Homme Supérieur Nietzsche

d’e en mm temps observateur et observé. Hegel : il y a un moyen pratique de se connaitre soi mm : en laissant sa marque sur le monde, on ft l’expérience de ses capacités et de ses limites, on apprend à reconnaitre l’expression de soi –mm. Kant : tt homme est obligé d’entendre cette voix terrible et menaçante du devoir moral (sinon culpabilité, scrupules) Rousseau : la csc morale est une « voix céleste » qui s’adresse au cœur et non à la raison, capable de nous guider de manière infaillible pour peu

« Malheur à qui n’a plus rien à désirer » est une citation célèbre de Rousseau. En effet si une personne n’a plus le moindre sentiment de désirer alors cette personne n’est pas heureuse car seul le fait de désirer procure la vie heureuse. Un homme sans désir est un homme qui n’a pas de but vers lequel tendre afin de donner du sens et du piment à sa vie. Le véritable bonheur n’est pas celui qu’on croit, ce n’est pas celui produit lors de la possession de l’objet désiré. Le véritable bonheur est dans l’attente

demande, de sauver le nourrisson Staline et le bébé Hitler qui se noie. » Ethnique de la vertu d'Épictète et marcorel : La vertu et non le plaisir, la vertu qui est le seul moyen de parvenir authentiquement a l'état de bonheur, visé de tout homme et que les stoïcien on appelé l'ataraxie. Le fameux principe existentiel ce disait en latin : absuline sustine. Des qu'on va lui imposer des normes on va le contraindre. Dans la stoïcienne on doit accepté, on doit refuser notre plaisir pour la vertu

utiles dans leur application technique. La morale « par provision » (morale d'inspiration stoïcienne : changer ses désirs plutôt que l'ordre du monde), s'inscrit dans cette même distinction. Le cogito pur, universel n'a d'existence concrète que dans un homme particulier avec un corps, avec des désirs, relatifs au plaisir et à la peine, au bonheur et au malheur. Les illusions sont « agréables » et l'esclave « conspire » lui-même à leur production et à leur maintien : tout le problème est là. L'illusion

neuvième édition d’un texte paru pour la première fois en 1989. Son auteur, qui est professeur à l’université des sciences humaines de Strasbourg, a publié de nombreux livres consacré à des philosophes qui furent aussi des « éducateurs » (Kant, Nietzsche, Alain) et à des thèmes relatifs à des questions « éducatives » (L’éducation selon Alain, Qu’est-ce qu’apprendre ?, Les valeurs de l’éducation…). Il s’attache ici à la « philosophie de l’éducation » qui, pour lui, n’est « pas un corps de savoir,

accorde un pouvoir souverain à la science qui va tout expliquer. Ce qui est mesurable et quantifiable existe, le reste pas. ❖ La philosophie du soupçon = L’Athéisme Ce sont les écrits des philosophes et penseurs du 19e et 20e s. (Feuerbach, Marx, Nietzsche, Freud). Ceux-ci soupçonnent la religion de masquer les mécanismes pervers d'oppression (économique, morale ou psychologique). ← La philosophie du soupçon de Feuerbach : - But : Feuerbach veut donner la clé permettant de comprendre pourquoi

profonde dépression, et ces suicides touchent les jeunes, mais aussi les personnes âgées, c’est un sujet encore tabou, qui pourtant est très répandu partout dans le monde. Nietzsche disait que « La pensée du suicide est une puissante consolation : elle nous aide à passer maintes mauvaises nuits. » dans Par Delà Bien et Mal,, même si Nietzsche est fondamentalement contre le suicide et que ces écrits ne sont là que pour provoquer la religion. Il nous donne là une perspective de raisonnement, le suicide est-il

JANVIER - AVRIL 1931 TOME VII     ENQUÊTE SUR ANDRÉ GIDE     Le soixantième anniversaire de M. André Gide a été célébré avec ferveur dans plusieurs pays étrangers.M. Ernst-Robert Curtius écrivait à cette occasion : « Comme Nietzsche, André Gide a découvert un homme nouveau, une nouvelle région de l'âme. »M. W.-E. Suskind, analysant cette notion de « l'homme nouveau », selon M. Gide et opposant les cultures catholique et protestante, reconnaît la supériorité de celle-là dans le passé. « Cependant

7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville)

alors même que l’on souhaite reléguer la philosophie à un rôle marginal, on admet son importance ; ce paradoxe soulève la question : « A-t-on besoin de philosophie ? ». Tout d’abord, on peut préciser que le « on » indéfini du sujet peut désigner un Homme dans sa singularité ou bien une collectivité. Le terme de « besoin » désigne une exigence nécessaire de l’Homme, conditionnée selon les points de vue tantôt par sa nature physiologique (définition stricte des besoins), tantôt par son environnement