Gradation

donc continuer à subir les effets du « frimas » et de la « neige », ce qui fait référence au thème de la froideur. De plus, Baudelaire décrit la femme comme dangereuse comme le froid peut également être dangereux. 2- Gradation : Dans la chute du poème, on peut observer une gradation entre « Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer? ». Baudelaire veut créer un effet d’amplification par rapport au « plaisirs plus aigus » que « la glace et le fer » (des matières très froide et dure) pour montrer

théâtre, elle est divisée en plusieurs scènes. 1) Une mise en scène terrifiante L’auteur va nous plonger dans l’univers d’horreur absolu avec un effet d’attente jouant sur la gradation. Vers 1 à 4 : le lecteur est saisi d'entrée par un effet d'attente. Vers 1 à 3 : c'est l'annonce du mal (la Peste). La gradation et l'anaphore créent un effet d'insistance. Vers 4 : la Peste est désignée en rejet. Vers 5 à 6 : la Peste est personnifiée. L'univers tragique est accentué par un champ

la majeure partie cette comédie, soit la quête de la noblesse, la naïveté ainsi que leur lien entre eux. En deuxième lieu, elle fera ressortir quelques manifestations stylistiques importantes comme le registre de vocabulaire, la métaphore et la gradation. Tout d’abord, les thèmes ressortant de ces deux scènes représentent à la perfection les Bourgeois du XVIIe siècle, comme Monsieur Jourdain. Le premier thème abordé est la quête de la noblesse. En effet, ce dernier a le réel désir d’accéder à

rappel est une punition du style conjuguer le verbe oublier au huit temps de l’indicatif. Seulement ils considèrent que pour le bon déroulement de la classe le seul moyen c’est de l’exclure. Du faite que les enseignants ne respectent pas forcément la gradation de motif d’exclusion, cette pratique de sanction est banalisée par le corps enseignant ainsi que les élèves, puisque les élèves comprennent que le système ne feraient t-ils pas exprès de se présenter en cours sans leur matériel pour se faire exclure

Scythie » accentués par le rythme et les sonorités soulignent la barbarie du personnage. b) Le sage (3 vers) qualifié par des termes laudatifs : « sage » « grec » = civilisé. « vieillard de Virgile » (références aux Géorgiques, IV, v.125 à 133) gradation dans l’emploi des comparaisons : « semblable au vieillard », « égalant les rois » « approchant des dieux » Plusieurs antithèses permettent de comprendre que LF prend parti pour le sage. c) le vers 7 « son bonheur consistait aux beautés d’un jardin

sablonneux, malaisé » + gradation => la montée demande un effort ; difficile. Vers 2 : -Citer le texte => La présence du soleil renforce la difficulté de la montée. Vers 3 : -présence de l'imparfait => Présente l'action dans son déroulement. - « 6 forts chevaux » => renforce la difficulté. Vers 4 : -Enumération et réification (chosification) : « Femmes, Moines, viellards, tout était descendu »=> renforce la difficulté. Vers 5 : -Gradation renforcée par l'utilisation

dangereuse par les autorités. A travers ce paragraphe, l'auteur annonce ce qui va suivre, c'est-à-dire les causes de l'interdiction. Le groupement de 3 verbes :"condamner, proscrire, anathématiser" mise à dénoncer le pouvoir arbitraire. Il s'agit d'une gradation. On essaye de persuader en touchant les sentiments. 2) Les paragraphes du décret Les paragraphes du décret énumèrent les causes : -1ere cause : l'interdiction. Présenté à l'indicatif. Ce qui est dit à Youssouf, implicitement il faut interpréter

montre la violence. La présence du champ lexical de la violence de la guerre insiste sur ce fait «  massacré, cris, tué, fureur, exécution, frappé, abattu… » Le texte insiste sur la violence et le massacre notamment avec les gradations L7 et 17. Le parallélisme L7 «  Les garçons égorgés, les jeunes filles brulés » nous montre qu’il n’y a pas de pitié. De plus on a une impression de violence exprimé par l’hyperbole L8. Enfin l’anaphore de « 

l’argumentation pour persuader Jean en lui demandant tout d’abord de la compréhension : « tu ne m’en veuilles pas de ce que j’ai fait » (l.440). Mme Roland évoque la souffrance qu’elle a ressenti : « oh ! Que j’ai pleuré » (l.467), notamment avec une gradation : « j’ai assez souffert…j’ai trop souffert, je ne peux plus, non, je ne peux plus » (l.443-444). Cela peut pousser Jean à accepter sa proposition afin de ne pas la faire souffrir davantage. Mme Roland utilise la théologie, elle sépare l'action de

la paix II) Critique des dirigeants a) Monde idéal gouverné par la raison b) Monde réel Figures de style : Premier paragraphe: L1: métaphore : “La guerre est un fruit de la dépravation de l'homme.” L2 -6: Accumulation, asyndète, gradation des qualités de la paix. L3 et L6 :Opposition : “ordre” / “désordre” L3-4 et L6-7: Anaphore : “elle”> substitut pronominal L4 et L6-7: Opposition : “laisse aux lois la force” / “les lois sont forcées de se taire” L5 et L6: Opposition