Hans Jonas éthique De La Responsabilité

éléments qui nous entourent. Des penseurs tels que Hans Jonas ont pris peur en constatant qu’on ne peut pas freiner la technique et qu’on ignore quelles menaces elle fait peser sur l’humanité, sur l’environnement. Il recommande alors une éthique fondée sur la peur, qui permettrait d’anticiper la menace et d’y faire face plus efficacement et l’établissement d’« une dictature bienveillante » qui appliquerait fermement une politique de responsabilité. Une réflexion de tous de plus en plus vigilante au

les affaires (la markétique) Chapitre 4 : L’Etique et la science (Bioéthique) Chapitre 6 : Problème Ethique des sociétés pluriculturelles Chapitre 7 : L’Ethique des médias (la média Ethique) Introduction : le retour de l’éthique Bibliographie : RUSS la pensée éthique contemporaine I/ Précision terminologique sur l’Ethique 1. Signification élémentaire de l’éthique Le mot Ethique apparaît en Grèce il y a 2500ans. Il vient de « Ethos » qui signifie « coutumes mœurs ; plus générale

Saint-Quentin-en-Yvelines TRAVAUX DIRIGES Séances n°1 à 5 Année universitaire 2011-2012 SEANCE n°1  Introduction à la responsabilité civile Thèmes abordés au cours de la séance - Les sources du droit de la responsabilité - Les fondements du droit de la responsabilité - L’évolution du droit de la responsabilité civile I. Bibliographie Prendre systématiquement la dernière édition en l’absence de précisions. - Code civil, Dalloz ou Litec -

dans l'"anthropocène" - l'ère où les activités humaines constituent une puissante et dangereuse force géologique et climatique - voient en lui un allié. Quant aux écologistes politiques, ils l'associent au philosophe allemand Hans Jonas, qui, dans Le Principe responsabilité (1979), a mis en garde l'humanité contre "l'irréversibilité" et "l'interdépendance" des atteintes faites à l'environnement. Les opposants à Diamond ne manquent pas. Des historiens lui reprochent son catastrophisme, d'autres

ETHIQUE : L’éthique (du grec ηθική [επιστήμη], « la science morale », de ήθος, « lieu de vie ; habitude, mœurs ; caractère » et du latin ethicus, la morale[1]) est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Elle se donne pour but d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Il existe différentes formes d’éthique qui se distinguent par leur degré de généralité (l’éthique

skholé. C) LE PROGRES TECHNIQUE DERECHEF A quelles conditions donc le progrès technique, au lieu de nous inquiéter, peut-il nous redonner confiance en l'avenir ? A la condition qu'il s'accompagne d'une réflexion sur ses finalités (une éthique) et sur ses conditions d'utilisation (une politique). CONCLUSION GENERALE Le travail est-il une activité servile ou un moyen d'émancipation ? A quelles conditions le travail peut-il véritablement nous humaniser ou rester humain ? L'homme

dans le dictionnaire d’éthique et de philosophie moral. Puf ) Science/technique. Science /action. Art et technique. Conception des Anciens et conception issue des Modernes. Problèmes : Faut-il avoir peur de la technique ? C’est le problème éthique et politique et même anthropologique. La question est de savoir si la peur à l’égard de la technique est fondée ou non. La peur de la technique peut sembler fondée dans là mesure où elle aurait des raisons au lieu de n’être qu’une simple phobie. D’un

« prométhéenne », positiviste ou marxiste, du progrès technique, comme de ce dont l’humanité devrait attendre son salut, à l’exclusion de toutes les conceptions religieuses, c’est-à-dire censément phantasmatiques, de ce dernier. C’est le problème éthique et politique et même anthropologique. La question est de savoir si la peur à l’égard de la technique est fondée ou non. La peur de la technique peut sembler fondée dans là mesure où elle aurait des raisons au lieu de n’être qu’une simple phobie, ou

verrons le point de vue épistémologique de l’expérimentation humaine, quel est réellement l’objet de l’expérimentation humaine ? Mais ce point de vue peut-il nous amener à poser des limites ? Nous verrons alors dans un dernier temps le point de vue éthique de l’expérimentation humaine, ne faut-il pas mettre des barrières à la science & qui pourrait les poser ? Peut-on concevoir des limites à l’expérimentation humaine ? Cette interrogation à propos de l’expérimentation humaine nous pousse à nous

Pour moi, la Terre doit servir l'humanité. Si l'humanité disparaît, le sort de la Terre n'a plus aucune importance pour personne »7. Dans le meilleur des cas, cette position, sans doute aujourd'hui la plus répandue, se borne à souligner les « responsabilités de l'homme » au regard d'une nature avant tout conçue comme un capital à ne pas gaspiller inconsidérément8. Cette attitude réformiste, qui oppose fréquemment l'écologie (comme science) à l'écologisme (comme démarche politique), est poussée