Hume Dans Toutes Les Créatures

soit l'arbitre de la moitié de nos actions, mais aussi que l'autre moitié, ou à peu près, elle nous la laisse gouverner ». La virtù (du latin virtus le courage) est l'autre versant de la pensée de l'action politique de Machiavel. Elle doit avant tout être comprise comme la capacité d'imposer sa volonté à la fortuna. Aussi, la virtù des acteurs politiques ne renvoie pas directement à leur caractère vertueux mais plutôt à leur vaillance, à la qualité avec laquelle ils abordent la fortuna et essayent

LA CROYANCE EXCLUT-ELLE TOUTE FORME DE RAISON ? Dans son ouvrage intitulé –Ce que je crois- (1955), Robert Aron affirme « Je ne sais pas si je crois en Dieu. Mais, tout au moins suis-je sûr, grâce à l’histoire qui me recueille, de croire en ceux qui de tout temps et partout ont cru en lui ». Comme chaque homme, l’écrivain français s’est posé la question de l’existence de Dieu, à laquelle il n’a pu trouver de réponse. Il ne s’avance donc pas en affirmant qu’il croit, mais envisage cette possibilité

une faculté, ou encore une puissance, commune à tous les êtres humains. Mais en elle-même, comment la définir ? Le philosophe Hume la conçoit comme un "merveilleux et inintelligible instinct de nos âmes", qui unit l'homme à la nature. D'un autre point de vue, il est possible de considérer, comme le fait Kant, que la raison élève l'homme infiniment au dessus des autres créatures vivantes. En outre, la raison n'est pas seulement une disposition humaine ; elle est aussi ce qui semble régler et animer l'univers

croyance religieuse est bien quelque chose de critiquable, puis nous nous efforcerons de réfléchir sur le contraire de cette supposition, pour se positionner quand au caractère ou non critiquable de ce qu'est une croyance religieuse. Il apparaît tout d'abord évident que l'on puisse critiquer une croyance religieuse, et ce pour de nombreuses raisons : les paradoxes qui peuvent exister à l'intérieur même de cette croyance, son possible décalage avec le monde moderne ou encore sa non-crédibilité par

pensée et de raison tout comme les hommes. Les arguments sont dans ce cas si manifestes qu'ils ne peuvent échapper à l'homme le plus stupide et le plus ignorant. En adaptant des moyens à des fins, nous avons conscience d'être nous-mêmes guidés par la raison et l'intention, et de ne pas accomplir sans le savoir ni sans le vouloir ces actions qui tendent à assurer notre propre conservation, à obtenir le plaisir et à éviter la douleur. Par conséquent, lorsque nous voyons d'autres créatures, en des millions

David HUME (1739) Traité de la nature humaine Essai pour introduire la méthode expérimentale de raisonnement dans les sujets moraux Livre III : DE LA MORALE Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 1er juin 2007. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: philippefolliot@yahoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/

surtout le premier § - cours religion   | Plan Introduction I- la croyance comme insuffisamment fondée et opposée au savoir II- La croyance comme assentiment A- Les diverses formes de croyance analysées ci-dessus ne peuvent être dites toutes irrationnelles (en tout cas pas au même degré !) B- La croyance comme assentiment –en quel sens la croyance peut être dite irrationnelle III- Comment sauver les croyances les plus irrationnelles de l’absurdité ? A- Est-ce que la croyance inductive est contraire

Hume Enquête sur l’entendement humain SECTION 1 : Deux types de philosophie morale : • Homme = une être actif « influencé dans ses démarches par ses goûts et ses sentiments ». Distinction entre vertu et vice > l’homme doit être incliné vers l’amour. • Homme = être raisonnable «  qui s’attache plus à former son entendement qu’à cultiver ses mœurs ». Nature humaine → objet de spéculation. Hume → Homme > être raisonnable (science est son « aliment »), sociable, et actif (« esclave

Dans tout amour n'aime-t-on jamais que soi-même ? Introduction. « Il ne m'aime pas, il veut juste coucher avec moi, vider ses glandes séminales. » On retrouve souvent, dans la vie quotidienne, des assertions comme celle-là, qui insinuent que ce que vise l'amour, finalement, c'est sa propre satisfaction, qui insinuent que la personne aimée n'est qu'un instrument à cet amour de soi, pas le terme. Seulement, nous n'avons dans cette vie quotidienne que des vues partielles, extrêmement contextualisées

préparer un commentaire :· Lire· Trouver le sujet principal· Situer le passage· Trouver une problématique = fil directeur pour structurer la réflexionSujet/Thème : La découverte du secret de la vie qui va permettre la création de la créature => récit de l’état d’esprit, des émotions de Frankenstein // récit introspectif, portrait psychologique du scientifique Situer : Précède la création du monstre, début du récit de Frankenstein, récit rapporté/enchâssé, récit