Igname

commercialisables. Le tableau 1 ci-dessous indique les principales cultures vivrières testées et associables à l’hévéa ainsi que les variétés conseillées. Tableau 1 : Variétés de cultures vivrières conseillées à associer à l’hévéa. Culture Variétés Igname Bêté-Bêté (Florido), Krenglé , ... Riz IDSA78, IDSA85, IDSA92, Nerica1, Nerica2, ... Maïs F 7928, IRAT 81, IRAT 83, ... Arachide KH 149 A, variétés locales, ... Banane plantain Corne 1, Orishele, French sombre, ‘batard’

câline. Et les ignames adoptaient de ces attitudes, de ces poses ! Elles faisaient des manières, les ignames, chaque jour arborant, affichant des nuances nouvelles, chaque heure prenant des teintes différentes, selon que le soleil se levait ou se couchait ; selon qu’au zénith, il brillait de tout son éclat, ou que le ciel était couvert. Les haricots et les tarots avaient ces teintes-là qui, à celles seules aiguisent l’appétit. Kacou Anazé ne se lassait pas de contempler les ignames, les gombos, les

du peuple Akan II- ORGANISATION SOCIO-POLITIQUE, CULTURELLE ET RELIGIEUSE DU PEUPLE AKAN 1. Organisation Sociale 2. Organisation Politique 3. Organisation Culturelle 4. Organisation Religieuse III- FESTIVITE CHEZ LE PEUPLE AKAN 1. La fête des ignames IV- ACTIVITES DU PEUPLE AKAN 1. Activités économiques V- Mariage traditionnelle CONCLUSION DIFFERENTES IMAGES Organisation sociale Organisation Politique Mariage Traditionnel

Maïs Riz pluvial blanchi Riz irrigué blanchi Igname Manioc Banane plantain Légumes Oignon Mil/sorgho 798 667 445 455 119 608 3 191 429 2 626 923 1 503 571 742 667 5 000 100 000 599 000 279 000 61 000 2 234 000 683 000 421 000 557 000 5 000 100 000 75 33 51 70 26 28 75 100 100 199 667 566 455 58 608 957 429 1 943 923 1 082 571 185 667 0 0 TOTAL En tonnes 9 933 319 4 939 000 4 994 319 4 1-1-2 Bilan Banane plantain Igname manioc Maïs Riz local Mil/sorgh Oignon

Aboubacar Touali barth hermine gale dja marcial Traoré moussa Mohamed Classe : 4eme5 lycee moderne de port bouet I. Présentation de la situation Le jour des fêtes des ignames, tous les outils utilisés pour la réalisation du champ sont lavé et placée ensemble à un endroit précis. Des 8heures le repas du sacrifice est prêt. Le chef de terre se rend à un chemin de sortie du village sans traverses une rivière ou une grande

de vie, un code de relations sociales comme il en existe partout à travers le monde. Selon les circonstances, elle s’avère plus ou moins complexe. Les rassemblements coutumiers marquent les temps forts de la vie sociale kanak (fête des nouvelles ignames, mariages, naissances ou deuils). À cette occasion, on prononce de longs discours. On récite les généalogies et leurs histoires. On échange des dons et des contre-dons. Faire la coutume c’est établir une relation privilégiée et unique avec un individu

convenance mais qui est moins consommé par rapport aux plats cités antérieurement. 2) Le déjeuner Comme mets il y a : le foutou banane fait à base de banane plantain non mûre pilée, du foufou qui est fait à peu près comme le foutou,le foutou igname(igname pilée), le placali( pâte de manioc fermentée),le toh accompagnés de sauce graine ou gombo. Il y aussi l’alloco préparé sooit avec de l’huile d’arachide ou l’huile de palme. L’alloco est préparé avec du poisson frit,braisé ou encore du poulet frit

maladie Parmi les maladies fongiques associées à l’igname cinq espèces sont plus particulièrement dommageables : CURVULARIA ANTHRAC NOSE PHYLLOSTICTA SCLEROTIUM ROLFSII RHI ZOC TONIA SOLANI (Voir UPROFIG : Union des Producteurs de la filière ignames de Guadeloupe, Juin 2005.) III. Les plantes sensibles Comme plantes sensibles aux maladies bactériennes et fongiques de l’espèce Dioscorea spp nous pouvons retenir : D.Cayenensis-rotundata sensible à CURVULARIA, SCLEROTIUM ROLFSII et RHI ZOC TONIA

Fig. 14: Evolution de l’indice foliaire dans un champ d’igname à Doguè .................. 90 Fig. 15: Indice de la surface foliaire dans une association : maïs + niébé ................ 91 Fig. 16: Evolution de l’indice foliaire dans une association: igname + niébé + mil à Sérou .................................................................................................................. 92 Fig. 17: Surface terrière des ligneux dans l’Ouémé supérieur .................................. 95 Fig. 18:

faisaient les offrandes : « chaque  année…avant  de   mettre la  moindre semence dans  la terre, je   sacrifie  un  coq à  Ani, le propriétaire de toute terre. C’est la loi de nos pères. Je tue  également  un coq à l’autel d’Ifejioku, le dieu  des  ignames. Ils étaient entre autre Agbala déesse des grottes et des collines, Ani déesse de la terre et Amadiora dieu du tonnerre. Ceux qui voulaient consulter les dieux, devaient ramper sur le ventre pour entrer dans une caverne où ils se trouvaient. Ils s’adressaient