American Airlines, Delta Airlines entre mars et juillet 2009. De la position de l’entreprise sur le marché : ses produits, si elle est spécialisée ou pas, PDM (part de marché). C’est le cas de Pernod Ricard, en dépit de son fort endettement, elle couvre une grande partie du marché (géographiquement). Par conséquent, la marque a un rating supérieur à celui de ses concurrents. De la politique comptable : on entend les principes de consolidations, les

de l’agence 1. L’obsession des business-models de nos clients 2. Intégrer – sous un seul compte d’exploitation toutes les expertises de communication 360° 3. Ne pas chercher à tout faire, mais tout savoir faire faire 4. Une gouvernance exemplaire, participative, pour stimuler l’innovation et la confiance 5. Des procès novateurs « pilote / co-pilote » alliant force de frappe et vitesse d’exécution D. Le pôle digital 1. Les rôles du digital - Déterminer précisément

| |2005 |En France, le parlement réunit en congrès adopte « la charte de l’environnement » adopté à la constitution. | |2007 |Organisation à Paris de la conférence pour une gouvernance écologique mondiale. | | | | II. Définition du luxe [pic] Le luxe

l’éclairage sur certains aspects particuliers tels que les modalités de rémunération et d’intéressement des dirigeants, et sur l’articulation entre les Conseils d’administration et les Assemblées Générales d’actionnaires. Cette problématique de la gouvernance d’entreprise a donné lieu à plusieurs rapports qui ont scandé sa très progressive mise en oeuvre, notamment, pour ce qui est de la France, avec les rapports Vienot I et II et le rapport Bouton pour les entreprises privées, et le rapport de la Serre

européen, on retrouve le groupe Danone en 4e position et Lactalis en 8e mais aussi Pernod Ricard en 12e place, Bigard SA en 17e place et SODIAAL en 19e place. Dans certains secteurs, les entreprises françaises se situent en toute première place. Dans le secteur laitier, Lactalis et Danone occupent respectivement la 2e et 3e place dans le classement mondial de ce secteur. De même, dans le secteur des spiritueux, Pernod Ricard est le 2e groupe mondial après le britannique Diageo plc. ministère de l’agriculture

de voir partir l'emploi dans des paradis fiscaux ou sociaux et de se trouver victime de "dumping" social. Une première solution est de stabiliser l’actionnariat (la France a longtemps été le pays des noyaux durs, mettant à mal les principes de gouvernance par des systèmes de participations croisées et d’échanges de postes aux conseils d’administration des grands groupes). Cette approche semble un peu surannée et ne correspond plus aux exigences de transparence des marchés financiers globaux. Les

comme l’ADAM. C’est en fait une émancipation des petits actionnaires et les Assemblées Générales s’échauffent de plus en plus. Il faut donc choyer les actionnaires. Cela entraîne des stratégies de fidélisation des actionnaires à une direction. Pernod-Ricard par exemple a mis en place un journal des actionnaires mais aussi un club des actionnaires. L’Assemblée Générale est donc un élément important de la vie de l’entreprise même s’il s’agit de grandes messes dans la plupart des cas. Le problème qui