Homme Supérieur Nietzsche

gardien d'une morale en péril. La dite conviction, concède Léo Strauss, n'est pas sans noblesse ni raison. Elle fut jadis celle de Glaucon, qui, dans la République, stigmatise la cité des pourceaux. Elle fut plus tard celle de Rousseau, puis celle de Nietzsche. Plus tard encore, celle des opposants à la furia urbaine et au Kulturbolschewismus de la République de Weimar. Mais, même si la dite conviction n'est pas d'essence nihiliste, et même si elle peut apparaître, dans une certaine mesure, comme non dénuée

La religion pose la question du sacré de l'affirmation d'une transcendance mais également des rituels et des institutions. La religion posera la question de la croyance et de la foie par opposition a la certitude. Enfin nous verrons avec Freud et Nietzsche les critiques qui ont été posé sur la question de la religion. Agnostique= ne sait pas Athée= ne crois pas Déiste= il affirle en dehors de tte affirmation religieuse l'existence d'un etre supreme dont la nature et les propriétés sont inconues

question : qu'en est-il de la vérité ? Hors de ou dans la philosophie. Personne ne peut être indifférent à la question de la vérité. Chaque homme a besoin de croire à quelque chose auquel il donne du sens comme un idéal, "une vérité pour lui" qui se distingue parmi beaucoup d'autres, mais aussi il demande la sincérité relationnelle à ses proches. Chaque homme doit un jour se prononcer sur "ce qui fait vérité" à ses yeux. C'est à ce prix qu'il assure à sa vie une dignité, et en même temps assure une

Méditations métaphysiques.               La première forme de dualisme de la matière et de l’esprit (la précision est nécessaire car d’autres types de dualismes sont possibles) peut être attribuée à Platon. Celui-ci oppose en effet le monde (supérieur) des Idées intelligibles, des archétypes, et le monde des apparences, des ombres (la caverne), monde des choses sensibles qui sont des copies imparfaites des Idées. Du point de vue « anthropologique », Platon distingue le corps qui attache irrémédiablement

libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaines; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.» Gandhi «La vie est un mystère qu’il faut vivre, et non un problème à résoudre.» «La non-violence est infiniment supérieur à la violence, le pardon est plus viril que le châtiment. Le pardon est la parure du soldat.» Confucius «Le silence est un ami qui ne trahit jamais.» «Agis avec gentillesse, mais n’attends pas de la reconnaissance.» «La nature fait les hommes

patriotisme, pour illustrer notre propos, est une des valeurs les plus importantes pour la plupart des sociétés humaines. C'est une valeur de rassemblement, de fierté, d'identification qui est, en général, très chère à chacun, puisque inculquée à tout homme depuis l'enfance. Le patriotisme est donc aujourd'hui une valeur que l'on peut considérer comme très haute, très importante pour l'individu. De ce point de vue, le patriotisme peut faire figure de valeur absolue. Pour autant, si l'on confronte le patriotisme

penser qu'on ne puisse pas tirer quelque chose de positif d'un mal. Comme le dit Nietzsche: "L'homme, le plus vaillant, le plus apte à la souffrance de tous les animaux, ne rejette pas la souffrance en soi : il la cherche même pourvu qu'on lui montre la raison d'être, le pourquoi de cette souffrance" (Généalogie de la Morale ). Et ce que dit Nietzsche de la souffrance, ne peut-on pas le dire du malheur et du mal ? Nietzsche suggère en réalité que la volonté de donner à tout prix un sens à l'existence

rien qui se situe derrière, rien qui puisse le surpasser. Il y a donc une contradiction ici : le faux est à la fois réalisable par la vérité, par donc un quelque chose qui lui est externe, et qui, puisqu’il permet le soulignement du faux, lui est supérieur, plus grand, mais il n’existe également rien qui surpasse le faux, il constitue la dernière limite de notre conception du monde, de ce que l’on perçoit ou comprend en tout cas. On se demandera donc si le faux se réalise-t-il par différence avec la

réincarnation et atteindre l’état de repos absolu. Mais vivre selon une pareille contrainte religieuse signifie de renoncer à notre liberté d’action . Donc être sérieux seulement parce que la morale impose cela, est mauvais . C’est notamment ce que Nietzsche critique dans la Généalogie de la morale. Selon lui la morale est une menace pour la vie, un idéal ascétique opposé au mouvement vital. Il dénonce notamment le fait que la morale nous impose toujours de faire ceci ou cela, elle ne nous laisse pas

l'écraserait, l'homme serait encore plus grand que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui; l'univers n'en sait rien ", déclarait Pascal dans une célèbre Pensée. Ce faisant il soulignait le privilège qu'a tout homme d'être conscient de ce qu'il est. Un tel privilège est-il pour autant acquis avec la condition humaine: l'expérience ne m'apprend -elle pas que, tout humain que je sois, il arrive bien souvent que ce que je m'imagine être diffère de ce que je suis