Gwynplaine

peu sotte. - L’épisode de la mort de Nana répond bien sûr à la scène de la loge : A sa fabrication fait écho sa décomposition : « Vénus se décomposait ». o La décomposition du visage de Nana n’est pas sans faire penser au visage de Gwynplaine dans l’Homme qui rit de Victor Hugo, avec son rire et son masque permanent. La maladie, cause naturelle a défait le visage de Nana et lui a posé un masque permanent. o Souvenir également de la marquise de Merteuil qui perd sa beauté à

ménager une ouverture. L’extrait de l’homme qui rit de Victor Hugo constitue un passage d’une grande violence ou se retrouve toute la fois du poète romantique en un avenir meilleur et aussi son désir de dénoncer des conditions de vies inacceptable. Gwynplaine n’est-il pas ici un peu le porte-parole de l’auteur des misérables ? On observe que ce textes est triplement argumentatif ; d’une part, l’orateur est impliquer dans ses propos, ensuite, l’orateur implique son publique. Enfin, il fait un constat

charge par exemple par Mgr Myriel dans les misérables) de la parole judiciaire (les plaidoiries et réquisitoires du procès de Quasimodo dans Notre-Dame de Paris ou de Champmathieu dans Les misérables), parole politique et militante comme celle de Gwynplaine dans L'homme qui rit ou des insurgés dans Les misérables) paroles plus intimes, formulées selon les modalités du monologue intérieur, comme la célèbre "tempête sous un crâne" de Jean Valjean. La "tempête sous un crâne" dans Les Misérables de Raymond

avions faim. 11. Cette maison datait du XVIII-e siècle, elle était très vieille. 12. L’homme ne criait, il ne faisait aucun geste menaçant, il ne pouvait être dangereux. 13.Il pouvait à peine se voir dans la glace, le jour était sombre. 29. On voyait Gwynplaine, on se tenait les côtes ; il parlait, on se roulait à terre (Hugo). 14. Le langage s’est formé naturellement ; sa première qualité se­ra toujours le naturel (France). 15. Il aurait fallu une corde, Jean Valjean n’en avait pas (Hugo). 16. Vous iriez

certains genres sont, sur ce plan ,strictement codifiés (dans le conte de fées, la sorcière est laide et le prince charmant), il faut se méfier de toute conclusion hâtive dans le cas du roman. Ainsi la laideur de Quasimodo dans N.D.d.P. ou celle de Gwynplaine dans L’Homme qui rit, loin d’être des indices de dévaluation sont, au contraire, des marques d’exception qui placent ces personnages au-delà de la condition commune. * L’habit : Le portrait vestimentaire renseigne non seulement sur l’origine

romans tels que Notre-Dame de Paris (1831) ou L’Homme qui rit (1869), dont les monstres-héros sont d’abord caractérisés par la disgrâce physique. Quasimodo, le sonneur de cloches est ce « borgne, bossu, cagneux [qui] n’était guère qu’un à peu près ». Gwynplaine, quant à lui – le Joker de Batman sera son descendant – a été enlevé et défiguré dès sa petite enfance par des comprachicos qui le vouent à s’exhiber pour gagner sa vie. Ces deux marginaux, condamnés à vivre à l’écart, sont de véritables figures

visage. Ou plutôt toute sa personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l'admiration de la foule qui l'acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L'homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure

1827 | | | |L’Homme qui rit, « le discours de Gwynplaine à la Chambre des Lords », 1869, | |Problématique : |6 – Acte III, scène 2, vers 1058 à 1467a : « Bon appétit ! Messieurs |

visage. Ou plutôt toute sa personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l'admiration de la foule qui l'acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L'homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure

visage. Ou plutôt toute sa personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace sublime », car une telle laideur ne peut laisser indifférent, elle provoque même l'admiration de la foule qui l'acclame. Autre personnage grotesque hugolien : Gwynplaine, le héros de L'homme qui rit. Celui-ci mérite ce surnom à cause de la mutilation infligée par « les comprachicos », qui veulent en faire un phénomène de foire avec « une bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles » qui fige à jamais le rire sur sa figure