Gwynplaine

caractéristiques chez Jean Valjean déguisé en mr. Madeleine dans les Misérables qui disparaîtra après avoir sauvé Marius pour ne pas troubler le bonheur de Cosette, ici on mesure toute la dimension humaine de Valjean. Ce trait est aussi présent chez Gwynplaine dans l'Homme qui rit, celui-ci, bravant la tempête de neige et tentant de sauver au péril de sa vie un bébé en ayant subi auparavant une torture physique (balafre sur tous le visage correspondant à un sourire). Un héros dois posséder un troisième

à des personnages historiques du XVIIe siècle comme Maître Porbus et Nicolas Poussin, le peintre des Bergers d’Arcadie, auxquels il a mêlé sa propre création, l’artiste mystique Frenhofer. Dans l’Homme qui rit, Hugo a placé les aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVII e siècle. Les auteurs doivent alors choisir des détails vestimentaires, des coutumes, des comportements datés mais cohérents.  Ce rattachement au réel s’opère surtout dans la psychologie. Il est important

comprend à travers sa description l’admiration ressenti par le narrateur à l’égard de cet homme, c’est une description objective. Victor Hugo toujours dans une description de visage, « convulsions », « rictus », nous décrit tout un personnage, Gwynplaine. Il en fait un monstre, « une tête de Méduse », et fait ressortir un sentiment de dégout et à la fois de pitié au lecteur. Cette description est ici expressive. II) 4) (Hugo, Gautier, Zola l’argent) De toutes ces façons la description

s'attache parce qu'il donne ; le coeur de l'homme se ... 3,5 (77) Babelio https://www.babelio.com › livres L'Homme qui rit - Victor Hugo Critiques (118), citations (450), extraits de L'Homme qui rit de Victor Hugo. Sourire en coin, façon Joker, Gwynplaine ne hante pas les rues de Goth... 4,2 (1 096) Autres questions posées Quel est le drame qui a marqué la vie de Victor Hugo ? Comment Victor Hugo décrit la misère ? Quel était le combat de Victor Hugo ? Pourquoi Victor Hugo à ecrit L'Homme qui rit

roman. Ce premier portrait de Quasimodo, cette figure monstrueuse et pourtant très humaine est révélatrice de la fascination de l’auteur romantique pour les êtres tourmentés et marginaux. La grimace du bossu se retrouvera dans le visage mutilé de Gwynplaine dans l’Homme qui rit.

effet, ce mouvement fait prévaloir l’écriture de romans qui dépeignent la vie de l’époque, que ce soit celle d’un bourgeois fortuné ou celle d’un ouvrier affamé. C’est le cas de L’homme qui rit de Victor HUGO. L’écrivain y raconte l’histoire de Gwynplaine, personnage extrêmement réaliste tant moralement que physiquement. La création de ce type de personnage répond à un double objectif : dénoncer quelque chose et  contribuer au réalisme désiré pour le roman. Elle peut aussi répondre au besoin de

accueil triomphal. Apres l’exil (1870-1885) : La vieillesse de Victor Hugo ne peut rien apporter a son art. Il reaborde les meme themes, avec plus de surete et d’elegance. \ [vi] Ce « monstre » en annnonce d’autres comme le future Quasimodo ou Gwynplaine, deux heros a l’apparence hideuse mais dont les ames sont nobles, sensibles, ivisibles aux yeux, car mures dans la laideur du corps, d’ou theme de Hugo : l’alliance du sublime et du grotesque [vii] Il jetait l’encre au hasard en écrasant la plume

réalité historique. Cela lui demandera plus de travail de recherches, d’études sur la société de l’époque qu’il souhaite décrire mais certains préfèrent opter pour cette solution. Ainsi, dans l’Homme qui rit, Victor Hugo a placé les aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVIIe siècle. Le romancier peut s’inspirer du réel pour les paysages, les lieux de son roman : par exemple, dans Pierre et Jean, de Guy de Maupassant, les descriptions des petites villes côtières de Normandie très à

Hugo, le vrai romantisme est dans cette prise en compte de cet aspect du monde que les autres rejettent : il est dans le personnage de Quasimodo, vrai monstre au cœur pur, dans celui du bossu Triboulet du « Roi s’amuse », surtout dans celui de Gwynplaine, celui que les hommes ont rendu monstrueux, dans « L’Homme qui rit ». Ce qui fait donc de la Cour des Miracles un lieu répugnant, ce n’est donc pas tant sa laideur que le fait qu’elle feint d’être laide, « hôpital menteur » (l.9) comme on l’a vu

magnétiques » .Le portrait est une « image imparfaite de ce personnage », comme « une toile de Rembrandt » aux « couleurs fantastiques ». Dans L’Homme qui rit, Hugo nous fait le portrait d’une personne totalement irréelle au destin hors norme, Gwynplaine. Il a subi une « mystérieuse opération » le dotant d’une « mystérieuse figure de joie ».Celui-ci ressemble plus à une transposition du réel, une sorte d’expérience ou a un « monstre de foire » « admirablement réussi » façonné par une « industrie