Hezbollah

onusiennes de lutte contre les stupéfiants agir sur son territoire, elle n'en entretient pas moins des relations suivies avec les cartels en place. De la même manière, l'Iran a longtemps financé des réseaux terroristes internationaux tels que le Hezbollah, afin de maintenir sa puissance dans la région. Du fait que certains Etats, dont la légitimité peut ici être contestée, souhaitent agir de façon indépendante sur la scène internationale, la coopération internationale et la lutte contre les fléaux

(GSPC) 47. Le rapport 2010 de l’Unifab évoque aussi des cas de saisies de contrefaçons associées à la découverte de CD contenant des courts métrages d’attentats terroristes et des entretiens avec des kamikazes utilisés comme propagande par le Hezbollah. Les effets positifs de la contrefaçon Le phénomène de la contrefaçon combine des données économiques et sociétales. Économiquement, c’est une activité qui réalise des marges importantes. Les productions matérielles utilisent des matières

meilleur gouverneur de Banque centrale au monde par le magazine Euromoney, rappelle que le Liban a dû faire face à d'autres crises, tout aussi graves, comme la série d'assassinats politiques depuis 2005, une guerre destructrice en 2006 entre le Hezbollah et Israël et une crise politique qui a paralysé les institutions étatiques pendant un an et demi. Selon la BDL et le Fond monétaire international (FMI), la croissance économique libanaise atteindra 6% en 2008, contre 4% en 2007. Mais malgré ce climat

organisés en sous-main par les services secrets iraniens. Le drame du Drakkar Le 23 octobre 1983, survient le drame du Drakkar, à Beyrouth : 58 parachutistes français (et 241 soldats américains) trouvent la mort dans des attentats terroristes du Hezbollah libanais et de ses alliés iraniens. Non sans panache, le président français se rend sur place dès le lendemain et réagit par des frappes aériennes, le 17 novembre 1983, sur les bases terroristes de la plaine de la Bekaa. Le choc des réalités (1983-1986)

officiellement considéré comme une réaction à plusieurs attaques du Hezbollah. Elle a été critiquée par de nombreux Etats mais ils ont essentiellement eu trait au caractère disproportionné de la réaction d'Israël. Il est mal aisé d'apporter une réponse catégorique à cette question tant les caractéristiques sont spécifiques du fait des liens particuliers entre le Hezbollah et le Liban qui fait qu'au final il est possible d'attribuer les actes de Hezbollah au Liban et de pouvoir qualifier les attaques d'agression

rien de matériel. Quand on pense à religion, on pense Islam. Encore velléitaire il y a cinquante ans en Egypte et au Maroc, expérimentale dans des conditions favorables en Libye, il y a quelques décennies, aujourd'hui appliquée en projet-pilote par Hezbollah au sud Liban, peut-être la solidarité de l'Islam peut-elle devenir à terme un vecteur de développement. Peut-être. Sera-t-elle vraiment opérationnelle demain, en Iran, au Pakistan puis en Afrique subsaharienne ? La question n'est pas de savoir si

ont été définis. Terrorisme politique: Comme son nom l'indique, les objectifs de ce type de terrorisme sont de natures exclusivement politique. C'est le cas pour plusieurs organisations palestiniennes dites du Front du Refus (Groupe Abou Nidal, Hezbollah etc.) qui pratique le terrorisme "sponsorisé", car ses organisations étaient liées à des Etats du monde arabe (Syrie, Libye, Irak...etc.) qui se situaient dans la zone d'influence socialiste. Dans le contexte de la guerre froide et des conflits régionaux

Colombie et dans de nombreuses grandes villes du monde le 4 mars 2008 très hostiles aux FARC et exprimant un ras-le-bol général des nombreux crimes commis par la guérilla. Ils sont reconnus pour un groupe terroriste au même titre qu’Al Qaeda, ou le Hezbollah. Mais qu’en est-il des autres guérillas (ELN, etc) et groupes paramilitaires exerçants les mêmes activités que les FARC ? Prises d’otages, trafic de drogue. Le combat contre les FARC ne serait qu’idéologique ou bien les intérêts économiques

5 janvier 1996, en période de calme, il donne le feu vert à l’exécution de l’« ingénieur » du Hamas, Yehia Ayache. Le mouvement islamiste riposte par une vague d’attentats terroristes en Israël. Tel-Aviv répond par le blocus des Territoires. Le Hezbollah libanais envoie, par solida- rité, des roquettes sur l’État hébreu. Lequel déclenche l’opération des « Raisins de la colère » et commet une « bavure » meurtrière à Canaa. Le résultat, c’est que la droite et l’extrême droite remportent, avec Benyamin

Américains et leurs alliés » (p. 536) qui en est issue met enfin en branle la machine des services de renseignement américains. Jusqu’alors, la CIA s’était focalisée uniquement sur les menaces localisées à l’instar des réseaux iraniens symbolisés par le Hezbollah ou encore de l’Irak de Saddam Hussein. Selon Notin, Washington a clairement manqué le tournant du terrorisme induit par le fondamentalisme islamique dans le milieu des années 1990 comparé à Paris qui poursuit son travail à petite échelle. Robert