Hans Jonas éthique De La Responsabilité

retour à la nature est le cynisme . Son principal représentant, Diogène de Sinope (v. 413-327 av. J.-C.), affirmait que les cultures, qui varient d’un lieu à l’autre, sont arbitraires et corruptrices. La seule véritable voie éthique est de se fier à la nature universelle et d’imiter les animaux. Ainsi, Diogène rejette tout modèle moral et tout conformisme et transgresse effrontément les normes sociales par des actes provocateurs : il mange avec ses mains, urine et aboie comme

Équité, neutralité, responsabilité. À propos des principes de la médiation Fathi Ben Mrad1 Université de Metz / ERASE et Université de Luxembourg Le cadre des négociations mises en œuvre par les médiateurs renvoie à un ensemble de prescriptions plus ou moins impératives auxquelles ces derniers doivent se conformer. Exprimés dans des codes déontologiques, les principes d’équité, de neutralité et de responsabilisation constituent les fondements des référentiels de ce mode de régulation des conflits

partir de tous pour s’appliquer à tous 2-Liberté naturelle-Liberté civile Hans JONAS : Pour une éthique du futur 3-Le fondement ontologique du devoir/de la responsabilité On appellera fondement ontologique (comme l'obligation de manger dans notre exemple) le recours à une qualité qui appartient indissociablement à l'Être de la chose L'homme est le seul être connu de nous qui puisse avoir une responsabilité. En pouvant l'avoir, il l'a. Repose sur la faculté ontologique de l'homme à

dangereuse de la technique avec Heidegger dans son œuvre Essais et Conférences, « La Question de la Technique ». Certains penseurs contemporains (comme Hans Jonas), vont jusqu'à penser l'humanité ne survivra que si la peur l'emporte, d'où l'idée d'une « dictature bienveillante », susceptible d'imposer une nouvelle éthique et une véritable politique de responsabilité. La technique, après avoir longtemps et incontestablement contribué à la survie de l'humanité, est, semble-t-il, en train de devenir l'une de

théorique 1. Définition de la rse et développement durable 2. Dimensions de la rse 3. Origines du concept 4. Ethique et RSE 5. RSE : OBSTACLES AU Maroc III. Partie pratique Etude de cas : menara holding IV. CONCLUSION V. BIBLIOGRAPHIE I. Introduction : Au Maroc, le débat sur l’importance de la mise en place d’une démarche de responsabilité sociale des entreprises est aujourd’hui omniprésent, aussi bien dans les discours du milieu des affaires que

Il est également intéressant de constater que selon Hans Jonas, la technique représente désormais un danger plus grand que la nature sauvage. Cette situation nouvelle s’expliquerait par l’aide de deux facteurs : L’augmentation de la population mondiale qui fait que nos besoin excédent les ressources naturelles

territoire semble garantir des ressources naturelles illimitées, ce qui encouragera une exploitation prédatrice intensive. En cela, le développement humain ne peut-il se réaliser qu’au détriment de son environnement ? La suspension de dimension éthique au profit d’une approche utilitariste dans notre manière de penser la nature affiche toutefois des limites. C’est ce que nous démontre Phillipe Descola dans son ouvrage Par-delà nature et culture dans lequel il met en exergue les problématiques

naturelles et industrielles), le développement durable est une réponse de tous les acteurs (États, acteurs économiques, société civile), culturels et sociaux du développement. Il s’agit aussi, en s’appuyant sur de nouvelles valeurs universelles (responsabilité, participation écologique et partageN 2, principe de précaution, débat4 …) d’affirmer une approche double : dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre, mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations

naturelles et industrielles), le développement durable est une réponse de tous les acteurs (États, acteurs économiques, société civile), culturels et sociaux du développement. Il s’agit aussi, en s’appuyant sur de nouvelles valeurs universelles (responsabilité, participation écologique et partageN 4, principe de précaution, débat4 …) d’affirmer une approche double : • dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre, mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations

entre les individus. Mais alors comment profiter des avantages de la technique sans pour autant détruire la nature ? Est-il possible de faire une utilisation de la technique respectueuse de l’environnement ? Et n’est ce pas se décharger de notre responsabilité d’humain de soutenir la thèse selon laquelle c’est la technique qui est responsable de la dégradation de la nature ? Dans cette dernière partie, nous nous attacherons de démontrer que seule une utilisation raisonnée et responsable