Hegel Descartes Cogito

d’un contexte culturel, ce qui fait de la conscience de soi une réalité empirique changeante et multiple. L’unité et la permanence du moi ne sont donc pas garanties par l’unité, peut-être seulement nominale, de la conscience. Le cogito (je pense donc je suis) de Descartes par exemple qui remet tout en cause, qui doute en se mettant seul dans une salle et en réfléchissant tend à exprimer l'état de conscience de celui qui s'exprime. Autrement dit le sujet, disant "Je" exprime une conscience de lui-même

le mythe de Prométhée : la nudité humaine nous force à travailler pour survivre). Sartre : Nous sommes condamnés à être libre et tout homme qui se cache derrière un déterminisme fait preuve de mauvaise foi (Sartre est un philosophe existentialiste) Hegel : (dans la phénoménologie de l'esprit, présente la dialectique du maître et de l'esclave.  L'esclave par son travail s'émancipe et devient maître. Le maître ne connaissant pas la technique est dépendant de l'esclave. Ainsi, l'esclave devient le maître

conscience individuel => égalité de droit. B) Une conscience libre par et avec les autres consciences Hegel (1771-1831), grand philosophe allemand du XIXe siècle (progrès), pense que la conscience de soi se construit avec les autres. L’homme engage une lutte pour se faire reconnaître. « L’homme est un loup pour l’homme » (Léviathan) : les hommes ne sont pas porté naturellement à se respecter. Hegel lutte pour prouver aux autres qu’on est autonomes. Il écrit Phénoménologie de l’esprit et définit

inconscient psychique qui peut nous déterminer à notre issue. Freud limite les pouvoirs de la conscience : à l’opposé des théories, certains philosophes valorisent à l’extrême la conscience. Ce sont d’abord les philosophes rationalistes tels Platon, Descartes, Kant, Alain… on pourrait résumer la pensée d’Alain, en disant « vouloir, c’est pouvoir ». L’existentialisme fait de la conscience, l’élément fondamental de l’existence. L’être humain est le seul être chez qui l’existence précède l’essence. En effet

conscience. C’est donc un privilège bien fragile,  peut-être  usurpé ( certains animaux ont cette conscience de soi) et lourd à assumer ( la conscience entraîne la responsabilité devant soi et les autres). I. de la certitude d’être  A. Descartes et le Cogito ergo sum ( “je pense donc je suis”). On y retrouve  donc la différence entre le domaine des moeurs ( action, la morale provisoire parce qu’il faut agir et que l’irrésolution entraîne ou l’inéfficacité ou l’apathie) et celui du jugement, le

pense avant de commencer un ouvrage, c’est par quoi il faut commencer » Pascal, Pensées. 2. « Il y a » Apollinaire, Calligrammes. 3. « La pensée est essentiellement à l’écoute de l’être » Martin Heidegger, Lettre sur l’humanisme. 4. « Cogito ergo sum » Descartes, Discours sur la méthode. 5. « Ça pense donc ça est » Volonté de puissance, Nietzsche. 6. « Dieu est la pensée qui éternellement et sans fatigue se pense elle-même » Aristote. 7. « Il est tout à fait du philosophe, ce sentiment : s’étonner

ou de composition avec l’expérience. La conscience est perception sensible, mémoire, connaissance évidente, cogito indubitable comme conscience de soi mais la perception est susceptible d’erreur, la mémoire d’illusion, le Malin Génie peut avoir suggéré des idées claires et distinctes : c’est toujours la conscience comme conscience de soi qui en juge, au bout de la pratique du doute (Descartes). • le criticisme kantien ou subjectivité et objectivité : la conscience est sensibilité

certitude objective de sa vérité. Nous verrons donc dans un premier temps pourquoi faut-il croire, dans un second temps pourquoi quand on croit on a pas de doute et dans un troisième temps nous verrons quelles sont les limites du doute établie par Descartes. Soit l’on admet cet accord sur une expérience personnelle ou reproduit les faits et gestes des autres c'est parce que l'on croit que les autres y croient donc qu'on puisse leur faire confiance (professeurs) soit enfin parce que l’on a suffisamment

Sujet : Le langage dénature t-il la pensée ? « L’homme seul possède le langage car il possède la raison » (Descartes). Le langage est le propre de l’homme, c’est ce qui le diffère de l’animal (il n’a pas la raison mais possède la passion). Seul l’homme est capable de répondre à son interlocuteur. Mais le langage est un moyen de communication, un élément culturel car l’homme l’a ajouté à sa nature. La pensée, au sens large, est l’activité psychique consciente dans son ensemble, les processus

 1° Introduire le problème du cogito ressaisi par Sartre Le problème posé est celui de la découverte de l’être conscient, du soi , mais la présence d’autrui en est la condition. La question est orientée vers la reconnaissance : Quelle est la condition de la conscience comme savoir de soi ? C’est l’autre. Mais Sartre déduit de cette condition une conséquence plus radicale : la relation est constitutive de la liberté et c’est à l’homme de décider de sa propre nature et du sens du monde. [L’autre