Hannah Arendt

société parce qu'il dit « bien loin que ses 2 thermes s'oppose et ne puissent se développé qu'en sens inverse l'un de l'autre,ils s'impliquent l'individu en voulant la société se veut lui même» ainsi l'humain advient avec la composante social. Hannah arendt influencé par l'école allemande. notion: autorité,tradition,transmission. Dans son ouvrage « la crise de la culture» elle révèle une crise profonde. Se qui frappe le monde moderne c'est la crise de la tradition et de l'autorité et donc une difficulté

de réaliser pleinement sa liberté. Ainsi, ne faut-il pas, comme l’y invite certains auteurs, repenser la place du travail ? Ne peut-on pas faire la critique de cette valeur ? Ne doit-on pas au contraire revaloriser certaines autres activités ? Hannah Arendt dans « Condition de l’homme moderne », distingue trois activités humaines : le travail, l’œuvre et l’action. Si, comme nous l’avons vu plus haut, le travail rattache l’homme a l’animalité, l’œuvre et l’action sont des activités réellement humaines

d’homme, c’est-à-dire celle d’un être vivant doué de raison et destiné à vivre dans le cadre d’une cité où il exercàçait les talent propres à l'homme (le langage et le droit par la politique, la raison par la science, la créativité par l'art). Cf Hannah Arendt dans La condition de l’homme moderne: “Travailler, c’était l’asservissement à la nécessité, et cet asservissement était inhérent aux conditions de la vie humaine. Les hommes étant soumis aux nécessités de la vie ne pouvaient se libérer qu’en dominant

le travail avec le jeu ou le loisir autrement dit des activités désintéressées dont la motivation principale est le plaisir qu’elles nous procurent ; le travail est une activité en rapport avec la production de biens nécessaires à la vie. Selon Hannah Arendt, le travail serait l’activité humaine la plus proche de l’animalité, de la nécessité biologique, en vertu de sa finalité qui est de satisfaire nos besoins, elle serait également la plus éphémère dans ses réalisations. Le produit du travail est

fascisme. L'adjectif «totalitaire» apparut en Italie en 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola, opposant et victime du fascisme). Mais Mussolini fut le premier à parler d' 'Etat totalitaire' et à le revendiquer. La philosophe Hannah Arendt a apporté une définition du concept de totalitarisme dans son livre Les origines du totalitarisme (1951). Pour elle, le totalitarisme est avant tout un mouvement, une dynamique de destruction de la réalité et des structures sociales, plus qu’un

l’ordre établi, incarné par le Commandeur, fait le choix de la transgression ; - Heathcliff dans Les Hauts de Hurlevent d’Emily Brontë ; - etc.. b- à cette représentation traditionnelle s’oppose la représentation moderne, bouleversée à partir de Hannah Arendt et du concept de «banalité du mal», qu’elle a avancé à l’occasion du procès Pour une analyse critique de ce paradigme : (1), (2), Eichmann (3). Dès lors se fait jour l’idée qu’être malfaisant (faire le mal) n’implique pas d’être malveillant

travailler car on produit beaucoup. MARCUSE. Mais les hommes continuent de travailler à cause de la société de consommation. L’homme est unidimensionnel, c’est un consommateur, il a perdu cette capacité de critique à l’égard de son travail. Hannah ARENDT Pour elle, le travail est négatif. Il n’est que la réalisation des moyens de vivre. Elle oppose au travail deux autres notions qui sont l’œuvre et l’action politique.

Dans un épître qu’il adresse à des communautés romaines, celui que les chrétiens nommeront Saint Paul présente un argument en faveur d’une soumission complète à l’autorité. Puisqu' Adolf Eichmann se disait « Gottgläubiger » (voir H. Arendt, Eichmann à Jérusalem, p. 83), il ne pouvait avoir recours à cet argument pour justifier son obéissance aux ordres d’Adolf Hitler. 1) Expliquez l’argument de Saint Paul en faveur de la soumission à l’autorité; (2) expliquez pourquoi Eichmann ne pouvait

Chaque partie doit comporter trois paragraphes composés chacun d'une idée directrice d'un argument et d'un exemple. ("IDAREX" : IDée - ARgument - EXemple) 1) Idée directrice : être libre, c'est faire ce que l'on veut : Premier argument : Selon Hannah Arendt, la liberté sans garanties politiques n'est qu'un mot vide de sens. La première des libertés est la liberté de circulation ; celui qui ne peut pas se mouvoir librement n'est pas libre. Exemple : le prisonnier, l'opposant "assigné à résidence"

impose une contemplation à distance respectueuse de l'oeuvre, la seconde entraine une appropriation, consommation assimilatrice de l'art pour l'intégrer et la connaitre, être avec elle. A l’inverse, l’apparition de la culture de masse dont parle Hannah Arendt dans la Crise de la Culture entraine l’art de la même façon vers une connaissance approximative, ou une même un absence totale de connaissance. En voulant standardiser la culture, on en vient parfois à des absurdités. Par exemple, le film Exodus