Hobbes Leviathan Il Peut Sembler

inconciliables, autre formulation possible de votre sujet. Posons-nous aussi la question : libres de quoi ? D’agir, de penser…ou libres dans l’absolu ? L’Etat, autre notion clé, est une grosse machine, un monstre même si l’on en croit Hobbes et son Léviathan. Mais c’est aussi chacun de nous en démocratie, celui qui vote, le citoyen. Un ensemble de règles, de lois, d’hommes et de femmes qui dirige mais aussi qui protège. Une force contraignante, qui certes, apparemment, limite notre liberté mais

la violence ; et dans sa nature, l’Homme présente des tendances innés qui le poussent à l’être. Effectivement, Thomas Hobbes dans Léviathan, en 1651, établie que par le fait que les hommes partagent des buts communs, chacun tente alors de dominer l’autre « [raisonnablement] (…) [en se rendant] maître, par la force ou par la ruse ». Dans la philosophie Hobbesienne la violence semble en effet naturelle pour l’Homme, et les causes des querelles entre eux résulteraient de tendances innés : La rivalité

lois ?2 B. La loi peut-elle énoncer ce qui est juste ?2 2. Quatre termes à bien cerner : droit, juste, loi, égalité2 A. Qu'est-ce que le droit ? 2 B. Qu'est-ce que le juste ? 2 C. Qu'est-ce qu'une loi ?3 D. Qu'est-ce que l'égalité ?4 E. Synthèse à recopier dans vos notes4 Etape 2. Pourquoi les hommes ont-ils des lois ? 5 1. Présentation5 A. Une distinction utilisée au XVIIème et au XVIIIème siècle5 B. Une introduction5 2. La paix comme explication des lois (Hobbes)5 A. Consignes pour

Les caractères de la règle de droit Caractère obligatoire Nul ne peut déroger à la règle de droit dès lors qu'il entre dans son champ d'application. La règle de droit peut imposer une obligation de moyens (médecin), une obligation de résultat (payer ses impôts) ou laisser une certaine liberté d'action (contrats). En matière de contrats, certaines règles sont impératives : toute clause contraire est nulle (article L. 111-2 du code des Assurances). D'autres règles sont supplétives : les clauses

l'Inquisition et à un climat d'intolérance envers les convertis, un certain nombre d'entre eux se sont exilés et une fois loin de la Péninsule ibérique, sont revenus au judaïsme lorsque cela était possible, comme aux Provinces-Unies au xviie siècle. On peut noter que le grand-père de Baruch, Abraham de Espinosa, est venu à Nantes (sa présence est attestée en 1593), mais il n'y est pas resté, sans doute parce que le judaïsme y est officiellement interdit et qu'il règne là aussi une certaine hostilité aux

institution ne semble alors en mesure de garantir leur droits élémentaires. C’est l’enfer de ces sans-Etat, ces « non-citoyens », comme nous l’illustre l’exemple de Mehran Karimi Nasseri, ce réfugié iranien qui a été contraint de passer 18 ans de sa vie dans un terminal d’aéroport (Roissy, en l’occurrence). Définissons maintenant la notion d’Etat. Il ne faut pas le confondre, comme cela est souvent le cas, avec ses incarnations individuelles (les hommes et femmes politiques). Thomas Hobbes, dans le

La liberté est-elle menacée par l’égalité ? Une proposition de correction par Caroline Sarroul, professeur de philosophie. PROBLEME : la liberté concernée par ce sujet semble être la liberté extérieure et politique, car l’égalité présuppose une vie avec les hommes. Le rapport entre la liberté et l’égalité est problématique car d’un côté, c’est à cause de l’égalité devant la loi que nous sommes soumis à ces lois et par là limités dans notre liberté mais d’un autre côté si l’égalité n’est pas instaurée

affaires publiques et de leurs conduites, donc l’art de gouverner un Etat. La politique se distingue de la morale, car elle correspond à une nécessité sociale, celle de la vie en société. Elle peut répondre à deux nécessités : - Subvenir à ses besoins : c’est une nécessité d’ordre économique ; car l’autarcie semble impossible étant donné la rareté des ressources : pour Platon, la division de travail est à l’origine de toute société. - Se protéger contre les ennemis et les agresseurs : c’est une conséquence

Introduction : Définition du désir : mouvement qu’on porte à quelque chose qui nous attire. Indissociable du sentiment de manque de cette chose. A distinguer du besoin, le besoin est naturel, c’est un manque déterminable que l’on peut rassasier, quand le désir est artificiel et insatiable. Paradigme de cela : aime-t-on qlq’un ou le sentiment amoureux ? Quand on aime une personne : est-ce cette personne que l’on aime ou aime-t-on l’amour ? (cf. le manuel). Il ne s’agit pas d’énumérer les

passions la « vile multitude » comme pensait Adolphe Thiers ou empêcher la « tyrannie de la majorité » pour John Stuart Mill. Dans quelle mesure le peuple peut-il, dans le sens de sa capacité mais aussi de sa légitimité, brider ses instincts naturels au profit de la gouvernance d’un Etat ? S’il est vrai, dans un premier temps, que le peuple semble en mesure d’exercer pleinement sa souveraineté de façon contractuelle ; une approche plus approfondie révèle, dans un deuxième temps, que les exigences