Gwynplaine

de roman . Le document A est le portrait d'un vieillard a l'allure inhabituel extrait du roman le colonel Chabert de Balzac écrit en 1844, le document B, l’homme qui rit de Victor Hugo écrit en 1869 nous montre le portrait d'un jeune enfant nommé Gwynplaine qui a été enlevé par des voleurs qui l'on atrocement defiguré pour en faire un monstre de foire et le document C extrait de l’assommoir de Émile Zola écrit en 1877 Expose le portrait d'un homme surnommé Guele D'or . Ces trois extraits nous

pas ennuyer en incluant des termes qui permutent la réalité. Dans L’homme qui rit le personnage est déformé, mutilé et parait trop éloigné de la réalité. Les auteurs utilisent des comparaisons ou métaphores pour sublimer la réalité décrite: ainsi Gwynplaine est comparé à une figure mythologique "Qu'on se figure une tête de Méduse gaie" et Gueule d'or à un géant: "copiés sur ceux d'un géant, dans un musée". Balzac, lui, modifie la réalité par la « bizarrerie » du personnage. Son aspect « diabolique »

entourage?? 2)Les Lecteur apprécient les destins tragiques!Ils aiment qu'on leur décrivent la vérité!"Madame de Bovary" Flaubert! Destin tragique d'Emma qui elle était dans l'irréel et c'est le réel qui gagne.."L'Homme qui rit" Victor Hugo avec Gwynplaine condamné a faire rire toute sa vie contre sa volonté... 3)Les lecteurs qu'on nous informe sur des situations de l'époque, qu'on nous renseigne!"Germinal" de Zola avec Lantier les mineurs... qui sont banaux mais leur histoire nous décrit bien les

toute la classe = le rire rassemble au détriment de quelqu’un (doc4) Doc 3 : Ridicule : celui qui ne sait pas l’effet du rire, son intelligence devient ridicule (doc5) Doc4 : Victor Hugo, l’homme qui rit Les gens de la cour anglaise se moquent de gwynplaine. Hélàs son discours progressiste s’en trouve tourné en ridicule Doc5 : Bergson Le rire, 1900 Pour une il faut se détacher de l’émotion Le rire s’adresse à l’intelligence Le rire est celui du groupe (doc4 doc2) Doc 6 – Devos Il n’y a pas plus

Français Commentaire Tout d’abord je vais commenter l’extrait de L’Homme qui rit de Victor Hugo qui a écrit en 1869. L’extrait raconte les péripéties de Gwynplaine âgé d’une dizaine d’années qui se retrouve abandonné en plein hiver et qui découvre une femme morte de froid avec sa petite fille qu’il recueil pour essayer de la secourir. Pourquoi la situation est-elle extrêmement dangereuse et en quoi ce personnage et-il touchant et héroïque ? I. Une situation extrêmement dangereuse Cette

personnages à un objet voire quelque chose d'irréel ou de fantastique. Balzac, à la fin de la description du vieillard, va comparer celui ci à une toile du célèbre peintre Rembrandt. Victor Hugo lui, dans L'Homme qui rit, fait une métaphore pour désigner Gwynplaine comme Méduse, le célèbre personnage mythologique. Quant à Émile Zola, il décrit la « Gueule d'or » jusqu'à le penser comme le « Bon Dieu ». Enfin, Marcel Proust lui, va plutôt se contenter de comparer son personnage à un objet, « Il n'était plus

parti qu’on pouvait tirer d’une créature femelle taillée en Hercule… l’exploita féodalement. » (Honoré de Balzac, Eugénie Grandet). Un personnage repoussant peut aussi inspirer des émotions telles que la compassion au lecteur comme par exemple Gwynplaine, mutilé au visage par des voleurs, produit l’hilarité chez quiconque le regarde. Cependant, on peut imaginer la souffrance que cela cause à ce dernier et c’est cette souffrance qui pourra inciter le lecteur à compatir. « Deux yeux pareil à des jours

(1819-1877). Puis, ce rattachement au réel s’opère surtout dans la psychologie. Il est important que le lecteur puisse se reconnaître dans les personnages du récit, voire s’identifier à eux. Dans, l’Homme qui rit, Victor Hugo, a placé les aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVIIe siècle. Les auteurs doivent alors choisir des détails vestimentaires, des coutumes, des comportements datés mais cohérents. Le réel apporte ainsi sa consistance aux personnages du récit. Grâce à lui, le romancier

grands de ce monde, des bouffons, au peuple, des attractions de foires. Gwynplaine était un produit particulièrement réussi de cet "art" qui (lui) avait fendu la bouche, dénudé les gencives, distendu les oreilles, … désordonné les sourcils et les joues…". Ainsi son visage était devenu comme un masque vivant, animé d'un rire perpétuel : "bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles, oreilles se repliant sur les yeux, nez informe…". Gwynplaine se produisait sur les foires où l'apparition de son visage, habilement

monstre peut symboliser un monstrueux que nous ne percevons pas, dont nous n’avions pas l’idée. (Gwynplaine : le monstrueux de l’aristocratie). « Je représente l’humanité tel que ses maitres l’ont faites. L’homme est un mutilé. Ce qu’on m’a fait on l’a faut au genre humain, on lui a déformé le droit à la justice, la vérité, la raison, l’intelligence comme à moi les yeux, les narines, les oreilles » Gwynplaine, L’homme qui rit, Victor Hugo. Frankenstein dénonce les hommes de sciences et leurs expérimentations