Haine et Passion

bonheur se gagne grâce à de la passion. Une passion qui vous comble, qui vous transporte et vous apporte. Oui, car cette exaltation vous donne une fureur de vivre, une ardeur dans ce que vous faites. Elle vous rend grâce à cet élan, intéressant, captivant et charmant auprès d'autrui, révélant ainsi amour ou amitié. Les personnes froides, sans fantaisie et prises de haine ne sont pas considérées comme attirantes dans ce monde. Ces personnes-là sont dépourvues de passion. Alors, ayez ce bouillonnement

faire songer au jardin d'Eden. Il ressuscite dans l'imaginaire le jardin allégorique du Roman de la rose, roman courtois apprécié par Pétrarque. J perçoit dans ce jardin l'éventualité d'un piège : domaine des Capulet, il pourrait être inféodé à la haine. B - Une temporalité révélatrice : la nuit. Comme la nature, la nuit dispense une atmosphère de paix. Epanchement du songe, elle est propice à la rêverie intérieure, comme lorsque paraissent les créatures nervaliennes, aux lisières de l'irréel. L'obscurité

cèdent le pas chez lui à des préoccupations ontologiques et subjectives ; bref, le héros romantique est voué à une solitude existentielle. Il est révolté contre son sort et contre la société qu'il juge médiocre. Il vit tout avec passion comme si ses jours étaient comptés; la passion amoureuse le dévore, il lui sacrifie tout. En rébellion contre les règles communes auxquelles chacun doit se soumettre, il se situe parfois hors la loi. Son attitude de refus et le mépris de la société l'amènent souvent à vivre

vers 1225 - 1274 PREMIER AXE : UNE DOUBLE TORTURE La première torture est celle de la jalousie. La jalousie possède deux caractères forts dans cette scène : c’est un sentiment qui surpasse toutes les douleurs de la passion cachée. Racine identifie la passion à un « faible essai » (vers 1230) alors que cette expression au singulier concentre une multitude de pluriels qui servent à évoquer, au début de la tirade, l’amour et ses conséquences « craintes », «transports », « fureurs », « feux »

souvenirs représentent leur « trésor ». Paul finit par laisser tomber ses études. Quant à sa soeur, elle devient mannequin et fait la rencontre d’une jeune fille couturière prénommée Agathe. Partie II Trois années se sont écoulées. Les ressentis et les passions ont évolué avec le temps. Élisabeth épouse Michaël, sportif jeune et fortuné. Malheureusement, peu de temps après leur mariage, Michaël trouve la mort dans un accident de voiture. Gérard, Élisabeth et Paul sont à nouveau réunis. Ils recréent la « fameuse chambre »

irresponsables. -Ex1 : Elle blâme Mme de Valentinois qu'elle décrit comme volage « ni la fidélité » et impure « ni le mérite ». -Ex2 : De même que le roi qu'elle décrit comme déraisonné et influencé par une pers. irresponsable à cause de sa passion. chp amour « passion », « soins », et dans ce cas là il n'est « pas excusable »selon elle. Transition : Ce discours acerbe contre des personnes appartenant aux plus hautes sphères de la noblesse servira à Mme de Chartres pour révéler les travers de sa société

SANS HAÏR ?                                     A.Position du Problème:                  De prime abord, la question peut sembler étonnante . En effet, lorsque l’on aime, apriori on ne hait pas, puisque l’amour et la haine sont des sentiments opposés . Donc, soit on aime, soit on hait, mais on n’éprouve pas ces deux affects de manière simultanée . Pourtant, on sait également qu’il peut exister une ambivalence des sentiments . De fait, on peut aimer une personne et en

mes sœurs que ce livre a été écrit ; non plus que pour les femmes, les filles ou les sœurs de mon voisin. Je laisse cette fonction à ceux qui ont intérêt à confondre les bonnes actions avec le beau langage. Je sais que l’amant passionné du beau style s’expose à la haine des multitudes ; mais aucun respect humain, aucune fausse pudeur, aucune coalition, aucun suffrage universel ne me contraindront à parler le patois incomparable de ce siècle, ni à confondre l’encre avec la vertu. Des poètes illustres

Sujet de dissertation : « Conflit et passions » A l’origine de toute société politique, il y a le conflit. Mais qu’y a-t-il à l’origine du conflit ? Qu’est-ce qui pousse les hommes à se déchirer dans des conflits intérieurs, interpersonnels, dans des conflits sociaux ou internationaux ? Est-ce l’alliance raisonnable de la conscience et de la volonté qui amène les individus à formuler des revendications politiques et à s’engager contre des situations d’insécurité, d’injustice ou d’oppression 

son père (ananke : idée de nécessité, de fatalité et de destin ) Vit la passion sur le mode tragique de la souffrance, ne pouvant échapper à ses démons