Gwynplaine

un délit. Télémaque, prisonnier en Égypte, raconte la défaite de Bocchoris, jeune roi qui vient de succéder à son père. Texte 3 Gwynplaine, après avoir été écarté de son rang et défiguré dans sa jeunesse, retrouve sa place dans l’aristocratie anglaise. 1 5 10 15 20 25 - La redoutable ascension qui, depuis tant d’heures déjà, variait ses éblouissements sur Gwynplaine, et qui l’avait emporté à Windsor1, le remporta à Londres. Les réalités visionnaires se succédèrent devant lui, sans solution de continuité

combat social du député Hugo contre la misère, l’abandon (social) des enfants (pour une plus grande justice sociale et humaine). Gavroche s’inscrit dans la lignée des êtres défigurés par une société très peu charitable, il prend place parmi les Gwynplaine (L’Homme qui rit) et autres Quasimodo (Notre-Dame de Paris). Son combat le rapproche des enfants de Mélancholia, de Claude Gueux ou encore d’un dernier jour d’un condamné. Echappé du tableau d’Eugène Delacroix (La liberté guidant le peuple, 1831

visage. Ou plutôt toute sa personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l'admiration de la foule qui l'acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L'homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure

comme est, toutes les routes de Belgique occidentale, une promenade en plaine avec un la horizon de velours vert à droite et à gauche. France Un joueur c'était et Belgique, 150 (1837, qui a joué l'un après l'autre tous ses atouts, Gwynplaine... Sa dernière carte venait de tomber sur ce fatal tapis vert du bowling-green désert L'Homme qui rit, II, Les rochers n'apparaissent plus que çà riches caparaçons de verdure brodée de fleurs, couvre tout : 1 . 423 m'assieds (II, ix

(rythmes, en particulier, accumulations) vise à mimer les réactions et non à exprimer la subjectivité du narrateur. – Description objective du personnage : point de vue parfois omniscient, le narrateur sait ce qui est caché derrière la face de Gwynplaine, il l’expose, sans manifester de subjectivité (« Ce rire qu’il n’avait point mis sur son front […] il ne pouvait l’en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage… », l. 6-17). Cette description débouche sur l’allégorie de la Comédie

(rythmes, en particulier, accumulations) vise à mimer les réactions et non à exprimer la subjectivité du narrateur. – Description objective du personnage : point de vue parfois omniscient, le narrateur sait ce qui est caché derrière la face de Gwynplaine, il l’expose, sans manifester de subjectivité (« Ce rire qu’il n’avait point mis sur son front […] il ne pouvait l’en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage… », l. 6-17). Cette description débouche sur l’allégorie de la Comédie

Hugo « a été obligé d'écrire » 21. La parole de Champmathieu, c'est encore le discours « Sur la misère » 22 tenu par Hugo, représentant du peuple devant les « coquins » consternés de « son parti » 23 (9 juillet 1849). Et c'est déjà celui de Gwynplaine devant la Chambre des Lords qui croit lui répondre par la dérision dans L'Homme qui rit. Ce langage du réel est incompris, gommé, par ceux qui détiennent une parcelle de pouvoir. Mais pour le lecteur, c'est l'émergence de la condition du peuple

du XVIIe siècle à nos jours personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l’admiration de la foule qui l’acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L’homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s’ouvrant jusqu’aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure

XVIIe siècle à nos jours personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l’admiration de la foule qui l’acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L’homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s’ouvrant jusqu’aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure

du XVIIe siècle à nos jours personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l’admiration de la foule qui l’acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L’homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s’ouvrant jusqu’aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure